jeudi 30 avril 2009

* Ondes électromagnétiques : le scandale

Sujet extrêmement important et grave.
Il vous sera expliqué, entre autres, comment la combinaison des vaccins (contenant des métaux lourds comme l'aluminium) et des ondes électromagnétiques des wifi, téléphone portable, blue tooth, permettent l'accès d'une hormone, l'albumine, chargée d'aluminium, de pénétrer le cerveau et de provoquer la maladie d'Alzeimer, et ce même chez de jeunes individus...
Vous y entendrez les preuves et la confirmation de la soumission des organismes de contrôle aux multinationales et à leurs intérêts. Plus de 60% des membres de l'Afssa et de l'Afsse sont dans des conflits d'intérêts étant rémunérés par Bouigues Télécom, France Télécom, etc...

1ère partie


2ème partie


3ème partie


Pour l'OMS les ondes électromagnétiques sont sans danger. Le seuil toléré par l'OMS est de 41 V/m, alors que le Liechtenstein, pays non-membre de l'OMS (les veinards) ont baissé leur seuil à 0,6 V/m.

Document source : OMS et Liechtenstein

Que disait l'OMS sur les antennes relais en 2004 :

"Concernant les champs RF, à ce jour, le bilan des données laisse à penser que l’exposition à des champs RF faibles (comme ceux émis par les téléphones mobiles et leurs stations de base) ne provoque pas d’effets indésirables pour la santé. Certains scientifiques ont rapporté des effets mineurs de l’utilisation des téléphones mobiles, notamment des modifications de l’activité cérébrale, des temps de réaction et des tracés du sommeil. Dans la mesure où ces effets ont été confirmés, ils semblent se situer dans les limites normales de la variation observée chez l’homme.

Les sources particulières de CEM que sont les lignes à haute tension et les stations de base de la téléphonie mobile génèrent souvent une grande angoisse dans la population. Cette angoisse peut conduire les gens à s’opposer fortement à l’établissement de ces installations. Lorsque l’opposition de la communauté monte, c’est souvent parce que la communication ne s’est pas établie suffisamment tôt pour pouvoir s’assurer de la compréhension et de la confiance du public. Une bonne communication sur un projet exige planification et savoir-faire.

Il est important d’anticiper les besoins d’information : savoir quoi partager et quand le partager. Plus une information nuancée est introduite rapidement, plus les décideurs seront en mesure d’éviter que le problème n’atteigne le stade de crise. Il est en effet beaucoup plus facile d’aider les gens à forger leurs opinions qu’à les en faire changer. Parce que les sujets qui peuvent prêter à controverse deviennent encore plus critiques en période électorale ou lors d’autres événements politiques, il est conseillé de préparer des stratégies et d’avoir sous la main des possibilités d’agir."

Document source : Instauration d'un dialogue

mercredi 29 avril 2009

* L’énergie vitale

Elle nous vient du soleil, c'est-à-dire la lumière. Elle nous vient aussi de l'air, de l'eau et de la Terre? "Elle", c'est l'énergie Vitale (Prana/Chi), une expression bien compliquée qui désigne pourtant l'essentiel insoupçonné de notre organisme. Ce torrent mystérieux irrigue, en effet, chacune des 60 milliards de cellules qui forment cette méticuleuse micro-usine humaine. Des médecins et chercheurs mondialement connus se sont penchés sur les thérapies énergétiques qui évitent de violenter le corps tout en reconstituant son équilibre. Souvent héritées de traditions millénaires, perfectionnées et remises au goût du jour, elles réunissent enfin le corps et l'âme.

1ère partie


2ème partie


3ème partie


4ème partie

mardi 28 avril 2009

* L'arnaque du réchauffement climatique

Extrait du documentaire de Alex Jones "End Games"

Endgame Arnaque du Réchauffement Climatique

Version intégrale du documentaire en v.o.s.t. français ICI

* Les viandes rouges et les viandes transformées raccourcissent la vie!

steak

Une étude récente nous dit que consommer de la viande rouge ou transformée paraît accroître le risque de mourir prématurément et de développer des cancers . Résultats d’une étude menée aux Etats-Unis sur plus d’un demi-million de personnes pendant dix ans. Cette nouvelle étude confirme toutes les études précédentes concernant le lien entre ces viandes et le cancer, mais ajoute du nouveau concernant la mort pour autres maladies que le cancer. Les participants, hommes et femmes, étaient âgés de 50 à 71 ans au début de l’étude en 1995. Ils ont alors répondu à un questionnaire sur leur consommation de viande rouge, de viande transformée tels hot dog, bacon et charcuteries) et de viande blanche.

Des chercheurs de l’Institut National du Cancer à Rockville, Michigan ont rapporté que 11% des morts chez les hommes et 16% chez les femmes sont survenues prématurément par ce qu’ils consommaient une trop grande quantité de viande rouge et de viandes transformée.

Manger l‘équivalent d’un hamburger de 120 grammes (4 onces) par jour augmente les risques de mourir du cancer de 22% et de maladies cardiaques de 27% chez les hommes et chez les femmes les risques font un bond de 20% pour le cancer et de 50% pour les maladies cardiaques.

Pendant cette période, 47.976 hommes et 23.276 femmes sont décédés. Les chercheurs nous disent que le cinquième des hommes et femmes ayant mangé le plus de viande rouge (une quantité médiane de 62,5 grammes ( 2 onces ) par mille calories absorbées quotidiennement) sont de loin susceptibles de mourir plus vite que le groupe dans le dernier groupe qui consomme 22.6 grammes ( 0,6 once ) par 1,000 calories.

On conclue en disant que ceux qui consomment beaucoup de ces viandes peuvent réduire leurs risques de mourir prématurément de 11% si ce sont des hommes et de 16% si ce sont des femmes, s’ils diminuent leur consommation de viande rouge et de viande transformée.

Dans le groupe de participants ayant mangé le moins de viande rouge et transformée, le risque de décès consécutif à des maladies cardiovasculaires était inférieur de 11 % chez les hommes et de 21 % chez les femmes par rapport à celui observé dans le groupe de participants en ayant mangé le plus, soulignent les auteurs de l’étude.

Les résultats de cette étude corroborent les recommandations de l’Institut américain de recherche sur le cancer et de l’institut canadien du cancer qui depuis plusieurs années ont fait le lien entre la consommation de ces viandes et les incidences de cancer.

Selon le Guide pour la prévention du cancer de l’Institut américain de la recherche sur le cancer, on recommande de limiter notre consommation à 510 grammes (17 onces) maximum de viande rouge cuite par semaine. Les viandes préparées (bacon, jambon, saucisse, etc.) sont à éviter parce qu’elles augmentent les risques de cancer colorectal et en plus celui de l’estomac.

Source: Internal Medicine, 2009; 169: 562).

Note personnelle : devenez végétarien c'est encore mieux ;-)

* Histoire Occulte Du Monde n° 36 , 37 et 38

H.O.D.M. n° 36


H.O.D.M. n° 37


H.O.D.M. n° 38

lundi 27 avril 2009

* "The Obama deception" sous-titré en français

Alex Jones présente comment Barack Obama poursuit le processus de transformation de l’Amérique, afin de lui imposer un régime tel que celui de l’Allemagne nazie. Une idée qui supposerait la mise en place d’un enrôlement obligatoire dans le Service National, l’encouragement à la délation, l’espionnage des communications, la suppression du second amendement de la Constitution des Etats-unis, l’ouverture des camps d’internement de la FEMA et l’instauration de la Loi Martiale.

Selon Jones, ceux qui manipulent Obama annoncent déjà ouvertement la création d’une nouvelle Banque Mondiale qui contrôlera toutes les nations du monde grâce à la taxe-carbone et le recourt aux forces armées. « L’internationale des banques » aurait orchestré et planifié la faillite financière généralisée pour mettre en place un « Gouvernement Mondial ».

L’objectif serait de piller les classes moyennes, de supprimer les retraites et d’imposer son contrôle sur tous les états d’Amérique, de sorte que les populations soient totalement dépendantes de Washington. Ainsi, les « élites » utiliseraient Obama pour endormir le public, afin de réaliser l’Union Nord-Américaine par surprise, initier une nouvelle « guerre-froide », et poursuivre l’occupation de l’Irak et l’Afghanistan.

1ère partie


2ème partie


3ème partie


4ème partie


5ème partie


6ème partie

* 1929 - 2009

Étonnantes similitudes entre 1929 et 2009, même si les médias et les "spécialistes" se défendent de comparer.
Même issue?

