Si tu es-tu né dans les années 40, 50, 60 , comment as-tu survécu ?!??
Les voitures n'avaient pas de ceintures de sécurité, pas d'appuie-tête et
bien sûr pas d'airbags. Sur la banquette arrière, c'était "rigolo"
et pas "dangereux". (relisez dans une des bandes dessinées de Snoopy:un des enfants explique à l'autre ce que c'est être enfant: "c'est quand on rentre le soir an voiture de pouvoir être couché tranquillement sur la banquette arrière pendant que papa et maman s'occuppent de tout; et une fois qu'on sera adulte plus jamais ce ne sera comme ça" - plus jamais ? demande l'autre - plus jamais, répond le premier, alors l'autre enfants se met à trembler et dit au premier : "serre-moi fort !") maintenant ...
Les barreaux des lits et les jouets étaient multicolores ou du moins vernis
avec des peintures contenant du plomb ou d'autres produits toxiques.
Il n'y avait pas de sécurité enfant sur les prises électriques, portières
de voitures, médicaments et autres produits chimiques ménagers.
On pouvait faire du vélo sans casque. ???? ç'est quoi c'truc ? une cuirasse peut-être aussi ? et pour aller travailler à pied il faut quoi ? Une tenue de joueur de football américaine , et ne ne parle pas des escaliers au bureau il faut mettre un casque aussi là ? des fois qu'eun dossier vous toemberait sur la tête ? Qui est-ce qui est tombé sur la tête là? j'hallucine !
On buvait de l'eau au tuyau d'arrosage, à une fontaine ou à n'importe
quelle autre source, sans que ce soit de l'eau minérale sortie d'une
bouteille stérile (et recouvert de bisphénol A (toxique)! )...
On construisait des caisses à savon et ceux qui avaient la chance d'avoir
une rue asphaltée en pente devant chez eux pouvaient tenter des
records de vitesse et se rendre compte à mi-chemin que les freins
avaient été oubliés... Après quelques accidents, le problème étaient
en général résolu !
On avait le droit de jouer dehors à la seule condition d'être de retour
avant la nuit. http://miiraslimake.over-blog.com/article-135600.html
http://miiraslimake.over-blog.com/article-2043637.html
Et il n'y avait pas de portable (producteurs de radiations micro-ondes) et personne savait où l'on était et ce qu'on faisait...Incroyable !
L'école durait jusqu'à midi, on pouvait rentrer manger à la maison. (c'est évident ! pourquoi ? il y en a qui sont enfermés même le midi comme dans une caserne ? !)
On avait des écorchures, des fractures et parfois même on se brisait les
dents, mais personne n'était mis en accusation pour ça. (Eh oui on n'était pas dans un état policier, l'Europe occidentale c'était encore "Le Monde Libre") Même quand il y avait une bagarre, personne n'était coupable à part nous-mêmes.
On pouvait avaler des tonnes de sucreries, des tartines avec des tonnes de
beurre et boire des boissons avec du VRAI SUCRE, mais personne
n'avait de problèmes d'excès de poids, car nous étions toujours
dehors. (Et il n'y avait pas d'aspartame (toxique) ni de traitement agricoles (toxiques) ni d'additifs autorisés "européen" (toxiques), peu de microparticules diesel (cancérigènes), ni d'uranium apauvri (cancérigène))
On pouvait se partager une limonade dans la même bouteille sans risquer
d'attraper des maladies .
Nous n'avions pas de Playstation, Nintendo 64, X-Box, jeux vidéo, 99
programmes de TV sur câble ou satellite, pas de vidéo, de Dolby
surround, de portable, d'ordinateur, de chat room en amerlocque dans texte, sur Internet, mais
nous avions... des amis !
(et si on n'en avait pas on pouvait rêver)
On pouvait sortir, à pied ou en vélo pour aller chez un copain, même s'il
habitait à plusieurs KM, frapper à la porte ou simplement rentrer
chez lui pour le prendre pour jouer avec nous. Dehors, oui dehors
dans le monde cruel ! Sans surveillance ! (eh oui on n'était pas en prison) Comment cela a-t-il pu
être possible ?
On jouait au foot avec un seul but et si l'un d'entre nous n'était une fois
pas sélectionné, pas de traumatisme psychologique, c'était pas la
fin du monde !
Parfois un élève peut-être un peu moins bon que les autres devait
redoubler. Personne n'était alors envoyé chez les psychologues ou
pédopsychiatres. Personne n'était dyslexique, hyperactif ou avait
des "problèmes de concentration". L'année était redoublée, (ce qui est de loin la meilleure des soutions), point et
chacun avait les mêmes chances que les autres.
Nous avions des libertés, des échecs, des succès, des devoirs et des
tâches... une vie quoi ! Et nous apprenions à vivre avec. La question du jour est donc:
mais comment avons-nous survécu ? Comment avons-nous pu
développer notre personnalité ?
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire