Pour ceux qui ne comprennent pas l’anglais, ce n’est pas très compliqué, il suffit d’observer.
Dans le groupe, il n’y a qu’un sujet réel, les autres sont de mèche, ils sont brifés pour donner au début du test de bonnes réponses pour ensuite se mettre à donner ensemble la même mauvaise réponse. Invariablement, le sujet cible finit par douter de son propre jugement et donne lui aussi la même mauvaise réponse que les autres.
Ne ricanez pas, ça définit à peu de chose près la plupart des choix que nous faisons dans nos vies.
Cette pression de groupe est très utilisée pour manipuler.
Un exemple, bien simple, c’est les sondages.
Imaginez un individu indécis voulant voter à priori pour madame Y.
Il constate accablé que d’après un sondage, il y a 70 % d’intention de vote pour monsieur X et seulement 7 % pour madame Y…comme il doutait, il remettra en cause son propre jugement et choisira plutôt monsieur X.
Sauf que dans la réalité et c’est là que ça devient amusant, tous ces sondages sont bidonnés, en particulier ceux aux abords des élections, leur unique but est de manipuler.
C’est très efficace étant donné que parmi les indécis, on trouve les 70 % de la population qui ne s’intéressent pas à la politique. Çà fait une belle masse manipulable…D’où la toute puissance des médias dans le choix d’un candidat.
Un autre exemple : Rappelez-vous bien lors du référendum irlandais. Avant le vote, Absolument tous les médias et tous les sondages chantaient que la lutte serait serrée et que le « oui » l’emporterait malgré tout…Cela c’est avéré totalement faux au dépouillement.
Il est très difficile de croire que des vrais sondages ait pu faire une erreur aussi grossière…
Le but de la manœuvre était bien entendu de pousser au oui.
mardi 24 juin 2008
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