* La Société Policière française vue par Alain Soral

Analyses sur la société française aujourd'hui

1ère partie


2ème partie

* Nouveau désordre mondial

Diverses informations du Libre Penseur

dimanche 26 avril 2009

* Rire thérapie

Le rire active certaines substances dans la moelle des os qui vont dans le sang et qui sont anti cancer.
Même un rire simulé a cet effet physiologique, je vous conseille donc de le faire au moins une fois par jour (ou peut-être visionner cette vidéo tous les jours ;-))

* Attentats de Madrid - les suspects acquittés...

Après des années d'enquêtes de la police et des procureurs, après un procès qui dura 4 mois et 700 pages, nous ne savons toujours pas qui planifia, organisa et mit en place les attaques terroristes de Madrid (les 3 suspects furent acquittés).

http://100777.com/node/701

Qui, quand, comment et pourquoi furent planifiés les attaques du 11 Mars?

Vidéo en anglais

samedi 25 avril 2009

* 3 Tours et 2 Avions



Plus de sept ans après les attentats du 11 septembre 2001, la vérité commence à ne plus pouvoir être masquée par le complexe militaro-industriel. La théorie du complot islamiste des barbus intégristes qui menacent l’occident prend de l’eau de toute part. Le roi est nu...

Pourtant, très peu de temps après les attentats, Thierry Meyssan présentait, en détail, les principales absurdités de la thèse officielle des attentats terroristes musulmans dans son ouvrage "L’Effroyable Imposture". Aujourd'hui encore, grâce à la censure des médias en occident, beaucoup de gens croient que l'on peut faire tomber trois tours avec deux avions. C'est cela la magie de la boîte à propagande : transformer la réalité des faits en une autre réalité qui satisfera les pouvoirs en place : religieux, économiques, financiers, industriels, scientistes, politiques. Et, la magie de la chose, c'est que cela fonctionne parfaitement bien. Le peuple adhère à la théorie officielle et n'a pas forcément les moyens, l'envie et le temps de chercher d'autres réponses. À l'époque où Orwell écrivait "1984" la radio était déjà bien installée dans les foyers, pour véhiculer la propagande souhaitée par nos dirigeants. Mais aujourd'hui, c'est encore plus facile : l'image retouchée, le faux témoignage, les larmes des victimes en « prime time », le scientifique financé par les laboratoires pharmaceutiques, permettent de fabriquer n'importe quelle propagande, qui fait passer Adolf Hitler et ces discours à la radio pour un amateur. Bien sûr, les camps de travail forcé n'existent plus, car ils rappelleraient trop directement un passé sombre. Mais, qu'est-ce qu'un smicard travaillant dans une usine avec son centre commercial situé en face de sa ville nouvelle ? La différence avec le camp de travail forcé n'est finalement pas si énorme. Ce qui fait la différence, c'est l'illusion d'une pseudo-liberté de choix : TF1 ou France 2, Coca ou Pepsi, Mc Donald ou Quik, Renault ou Peugeot. Mais le modèle reste le même : mécanisation de toutes les activités humaines, afin de gérer au mieux les bestiaux (le peuple).

Alors que la majorité des médias et des décideurs savent qu'on ne peut pas faire tomber deux tours de 415 mètres en quelques secondes, sans y avoir introduit, au préalable, des explosifs à l'intérieur, la version officielle continue à être défendue dans la petite lucarne, même si les journalistes savent qu'il faudra, à un moment donné, sortir les cadavres du placard.

Mais alors pourquoi ce blocage si manifeste ? Pourquoi cette omertà qui ridiculise de plus en plus les médias de masse ? Avouer que le 11 septembre a été mis en place par des spécialistes des explosifs, c'est l'écroulement de la société que vendent nos médias de masse. Si certains dirigeants américains ont fabriqué cette histoire d'attentats, comment vendre, ensuite, les produits des annonceurs publicitaires ? Comment faire acheter aux téléspectateurs, du Nike, Mc Donald, Coca-Cola, Disney, Pfizer, Glaxo, IBM, Apple, Microsoft, Mars, Jonhson & Jonhson, Pepsi, Ford, General Motors, Mosanto, si les dirigeants politiques américains ne sont que de petits nazillons, assoiffés de sang et de guerre ? Le rêve américain s'écroulerait trop vite et les ventes des firmes américaines avec lui. Alors, nos dirigeants politiques continuent dans la même voie : toujours plus de répression policière, afin que le système puisse se maintenir en place. C’est la feuille de route de Nicolas Sarkozy et le retour récent de la France au sein de l'Otan n'est qu'une étape supplémentaire. C'est une impasse, mais qu'importe, un dictateur n'est pas payé pour satisfaire le peuple.

Si l'on regarde l'histoire du 20e siècle, les attentats du 11 septembre sont un classique en matière de manipulation politique : pour faire des guerres, il faut d'abord créer de la peur. Ces attentats ont permis la guerre en Irak et en Afghanistan, deux guerres stratégiques pour contrôler les ressources pétrolières et installer des bases militaires au Moyen Orient, proches de l'Iran, de l'Inde et de la Chine. Et ils ont aussi permis de mettre en place la guerre permanente en occident. La guerre contre le terroriste, l'ennemi virtuel, l'ennemi potentiel, qui tue au coin de la rue avec sa bombe. Ce climat de peur permanente, qui permet la criminalisation de tous les terroristes potentiels : le fumeur de cigarette, le buveur d'alcool, l'amateur de vitesse, le nationaliste, l'Islamiste, le bébé aux gènes de futurs délinquants, le manifestant et sa cagoule, le faucheur anti-OGM, le gréviste énervé, l'amateur de lait cru, le possesseur d'un jardin potager, etc. Grâce à ce coup de maître, nos dirigeants peuvent transformer totalement la réalité. La police, dont la fonction est de protéger les citoyens des tueurs, voleurs, violeurs, voit son rôle se transformer. Désormais, elle peut mettre des amendes et des peines de prison à chacun d'entre nous, à cause du risque potentiel, de l'ennemi potentiel, du terroriste potentiel, qu'il faut enfermer, avant qu'il ne songe à agir, c'est-à-dire à commettre, effectivement, un crime répréhensible. Vous n'êtes plus coupable d'avoir tué quelqu'un au volant de votre voiture, vous êtes coupable du risque potentiel de, peut-être, avoir un accident, alors on vous retire votre permis de conduire. C'est la stratégie de « l'ennemi intérieur. » Cette transformation de la réalité, un crime est remplacé par un risque potentiel, ne saute pas aux yeux de la majorité des citoyens, car la propagande quotidienne permet ces déplacements sémantiques de manière progressive.

On ne mesure pas bien la transformation qu'a subie notre société entre 1945 et aujourd'hui. En 1945, la majorité des Français étaient des travailleurs indépendants : artisans, paysans, commerçants, travailleurs indépendants, patrons de PME. En quelques années, une grande partie de ces professions ont été détruites et remplacées par des salariés de grosses sociétés nationales, puis de multinationales. Il est donc très difficile pour quelqu'un, qui n'a connu que la docilité du salariat aux ordres d'un patron lointain, de comprendre ce que veulent dire les mots : liberté, égalité, fraternité, autonomie, indépendance, identité, patrie, etc. De plus, lorsque quelqu'un travaille pour une multinationale, comment pourrait-il facilement critiquer celui qui le nourrit, même s'il s'appelle Mosanto, Glaxo, Roche, Pfizer, Aréva, Sanofi-Aventis, Shell, Total, Exxon, Mars, Mc Donald, Coca-Coa ? En 1968, la publicité a été autorisée dans la boîte à propagande française, la télévision. Les annonceurs étaient, au départ, des producteurs agricoles français : pruneau, lait, sucre, petits pois, etc. Le téléspectateur était donc dans un premier temps en terrain de confiance, avec des produits qui faisaient déjà partis de sa culture. Que de chemin parcouru depuis, dans le profil des annonceurs, le contenu des programmes et la propagande. Pour se rendre compte de la différence : comparez un épisode des « shadoks » avec le « jingle » d'ouverture du journal de TF1. D'un côté, on a un programme très simple, très sobre, plein d'humour qui se moque de la société industrielle mécanicienne de l'autre, nous avons un programme créé pour fabriquer de la peur et de la guerre. 1968 fut, en réalité, une année doublement importante. En mai 1968, ce fut la remise en question de la société de consommation par une bonne partie de la population. Mais en octobre 1968, ce fut l'introduction de cette même société de consommation industrielle au sein de chacun des foyers. C'est une révolution bien plus considérable que mai 1968, mais qui ne fait pas la une des journaux ! Désormais, les trusts industriels sont branchés directement sur l'imaginaire des foyers, afin de fabriquer la société nouvelle, l'homme nouveau : l'esclave du cartel militaro-industriel. À partir de là, il suffisait d'investir des milliards de dollars pour que le fils de paysan du Larzac devienne un adepte de Coca-Cola, Mc Donald, Disney, Johnson & Johnson, avec, si nécessaire, une immigration massive pour mieux faire prendre la greffe de la nouvelle culture. Ensuite, il ne restait plus qu'à prendre le contrôle politique de l'ensemble pour créer un monde totalitaire au service des multinationales : OMS, OMC, FMI, Banque Mondiale, AIEA, Codex Alimentarius, FAO, Commission Européenne, CFR, Trilatérale, etc. Dans ce monde là, il n'y a pas de place pour le paysan, l'artisan, l'indépendant, le petit patron, l'inventeur. Il n'y a pas de place pour la liberté, l'autonomie, la diversité, la création.

Aujourd'hui, beaucoup de Français ne comprennent pas le rapport entre les OGM et le reste du système. Ils croient que les OGM sont dus à quelques multinationales bizarres comme Monsanto, BASF, Bayer, etc. Les OGM ne sont pas un accident, ni un complot, c'est la suite logique de ce système totalitaire. Lorsque quelques multinationales contrôlent quasiment l'ensemble du marché mondial, que font-elles ? Elles cherchent à aller toujours plus loin dans ce contrôle, notamment en supprimant la concurrence. La nature est un concurrent gratuit, il faut donc l'éliminer. Les OGM et les graines stériles permettent la réalisation de cet objectif. Les paysans ne peuvent plus replanter les graines stériles et sont dépendants du semencier industriel. Les OGM permettent de coloniser, avec des graines brevetées, l'ensemble de la terre. Le trust industriel est désormais Dieu : seul fournisseur mondial et pouvant transformer la nature au grès de ces intérêts. Mais ceci n'est pas vraiment nouveau. Dès 1940, Vichy met en place des structures, sur le modèle nazi, pour un contrôle par les cartels de la santé et de l'alimentation : création de l'Ordre des médecins en 1940, suppression du diplôme d'herboriste en 1941 et création du Comité technique permanent de la sélection en 1942, toujours en activité aujourd'hui.

C'est pourquoi, se battre pour que les médias diffusent des informations sur le 11 septembre ou sur les 120 millions de cancers, générés par l'industrie nucléaire, est un peu illusoire. Croire que des partis politiques vont renverser un système qui détient la majorité des manettes est un peu naïf, en tous cas à court terme. La principale solution actuelle est de ne plus financer les multinationales industrielles et financières qui ont généré ce totalitarisme planétaire : pétrole, chimie, pharmacie, nucléaire, média, armement, télécommunication, agro-industrie.

Pour vivre dans un pays qui ressemble à une démocratie, avant le contrôle des lois directement par le peuple (vote par Internet), il est impératif d'avoir des décideurs qui ne soient pas mondiaux, ni même européens. Le maire d'un village n'a aucune envie d'être un tyran, vis-à-vis de gens qu'il côtoie toute la journée. Il prendrait des risques physiques considérables, s'il agissait ainsi. Un tyran mondial se moque éperdument de tuer un million d'Irakiens, de jeter des bombes à l'uranium « appauvri » sur les populations civiles, de détruire les cultures, l'artisanat, la nature, les libertés, les traditions, les bistrots français, les fromages au lait cru, les vignobles du Beaujolais, etc.





Pris sur : http://www.noslibertes.org

vendredi 24 avril 2009

* Deux poids deux mesures

Jeter un projectile sur un président entraine une couverture médiatique différente suivant de quel bord se situe le président.
On voit ici les différences de traitement puisque la scène montrant le jet d'un projectile sur le président iranien lors de la conférence de Durban II a été ignorée par l'ensemble des médias.
A noter également que Ahmadinejad, en introduction, au moment où il est interrompu, était en train d'offrir ses salutations à Dieu et à tous les Prophètes de Abraham à Muhamed en passant par Moïse. Une fois l'incident passé il demanda à ce que l'on pardonne les personnes qui l'agressèrent (vous pourrez le constater par vous même sur la vidéo intégrale du discours sur ce blog)

jeudi 23 avril 2009

* Emergency Broadcast! New World Order Ahead!

Le nouvel ordre mondial dévoilé, annoncé déjà en 1996 par David Icke, sous les moqueries des ignorants...

* "Bruxelles-Caracas" - Bande Annonce

Le film sera présenté le Jeudi 16 Mai à 20h à Marseille, au cinéma Prado en présence de Michel Collon qui animera un débat
Pour ceux qui habitent la région venez nombreux!

* Farrakhan riposte

Réplique énorme de Farrakhan lors d'une émission télé.

* A VOIR ABSOLUMENT!!! Michel Collon = Propagande de guerre des médias

Conférence datée du 27 février 2009
M.Collon sera à Marseille le Jeudi 14 Mai à 20h au cinéma Prado
pour animer un ciné-débat autour du film "Bruxelles-Caracas"

1ère partie


2ème partie

* La face cachée du Darfour

Invité à l' émission kiss fm en 2006, Louis Farrakhan donne une autre version sur le conflit au Darfour. Explication sur la puissance des mots.

mercredi 22 avril 2009

* Goldorak, agent du système

Détournement de qualité qui résume bien la situation...

mardi 21 avril 2009

* Tarnac, les avocats s'expriment...

Le 2 avril 2009, les avocats des neuf personnes mises en examen dans l'affaire de Tarnac tiennent une conférence de presse au siège de la ligue des Droits de l'Homme.

Dans cette première partie, Jean-Paul Dubois, président de la Ligue des droits de l'Homme compare l'affaire de Tarnac à l'affaire Dreyfus. Elle illustre un régime d'exception incompatible avec l'Etat de droit. Il condamne le délit d'association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste qui permet de faire passer n'importe qui pour des terroristes.

Me Irène terrel, avocate de quatre des prévenus parmi lesquels Julien Coupat, demande si celui-ci est détenu au nom de la raison d'Etat. Elle revient sur la circulaire à l'origine de l'affaire, qui instaure un délit d'opinion et une chasse à ceux qui pensent différemment.

1ère partie


2ème partie
Irène Terrel, avocate de 4 des prévenus parmi lesquels J.Coupat, détaille le contenu du dossier. Il est d'abord constitué de l'enquête ouverte en avril 2008 à la demande du FBI, quand deux personnes franchissent la frontière des Etats-Unis, par refus de la biométrie. Cette enquête va mobiliser des moyens policiers colossaux, filatures, écoutes, vidéo-surveillance des prévenus et de leurs proches. Ces huit mois de surveillance ne débouchent sur rien. Des enquêtes Tracfin sur les personnes surveillées, leurs familles et leurs proches ne donnent pas plus de résultats. Parmi les charges relevées: l'absence de portable ou la participation à des manifestations.

L'avocate décrit les interpellations, la démesure des moyens avec au final, ni armes, ni explosifs. Elle dénonce la scénarisation de l'arrestation et la violation de la présomption d'innocence. Elle revient sur les gardes à vue, qui n'apportent pas plus d'éléments. Elle souligne l'arrivée opportune du témoin sous x, qui apparaît finalement comme un mythomane, et questionne la piste non explorée de la revendication allemande.

L'instruction a diligenté de nouvelles enquêtes Tracfin sur la ferme du Goutailloux, qui n'ont rien donné, pas plus que les expertises scientifiques sur les lieux des sabotages. L'enquête confirme que la rupture d'un caténaire ne met pas en danger les voyageurs. Elle dénonce le fait qu'un livre soit intégralement versé au dossier, et que les actions de solidarité envers les inculpés soient repertoriées comme éléments à charge.

Les interrogatoires portant sur les vies, les lectures, les fréquentations des prévenus, et non sur des faits, elle explique que ceux-ci ont décidé de garder le silence. Elle dénonce enfin l'abus de détention provisoire dans le cas de J.Coupat et les modalités du contrôle judiciaire de Benjamin R, empêché d'exercer son métier d'épicier.


3ème partie
Troisième partie, les avocats des autres prévenus, Me Dominique Vallès, Me Philippe Lescène, Me William Bourdon, s'expriment sur l'affaire.


4ème partie
Dans cette quatrième partie, les avocats répondent aux questions des journalistes.

* Flagrand délit de Censure mondiale d'un discours

Ahmanidejad à Durban 2 - discours complet

Par Maya Lila
I
l
n'ont même pas laissé au monde l'opportunité d’écouter les propos et arguments du Président
Ahmanidejad Je ne suis pas Chiite, ni pro Chiite, ni antisémite, juste pro vérité, j'ai juste constaté une tentative de discréditer et de censurer ce discours avant même qu'il soit donné, d'une manière tellement préméditée, à croire que cette préméditation permet de révéler les "faible" représentants de la pensée unique dominés par une sorte de morale "préfabriquée" du racisme et de l'intolérance tellement hypocrite qu'elle ne peut être dissimulée par cette tentative ridicule d'étouffer et de discréditer les parole de ce Président Perse, en usant d'une valse de déclarations médiatiques en critiquant et utilisant de courts extraits des paroles sortis de leur contexte et en les stigmatisant d'une façon médiocre comme s'ils étaient des blasphèmes. En tout cas, cela a permis de faire tomber les masques de tous ceux qui ont participé à cette mascarade vicieuse et tellement hypocrite à mes yeux.

Ce que je viens de constater et qui me fait sourire doucement, c'est les posts publiés sur ce sujet, sur ce site, en top ou en une avec la mention, informations vérifiées, elles sont toutes traitées dans le même angle de vue, celui reprit dans tous les médias, tronqué, incomplet, avec les extraits choisis hors de leur contexte souligné du label propos raciste, antisémite etc ... je me demande comment ont été vérifiées ces infos par le post, mais ne doit-on pas écouter (au minimum !)le discours dans son intégralité pour se faire une idée de ce que ce dirigeant a voulu dire !

Je n'ai pu trouver (au lendemain de ce discours )qu'une seule source web ou est présente la vidéo (en anglais)du discours dans son intégralité (35 mn) et la seule retranscription. Et j’ai cherché longtemps !!! En francais n'en parlons même pas !

Le discours étant en persan, si aucune traduction en anglais ne se trouve sur le web, comment pourrait-on en tirer facilement une traduction en francais ou en tout autre langue, il ne reste que cette soupe journalistique, télévisuelle ou médiatique pour que les opinions du monde se fassent une idée, soupe qui malheureusement atteind son but premier qui est d'inciter à la division, de stigmatiser les extrêmes et alors cultiver tout le contraire de l'énergie et l'inspiration et qu'espéraient donner les esprits ouverts qui ont créé Durban I et Durban II.

A croire qu'il ne fallait surtout pas que le peuple puisse se faire sa propre idée sur ce qu'avait à dire cet homme. On a même eu droit, sur les sites d'informations (alignés) comme photo d'illustration des articles concernant ce discours, la même photo sous différents points de vue de Ahmanidejad qui salut avec le plat de la main, voudraient-ils nous inspirer le salut nazi que cela ne m'étonnerait même pas !. Des contestataires en clown alors qu'il n'a même pas fini sa première phrase ? Des représentants de pays qui se lèvent pour boycotter, tous révoltés spontanément en même temps ?

Je rappelle que cette année, la journée du souvenir de la Shoah, la cérémonie d'ouverture a lieu le même jour que celui désigné à Ahmanidejad pour faire son discours, allons ! Hasard ? Je ne suis aucunement négationiste, la Shoah a été l'un des événements les plus sombres qu'ait connue l'humanité et je souhaiterait que jamais plus cela n'ait lieu.

On a eu droit même à une coupure du son dans les premières minutes du discours. C'est horrible à dire, à mes yeux, la quasi totalité des journalistes du monde n'ont pas fais leur travail, ce jour là et le lendemain,

peut être dans quelques jours ... ;-)?

A moins que les acteurs du Web une fois de plus, les poussent à revoir leur copie, en les remettant sur le droit chemin, à grand coups de liberté d'expression ...

Les tv répètent les dépêches et les images de ceux qui gouvernent la pensée unique, planétairement, mondialement !

Super écran de fumée, pendant ce temps, on ne parle plus des droits de l'homme, et les manquements des pays soit-disants démocratique et cultivant la liberté, on détourne les attentions vers un faux monstre, tous ces Don Quichote politiques et leurs déclarations outrées participants conscients ou inconscient à nourrir cette illusion pluri-média-Webistique ...

Je pose ici plus bas les liens de la retranscription texte du discours en anglais au cas ou quelqu'un voudrait en tirer une traduction pour le plus grand monde et poste la vidéo du discours en entier en anglais pour que chacun des anglophones puissent se faire leur idée, en attendant qu'une traduction se "manifeste" pour les francophones. (les liens sont plus bas dans ce post)

Ecoutez et soyez pour ou contre le discours, faites vous votre idée,

... la votre

ne permettez pas que l'on formate votre opinion au travers

de cette censure planétaire inique

Mayalila – 21 Avril 2009

Le discours vidéo (anglais) de Ahmadinejad

http://www.youtube.com/watch?v=LL5OsaVYz1I

La retranscrition texte en anglais du discours

mais curieusement manquants les saluts de reconnaissance respectueuses et formules musulmanes en rapports avec Dieu.

http://www.presstv.ir/detail.aspx?id=92046

Durban II un sommet de tartufferie ?

http://www.lexpress.fr/actualite/monde/durban-ii-un-sommet-de-tartuferie_755053.html

l'officine Sioniste UEJF montre son vrai visage

http://www.alterinfo.net/Durban-II-L-Officine-Sioniste-UEJF-Montre-Son-Vrai-Visage_a31764.html

L'acteur Danny Glover Tance Barack Obama

http://cozop.com/allain_jules_agoravox/durban_ii_acteur_danny_glover_tance_violemment_barack_obama/proches

Ahmadinejad le heraut perse (par Alain Jules)

http://allainjulesblog.blogspot.com/2009/04/mahmoud-ahmadinejad-le-heraut-perse.html

Que reste t-il que 'on puisse appeler racisme ?

http://www.planetenonviolence.org/Que-Reste-T-Il-Qu-on-Puisse-Appeler-RACISME-Raja-Chemayel_a1884.html

Jim
Smart Citoyen (dans un forum de discussion) juste le soir ou le lendemain du discours de Ahmadinejad à Durban II

http://sarkostique.xooit.fr/t4212-Isra%C3%ABl-et-la-Palestine-.htm?start=1200

Ce qui est pénible, c'est que si on recherche le texte exact du discours de Mahmoud Ahmadinejad dans un moteur de recherche, on ne le trouve pas. On tombe sur 50 pages de sites reprenant le même extrait de 3 phrases avec la même traduction comprenant le mot "raciste". Tous parlent de dérapage, de scandale, et aucun ne donne un lien vers le discours intégral et sa traduction, ce qui serait le minimum pour un journaliste sérieux.

D'autres sujets Vidéo : http://www.dailymotion.com/MayaLila

* Censures en Sarkoland

Après l'interdiction de vente du dernier spectacle de Dieudonné en DVD, ainsi que de ses spectacles en province, l'obligeant de jouer dans un bus!!
Après les interdictions de projection du documentaire sur le Docteur Hamer "Seul contre tous" dans de nombreuses villes françaises.
Voici que Gérard Dahan dont son dernier spectacle, Sarkoland, qui fait l'objet d'une sortie en DVD, a été tout simplement interdit de publicité à la télévision (France 2).
Démocratie?

* La mascarade de Durban II

M. Ahmadinejad a accusé Israël d'être le "régime le plus cruel et le plus raciste", et a montré du doigt l'attitude de l'Europe et des Etats-Unis, pour avoir aidé à la création du pays après la Seconde guerre mondiale au "prétexte de la souffrance juive".

Ses propos ont conduit une quarantaine de diplomates de pays européens, notamment la France et la Grande-Bretagne, à quitter immédiatement la salle. Israël et les Etats-Unis, mais aussi les Pays-Bas, l'Italie, l'Allemagne, la Nouvelle-Zélande, l'Australie et le Canada, avaient décidé de boycotter la conférence.

Après le discours de M. Ahmadinejad qui a duré un peu plus d'une demi-heure, malgré cette interruption, une centaine de personnes, essentiellement des membres de mouvements pro-israéliens et juifs, ont bloqué l'entrée du président iranien à une conférence de presse qui était programmée.

"Après la fin de la Seconde Guerre mondiale, ils (les Alliés) ont eu recours à l'agression militaire pour priver de terres une nation entière sous le prétexte de la souffrance juive"

Voici la phrase du président irakien qui déclencha la sortie des représentants de l'union Européenne.
Sarkozy a ensuite déclaré qu'il réclamait des sanctions exemplaires contre Iran pour propos racistes et antisémites(!?!) , comme s'il était interdit de critiquer Israel et sa politique, ainsi que les conditions violentes des expulsions et le traitement inhumain infligés aux palestiniens depuis 1948.

Aujourd'hui nous voyons clairement ce jeu dangereux des pays pro sionistes, digne de pays totalitaires. (Malgré cette mise en scène ridicule des européens, on peut constater que le discours est très applaudi)

Voici un long extrait du discours du Président Ahmadinejad

Comme quoi ce que dit le président iranien n'est rien de nouveau, voici une résolution de l'ONU de 1975 (annulée en 1991)

Résolution Onu sionisme = racisme, votée le 10 novembre 1975 et abrogée le 16 décembre 1991


Résolution 3379 de l’Assemblée Générale des Nations Unies (10 novembre 1975)

L’ASSEMBLÉE GÉNÉRALE (par 72 voix contre 35 et 32 abstentions),

RAPPELANT sa résolution 1904 (XVIII) du 20 novembre 1963, promulguant la Déclaration des Nations Unies sur l’Elimination de Toutes les Formes de Discrimination Raciale, et en particulier son affirmation que "toute doctrine de différenciation ou de supériorité raciales est toujours scientifiquement fausse, moralement condamnable, socialement injuste et dangereuse", et son cri d’alarme face aux "manifestations de discrimination raciale qui ont encore lieu dans quelques régions du monde, et dont certaines sont imposées par des gouvernements par le biais de mesures législatives, administratives ou autres",

RAPPELANT EN OUTRE que, dans sa résolution 3151 G (XXVIII) du 14 décembre 1953, l’Assemblée générale avait condamné, entre autres, l’alliance impie entre le racisme sud-africain et le sionisme,

PRENANT ACTE de la Déclaration de Mexico sur l’Égalité des Femmes et Leur Contribution au Développement et à la Paix, en 1975, proclamée par la Conférence Mondiale de l’Année Internationale des Femmes, qui s’est tenue à Mexico du 19 juin au 2 juillet 1975, et qui a promulgué le principe selon lequel "la coopération et la paix internationales requièrent la réalisation de la libération et de l’indépendance nationale, l’élimination du colonialisme et du néo-colonialisme, de l’occupation étrangère, du Sionisme, de la ségrégation et de la discrimination raciale sous toutes ses formes, ainsi que la reconnaissance de la dignité des peuples et de leur droit à l’autodétermination ",

PRENANT ACTE EN OUTRE de la résolution 77 (XII), adoptée par l’Assemblée des Chefs d’États et de Gouvernements des Organisations de l’Unité Africaine, lors de sa douzième session ordinaire, tenue à Kampala, du 28 juillet au 1er août 1975, qui a estimé "que le régime raciste en Palestine occupée et le régime raciste au Zimbabwe et en Afrique du Sud ont une origine impérialiste commune, qu’ils forment un tout et ont la même structure raciste, et qu’ils sont organiquement liés dans leur politique destinée à opprimer la dignité et l’intégrité de l’être d’humain",

PRENANT ACTE ÉGALEMENT de la Déclaration Politique et Stratégique de Renforcer la Paix et la Sécurité Internationales et d’Intensifier la Solidarité et l’Assistance mutuelle entre les Pays Non-Alignés, adoptée lors de la Conférence des Ministres des Affaires Etrangères des Pays Non-Alignés, qui s’est tenue à Lima, du 25 au 30 août 1975, qui a très sévèrement condamné le Sionisme comme une menace pour la paix et la sécurité du monde, et a appelé tous les pays à s’opposer à cette idéologie raciste et impérialiste,

DÉCRÈTE que le sionisme est une forme de racisme et de discrimination raciale.


Résolution 46/86 de l’Assemblée Générale des Nations Unies (16 décembre 1991)

L’ASSEMBLÉE GÉNÉRALE,

DÉCIDE d’abroger la décision contenue dans sa résolution 3379 (XXX) du 10 novembre 1975.

* Pédophilie ritualisée et protégée

Ceci est un sujet très difficile, qui peut donner la nausée, ou le plus souvent provoquer un rejet incrédule tellement c'est ignoble et difficile à croire.
Cependant les faits et les témoignages s'accumulent (Conférence du Père Regimbald, documentaire "Fils de Juge", émission sur France3 d'Elise Lucet, etc...).

Stéphane Gendron, avocat canadien, vide son sac en direct à la télévision québécoise.


Un ancien Illuminati/Franc-maçon explique les raisons d'actes pédophiles ritualisés

* Le contre-pouvoir maçonnique : un Etat dans l'Etat.

Sophie Coignard, journaliste, publie un livre "Un Etat dans l'Etat: le contre-pouvoir maçonnique" (Albin Michel). Elle révèle nombre d'aspects de l'influence des franc-maçons en France et s'interroge sur le secret qui entoure leur appartenance. Lesinfos.com ont rencontré Sophie Coignard, l'auteur de ce livre-enquête. Elle nous livre ses confidences et dévoile quelques anecdotes, notamment à propos de Nicolas Sarkozy.

lundi 20 avril 2009

* Beyon the cutting edge

Conférence de David Icke - 2008 (en anglais)

* Coluche dénonce les médias

En France on peut regrouper la majorité des médias de presse écrite en 3 grands groupes : Lagardère, Dassault et Bouygues (on peut aussi y rajouter le groupe des Rothschild).

Idem pour les radios, 4 entreprises différentes regroupant l'ensemble des ondes hertziennes.
Coluche le dénonçait déjà dans les années 80... à quel prix?

dimanche 19 avril 2009

* Le rappeur Prodigy en prison

Prodigy est un des rares rappeurs américains à succès qui ne fait pas l'apologie du crime, du sexe et de la drogue mais les dénonce. Il dénonce également le système et la face occulte qui se cache derrière. Il vient d'être incarcéré...



Source:
http://www.dailymotion.com/user/Phenix999/video/x8u07t_prodigy-mobb-deep-en-prison_music

Son dernier e-mail de prison (en anglais) :
http://www.hnic2.com/profiles/blogs/letter-from-p-rappers-scared

Blog des citoyens actifs:
HTTP://CITOYENSACTIFS.NING.COM/

jeudi 16 avril 2009

* Tesla

Tesla, le génie du tonnerre - Reportage sur un Homme d'exception, bafoué par la science, renié par l'Histoire...
Si on on appliquait ses découvertes vieilles d'un siècle, l'énergie serait gratuite...

Le livre "Coucou c'est tesla" en pdf

http://sd-1.archive-host.com/membres/up/204540220328997474/CoucouCestTESLA.pdf

* Les éditions Félix ferment

Les éditions Félix ferment leurs portes:
http://www.leseditionsfelix.com/

Collection:
Livres jaunes n°5, 6, 7
Livre bleu n°1
La Guerre des virus
Coucou c'est Tesla

(Cette vidéo est extraite de la cassette vhs des éditions Félix sur Tesla; message de fin)

lundi 13 avril 2009

* La réalité chiffrée de la présidence de Chavez

1998-2008 - Une révolution économique et sociale Bilan décennal du Président Hugo Chávez

Posté le 09 avril 2009

Par LAMRANI Salim

Depuis son élection en 1998, Hugo Chávez a entrepris une vaste transformation économique et sociale au Venezuela dans le but d’améliorer le niveau de vie d’une population qui cultivait le paradoxe d’habiter dans l’un des pays les plus riches du continent américain et d’être en même temps plongée dans une singulière pauvreté. Retour sur les réformes du gouvernement bolivarien depuis dix ans.
Hugo Chávez est un président apprécié par son peuple. Lors d’un sondage réalisé en septembre 2008, il a recueilli 69% d’opinions favorables. Chávez est également le président qui peut se targuer de disposer de la plus forte légitimité démocratique du continent. En effet, il a largement remporté trois élections présidentielles successives en 1998, 2000 et 2006 avec plus de 60% des voix, et un référendum révocatoire en 2004 avec 59,1% des suffrages. La transparence de ces processus électoraux a été saluée par les plus éminentes institutions internationales. Seule ombre au tableau : le rejet de la réforme constitutionnel lors du referendum de décembre 2007 qui a mis un terme à douze victoires électorales consécutives depuis 1998 (1).

La popularité du leader vénézuelien s’explique par les réformes économiques et sociales spectaculaires qui ont permis d’améliorer le niveau de vie de la population. Pourtant, rien n’a été simple pour Chávez. Victime en avril 2002 d’un coup d’Etat orchestré par Washington, il fut sauvé par une extraordinaire mobilisation populaire. Par la suite, en 2003, il a dû faire face à un sabotage des infrastructures pétrolières qui a coûté 10 milliards de dollars à l’économie nationale, et est toujours confronté à de multiples tentatives de déstabilisation (2).

Nationalisations

En 2003, le gouvernement bolivarien a pu reprendre le contrôle de l’entreprise d’Etat Petróleos de Venezuela S.A. (PDVSA), alors entre les mains de l’oligarchie, ainsi que des ressources énergéti ques du pays en nationalisant les hydrocarbures. Désormais, PDVSA est propriétaire à hauteur d’au moins 60% des nouvelles entreprises mixtes. Par ailleurs, en mai 2007, le gouvernement vénézuélien a procédé à la nationalisation de la Bande pétrolifère de l’Orénoque, économiquement très lucrative et qui contient les plus importantes réserves mondiales (3).

Auparavant, les transnationales pétrolières extrayaient le baril de pétrole pour un coût de production de 4 dollars et le revendaient à l’Etat vénézuelien au prix de 25 dollars pour sa commercialisation, empochant au passage une substantielle plus-value. Ce nouveau système a permis à l’Etat d’économiser 3 milliards de dollars pour la production de 500 000 barils par jour issus des concessions pétrolières de l’Orénoque. Ces nationalisations permettent désormais au pays de disposer de plus de 400 000 barils de pétrole de plus par jour (4).

Le gouvernement vénézuelien a également décidé d’augmenter l’impôt sur les bénéfices de 34% à 50%, après avoir constaté que plusieurs firmes internationales avaient recours à l’évasion fiscale. Un nouvel impôt sur l’extraction de brut de 33,3% a été créé et génère des revenus supplémentaires à la nation d’un montant d’un milliard de dollars, ainsi qu’une taxe sur l’exportation de brut de 0,1% (5).
Le gouvernement a lancé un processus de nationalisation de certaines entreprises électriques et de télécommunications qui se trouvent dans une situation de monopole. Les entreprises privées Compañía Anónima Nacional Teléfonos de Venezuela S.A. (CANTV) et Electricidad de Caracas, détenues en grande partie par des capitaux étasuniens, sont passées sous contrôle de l’Etat (6).

Au niveau agricole, Chávez a récupéré près de 2 millions d’hectares, soit 28,74% des terres productives, aux latifundiaires sur les 6,5 millions d’hectares qui doivent être nationalisés. L’objectif est de développer le domaine de l’agriculture et d’atteindre une certaine souveraineté alimentaire. 49% des terres récupérées ont été redistribuées aux paysans, 40% sont destinées à des projets stratégiques et 11% ont été remises à des coopératives (7).
Ces réformes ont eu un effet bénéfique sur l’économie vénézuelienne, qui présente 19 trimestres consécutifs de croissance à une moyenne de 11, 2% (8).

Une véritable révolution sociale

Les nationalisations des divers secteurs de l’économie, ajoutées à la hausse du prix du pétrole, ont généré d’importants revenus à l’Etat, qui a entrepris une véritable révolution sociale. La politique du gouvernement a des résultats spectaculaires grâce à la multiplication des programmes en faveur des déshérités.

Grâce à la création du Fonden, un fonds spécial destiné à financer les programmes sociaux, le taux de personnes vivant en dessous du seuil de pauvreté est passé de 20,3% à 9,5% en dix ans. Au niveau de chômage, le taux est passé de 16,6% en 1998 à 7,1% en 2008. L’indice d’inégalité entre riches et pauvres a diminué de 13,7% entre 1998 et 2007. Le nombre de bénéficiaires de pensions de retraite a augmenté de 218,4%. Les dépenses sociales sont passées de 47,9% du budget de l’Etat en 1998 à 59,5% en 2007 (9).

L’universalisation de l’accès à l’éducation élaborée depuis 1998 a eu des résultats exceptionnels. Près de 1,5 millions de Vénézueliens ont appris à lire grâce à la campagne d’alphabétisation, nommée Mission Robinson I. En décembre 2005, l’UNESCO a décrété que l’illettrisme avait été éradiqué au Venezuela. La Mission Robinson II a été lancée afin d’amener l’ensemble de la population à atteindre le niveau du collège. A cela s’ajoutent les Missions Ribas et Sucre qui ont permis à plusieurs dizaines de milliers de jeunes adultes d’entreprendre des études universitaires. En 2007, le Venezuela comptait près de 12,7 millions d’enfants scolarisés sur une population de 26 millions d’habitants. Le nombre d’inscrits n’a cessé d’augmenter depuis l’arrivée de Chávez au pouvoir. En 2001, il était de 6,9 millions ; en 2002, il a atteint le chiffre de 9,5 millions pour se stabiliser à 11,3 millions en 2004. En 2005, il y avait 11,8 millions de scolarisés et 12,1 millions en 2006 (10).

Au niveau de la santé, le Système national public de santé a été créé afin de garantir l’accès gratuit aux soins à tous les Vénézueliens. La Mission Barrio Adentro I a permis de réaliser 300 millions de consultations dans les 4 469 centres médicaux créés depuis 1998. Près de 17 millions de personnes ont ainsi pu être soignées. En 1998, moins de 3 millions de personnes avaient un accès régulier aux soins. Plus de 104 000 vies ont ainsi pu être sauvées. Le taux de mortalité infantile a été réduit à moins de 10 pour mille. Par ailleurs, grâce à l’Opération Miracle lancée par Cuba, qui consiste à opérer gratuitement les Latino-américains pauvres atteints de maladies oculaires, 176 000 Vénézueliens pauvres ont ainsi pu retrouver la vue (11).

Pour éliminer les problèmes de malnutrition, le gouvernement a lancé la Mission Alimentation avec la création de magasins alimentaires dénommés Mercal dont les articles sont subventionnés par l’Etat à hauteur de 30%. Près de 14 000 points de vente ont été installés à travers le pays. La moitié de la population, soit plus de 13 millions de personnes, effectue ses achats dans ces magasins. Par ailleurs, plus de 4 millions d’enfants reçoivent une alimentation gratuite à travers le Programme d’alimentation scolaire. En 1998, ils n’étaient que 250 000 à bénéficier de ce programme. Selon la CEPAL, le Venezuela dispose désormais du troisième taux de malnutrition infantile le plus bas d’Amérique latine derrière Cuba et le Chili (12).

En 1998, 80% des habitants des villes avaient accès à l’eau potable. En 2007, le chiffre a atteint 92% grâce aux énormes investissements réalisés dans ce secteur. Au niveau rural, des efforts ont également été accomplis passant de 55% en 1998 à 71% en 200711. Plus de 6,5 millions de personnes en ont bénéficié. Le Venezuela a ainsi atteint les objectifs du millénaire fixés par l’ONU pour 2015 dans ce domaine dès 2001 (13).

Le salaire minimum mensuel est passé de 118 dollars en 1998 à 154 dollars en 2003, et 192 dollars en 2005. Il est désormais de 286 dollars, le plus élevé du continent latino-américain. A titre de comparaison, sous la IV République, le salaire de base, dans le meilleur des cas, stagnait et parfois même diminuait. En 1996, alors que l’inflation du pays avait atteint un taux vertigineux de 100%, le salaire minimum était de 36 dollars seulement, alors qu’en 1994, il était de 101 dollars et en 1992 de 132 dollars (14).

De plus, les adultes d’un certain âge n’ayant jamais travaillé disposent d’un revenu de protection équivalent à 60% du salaire minimum. Les femmes seules ainsi que les personnes handicapées reçoivent une allocation équivalente à 80% du salaire minimum. Les mères au foyer âgées de 61 ans recevront désormais une pension complète avec une priorité donnée aux plus pauvres. Par ailleurs, le temps de travail passera à 6 heures par jour et 36 heures hebdomadaires à partir de 2010, sans diminution de salaire (15).

Au niveau du logement, les autorités ont entrepris une politique de grands travaux avec la construction massive de nouveaux habitats destinés aux couches populaires et ont initié une politique de micro-crédits. Grâce à cette révolution sociale, le Venezuela fait désormais partie de la liste des 70 pays disposant d’un indice de développement humain élevé (16).

Une solidarité internationale

Hugo Chávez, qui s’est retiré de la Banque mondiale et du FMI en remboursant par anticipation ses dettes, a étendu son aide aux autres nations américaines en mettant en place l’Alternative bolivarienne pour les Amériques et en créant la Banque du Sud, destinés a promouvoir une intégration économique régionale. Actuellement, le Venezuela offre un soutien financier direct au continent plus important que celui fourni par les Etats-Unis. Pour l’année 2007, Chávez a alloué pas moins de 8,8 milliards de dollars en dons, financements et aide énergétique contre seulement 3 milliards pour l’administration Bush. Même les citoyens étasuniens, délaissés par leur propre gouvernement, bénéficient également de la politique altruiste du Venezuela en recevant du combustible subventionné17.

Le Venezuela est la preuve même qu’un gouvernement peut rapidement contribuer à une réduction drastique de la pauvreté et à améliorer sensiblement le bien-être de sa population, à condition à la fois de disposer de la volonté politique nécessaire et de destiner une partie des richesses nationales aux plus démunis. Caracas constitue la parfaite illustration du renouveau latino-américain où les peuples ont porté à la tête de plusieurs nations des leaders représentatifs de l’intérêt général, avec une réelle volonté politique de mettre un terme aux inégalités qui dévastent le continent. A l’heure où l’économie mondiale est frappée par une crise financière sans précédent, le Venezuela est porteur d’une alternative crédible au néolibéralisme sauvage.

Le Monde Diplomatique (édition espagnole) 22 février 2009

Notes
1 ABN, « Gestión presidencial tiene 69% de aceptación », 6 octobre 2008 ; ABN, « Victoria Roja, Rojita », 3 décembre 2006.2 Salim Lamrani, « Soberanía petrolera, reformas sociales e independencia económica en Venezuela », Rebelión, 15 mai 2007. 3 Ibid. 4 Ibid. 5 Ibid. 6 Erika Hernández, « Cantv : ícono de la privatización a la venezolana vuelve a manos del Estado », ABN, 12 janvier 2007 7 ABN, « Casi 2 millones de hectáreas han sido recuperadas del latifundismo », 25 mars 2007. 8 ABN, « Venezuela entre los países con mayor índice de desarrollo Humano », 6 octobre 2008. 9 Ibid. 10 Ibid. ; Salim Lamrani, « La revolución social del presidente Hugo Chávez », Rebelión, 9 mai 2006. 11 Ibid. 12 ABN, « Venezuela entre los países con mayor índice de desarrollo Humano », op. cit. ; Salim Lamrani, « La revolución social del presidente Hugo Chávez », op. cit. 13 ABN, « Venezuela sanea las cuencas de sus ríos para reducir escasez de agua », 21 mars 2007 ; ABN, « Venezuela entre los países con mayor índice de desarrollo Humano », op. cit. 14 ABN, « Venezuela con el salario mínimo más alto de Latinoamérica », 20 avril 2007. 15 Ibid. 16 ABN, « Venezuela entre los países con mayor índice de desarrollo Humano », op. cit. 17 Salim Lamrani, « Soberanía petrolera, reformas sociales e independencia económica en Venezuela », op. cit. ; Natalie Obiko Pearson & Ian James, « Exclusiva AP : Venezuela ofrece miles de millones a Latinoamérica », The Associated Press, 26 août 2007 ; The Associated Press, « Ayuda venezolana a Latinoamérica y el Caribe en el 2007 », 26 août 2007. Salim Lamrani est enseignant, chargé de cours à l’Université Paris Descartes et journaliste français, spécialiste des relations entre Cuba et les Etats-Unis. Il vient de publier Double Morale. Cuba, l’Union européenne et les droits de l’homme (Paris : Editions Estrella, 2008).

Contact : lamranisalim@yahoo.fr

Salim Lamrani est enseignant, chargé de cours à l’Université Paris Descartes et journaliste français, spécialiste des relations entre Cuba et les Etats-Unis. Il vient de publier Double Morale. Cuba, l’Union européenne et les droits de l’homme (Paris : Editions Estrella, 2008).

Source : http://cbparis.over-blog.com/

* Une petite Lueur d'espoir... ?

Lalanne aux élections européennes

Une petite Lueur d'espoir... ?

Lalanne chez Fogiel il y a quelques mois

* Dieudonné, censuré



Extrait du DVD "j'ai fait l'con" interdit à la vente,
enregistré en Décembre 2008 au Zenith de Paris

Introduction


Les Pygmés


Les Pygmés (suite)


Bush


Les serial killers


A propos de Faurisson


Dieudo à Rouen

dimanche 12 avril 2009

* Otan: le cercle vicieux de la violence

Diana Johnstone

Où qu’elle aille, l’Otan crée des menaces. C'est son fond de commerce. Que ce soit en Afghanistan ou à Strasbourg, la présence militaire étrangère provoque la rébellion violente, surtout de la part de jeunes gens qui veulent relever le défi. Leur rébellion sert à justifier une augmentation de violence répressive. Et ainsi de suite…

Ce cycle était visible samedi le 4 avril à Strasbourg, où plusieurs milliers de policiers et un petit nombre de casseurs du Black Block ont volé la vedette à ce qui aurait dû être le début d’un nouveau mouvement de masse européen contre l’Otan. La manifestation pacifiste fut écrasée et désintégrée par la police en armes, pendant que des jeunes aux capuchons noirs jetaient des pierres, cassaient des vitres et mettaient le feu aux bâtiments.

Provocateurs contre provocateurs

Dans ce cycle de provocation, il n’y a aucun doute que c'est l'Otan qui a commencé. La célébration ostentatoire du 60ème anniversaire de l’Alliance tenue dans trois villes du Rhin, Strasbourg, Kehl et Baden Baden ce jour-là, constituait une insulte aux citoyens. Après tout, si les dirigeants de "l’Occident démocratique" sont tellement appréciés, pourquoi faut-il transformer les villes qui les reçoivent en forteresses assiégées pour les accueillir? Si les Européens bénéficient de la protection de l’Otan, pourquoi les tenir à distance de leur bienfaiteurs ? Mais bien sûr l’Otan n’est pas une force de défense. Depuis l’agression contre la Serbie il y dix ans jusqu’au bourbier afghan aujourd’hui, l’Otan se transforme progressivement en force expéditionnaire destinée aux interventions lointaines. Les mesures de sécurité draconiennes appliquées à trois villes européennes plutôt conservatrices, enfermant les habitants dans leurs domiciles, ressemblaient à une occupation étrangère. Malgré la grande – mais peut-être passagère – popularité d’Obama, le sommet de l’Otan a illustré l’écart qui se creuse entre les peuples et leurs dirigeants politiques. Grand « communicateur », le Président des Etats-Unis s’est efforcé de persuader les Européens qu’ils sont encore plus menacés par Osama bin Laden et Al Qaeda que les Américains, et doivent donc payer leur tribut en impôts et en soldats pour éliminer cette menace quelque part en Afghanistan, si ce n’est au Pakistan ou ailleurs. Les médias européens ont pu distraire le public de cette notion saugrenue en dirigeant l’attention vers la tenue vestimentaire de Michelle Obama. Mais, entre temps, des dizaines de milliers de citoyens européens se dirigeaient vers Strasbourg dans l’espoir de manifester leur désaccord. Ils avaient des arguments à faire entendre. Ils ont fini étouffés par des nuages de gaz lacrimogènes, et ont été traités comme des bêtes.

La responsabilité du fiasco

La responsabilité de ce fiasco est partagée. De loin les plus responsables sont les forces de l'ordre qui ne cessent de durcir leurs modes de répression partout en Europe. Sous le regard des hélicoptères, les divers policiers, gendarmes et CRS pratiquent la technique d’origine anglaise de « kettling » qui consiste à diviser et à enfermer les manifestants à l’intérieur de petits espaces séparés, parfois entourés de barrières métalliques. Il s’agit de traiter les êtres humains comme du bétail. Plus de dix mille policiers ont employé un arsenal d’armes anti-personnelles contre un nombre comparable de manifestants sans défense. Des gaz lacrimogènes, des balles en caouchouc et des armes à « son et lumière » ont d’abord mis fin aux discours avant d’égarer les manifestant dispersés et désorientés. Tout cela a fini dans un chaos total.

Ce fut le résultat recherché. Mais une part de responsabilité incombe aux organisateurs, si on peut utiliser ce mot pour un événement où l’organisation faisait à ce point défaut. La manifestation anti-Otan du 4 avril était organisée par un collectif de groupes de militants français dont aucun n’avait l’autorité pour imposer un plan cohérent. Ainsi, le doyen de ces groupes, le Mouvement de la Paix, a fini par exercer la plus grande influence sur les décisions, notamment celle d’accepter le choix du site pour le rassemblement offert par la Préfecture. Au lieu de pouvoir se rassembler sur une place publique et de défiler dans les rues de Strasbourg sous les fenêtres des habitants, avec leurs banderolles, leurs slogans et leur théâtre de rue, les manifestants furent exilés sur une île périphérique entre le Rhin et un grand canal dans une zone industrielle. Les deux seuls ponts permettant l’accès du côté français étaient faciles à bloquer pour les forces d’ordre. Il suffit de regarder un plan pour voir qu’il s’agissaitt d’un piège, et, sur le terrain, le dénivellement rendait celui-ci pire encore. Situé à quelques huit kilomètres de la gare, un jour où tout transport public était supprimé, le site était difficile à atteindre. De plus, le point de rassemblement et le parcours imposé était quasi invisible au public. Bref, les manifestants étaient coupés de toute communication avec le public. Et la souricière donnait l’avantage à la police pour exercer ses méthodes de répression. Pourtant les organisateurs ont accepté ce site inacceptable – sans même fournir un service d’ordre pour guider et essayer de protéger les manifestants.

Il est vrai qu’en échange, la Préfecture avait fait certaines promesses – non tenues. Les ponts et les rues qui devaient rester ouverts pour permettre aux manifestants de joindre le rassemblement sur l’île se trouvaient bloqués de façon imprévisible par la police, provoquant les premières échauffourées. Curieusement, plusieurs milliers de manifestant pacifistes furent bloqués sur la rive allemande du Rhin, sans jamais pouvoir rejoindre le rassemblement, tandis que des Black Block allemands y parvenaient. En général, la police a traité les pacifistes comme l’ennemi dans une guerre civile, sans protéger les personnes ou les biens de la minorité violente.
Le rassemblement, tenu dans un creux sur l’île, était perturbé par le spectacle d’un hôtel voisin consumé par les flammes. Les haut-parleurs cédaient au bruit des hélicoptères. Le défilé programmé n’a jamais pu se faire. Des manifestants désorientés étaient abandonnés à eux-mêmes lorsqu’ils tentaient d’échapper aux gaz lacrimogènes à travers un labyrinthe de contrôles policiers.

Le Black Block

Les pacifistes ne pouvaient concurrencer les casseurs du Black Block, pourtant beaucoup moins nombreux. Contrairement aux pacifistes, ils paraissent, sur les vidéos, comme étant maîtres de leur propre jeu, en combat avec la police. Il est probable qu’ils en éprouvent fierté et satisfaction.
Après le désastre de Strasbourg, il est clair que, pour survivre et se développer, le mouvement anti-Otan doit faire face à trois problèmes : ses propres faiblesses organisationnelles, la répression policière et le Black Block.
Question fréquente : les casseurs du Black Block sont-ils des provocateurs travaillant pour la police ? Incapable d’enquêter sérieusement sur cette question, ma propre réponse intuitive est : subjectivement non, mais objectivement oui. Ils ne peuvent pas tous être des policiers en capuchon noir. La plupart croient sans doute qu’ils sont en train de « combattre le capitalisme », comme ils le proclament. Mais objectivement ils arrivent à justifier cette même répression policière qu’ils combattent avec tant d’élan.

Errare humanum est. Les mauvaises intentions fleurissent, mais les erreurs sont encore plus courantes. Un mouvement intelligent contre l’Otan doit essayer d’appliquer l’alternative à la guerre – l’argumentation rationnelle – en toutes circonstances. Nous devons débattre avec les gens qui se trompent sur l’Otan, pour expliquer sa nocivité. Et nous devons débattre avec ceux du Black Block, pour signaler ce qui ne va pas dans leur forme de protestation.

Comment entamer un tel dialogue n’est pas évident. En faisant l’hypothèse que les participants aux actions du Black Block ne sont pas tous des policiers déguisés, j’inviterais, si j’en avais les moyens, ceux qui sont sincères à prendre en considération plusieurs idées.

  • Les combattants du Black Block devraient mettre en question leurs propres motivations. Tout au long de l’histoire, de jeunes gens s’amusent à se mettre en bandes pour combattre un ennemi. La testosterone et l’adrénaline ne sont pas des arguments politiques. Mais ce sont des stimulants très efficaces quand il s’agit de lancer des projectiles contre l’adversaire. Les combattants de rue se sentent facilement victorieux et supérieurs face aux phalanges de flics casqués qui paraissent bien lâches dans ce contexte. Les casseurs sont victorieux dans le match du machisme, mais à quoi bon, si ce n'est à flatter leur orgueil ?
  • Les combattants du Black Block devraient surtout penser à l’effet de leurs actions sur la masse des citoyens, qui peuvent être indécis politiquement. L’Otan et les forces de l’ordre profitent du sentiment d’insécurité des citoyens. Les actions du Black Block attisent ce sentiment.
  • Les combattants du Black Block devraient évaluer l’impact désastreux de leurs activités sur d’autres formes de protestation publique. Avec la police, ils vident les rues des manifestations de masse.
  • Les combattants du Black Block devraient réfléchir sur la facilité avec laquelle ils sont exploités par leur ennemi. D’une part, quoi qu’ils en pensent, ils sont certainement infiltrés par des agents. Et ils doivent se demander pourquoi certains d’entre eux ont pu casser les vitres de l’Hôtel Ibis sur l'île du Rhin à Strasbourg, puis y mettre le feu de façon méthodique, sans la moindre intervention policière. De plus, cet incendie impressionnant dévora l’hôtel pendant plus d’une heure avant l’arrivée des pompiers. Ce spectacle servit parfaitement à faire peur aux manifestants et à hâter leur dispersion, mais surtout à remplir les écrans de télévision avec la preuve que « les manifestants sèment la destruction ». Les autorités ont cité l’incendie comme justifiant leurs mesures policières (pourtant parfaitement inutile dans ce cas précis). Et pourquoi mettre le feu à un hôtel Ibis, alors qu’il y en a huit à Strasbourg, celui-ci étant probablement le moins rentable ? Et quels moyens semi-professionnels étaient nécessaires pour cette action de pyromane ? Et pourquoi mettre également le feu à une pharmacie qui servait les résidents plutôt modestes de ce quartier déshérité ? Quel message politique exprime-t-on ainsi ?
  • Bref, les militants du Black Block, quel que soit leur âge, doivent quitter l’adolescence attardée et se rendre compte que le combat contre les pouvoirs injustes commence par la pensée, la raison, les faits et les arguments. Jouer avec la violence c'est jouer sur le seul terrain où ils sont les plus forts, c’est jouer leur jeu. L’action du style d’Intifada peut être le seul recours pour des Palestiniens désespérés, mais, en Europe, il existe encore d’autres moyens d’opposition politique. Il faut les inventer, les explorer, les développer.

Que faire?

L’année 2008 fut un vrai tournant, avec deux événements de très grande portée qui changent, petit à petit, la vision du monde que peuvent avoir la plupat des gens : l’effondrement financier, et l’attaque israélienne contre Gaza. Les répercussions s'en feront de plus en plus sentir. Elles préparent le terrain pour l’opposition massive des peuples aux puissances financières et militaires qui dirigent l’Occident et qui s’efforcent toujours, à travers l’Otan en particulier, d'imposer leur domination au monde entier. Il y a des indices que le pouvoir reconnaît le danger et prépare des technologies de répression pour contrer les révoltes à venir. Il est urgent de fournir des alternatives politiques en termes de programmes et d’organisation. Si les manifestations de masse sont vulnérables à la répression policière et aux casseurs, il faut inventer d’autres moyens plus variés et plus flexibles pour communiquer les uns avec les autres afin d' élargir un mouvement cohérent capable de combattre la militarisation de la société et de construire une économie centrée sur les véritables besoins des êtres humains. En tout cas, toute manifestion future contre l’Otan doit se doter de son propre service d’ordre. On ne peut pas mélanger des manifestants pacifiques avec les casseurs qui cherchent ce que cherche la police : les combats violents.