Barack Obama devrait être
le porte-parole des criminels
de Wall Street et de la City
Dans son précédent numéro, LIESI évoquait le groupe
anglo-hollandais et sa mainmise sur le plan de
l’Eurogroup avec l’implication de Dame Vadera, porteparole
des puissantes familles bancaires à l’origine de
la crise. Ces familles entendent être très actives dans la
gestion de cette crise, dans la mesure où celle-ci
répond à un objectif : imposer une réforme du
SYSTEME dans le sens d’une dictature financière
supranationale.
Notre analyse s’est avérée fondée puisque le Plan
Paulson a été remodelé, il y a deux semaines, afin de
coller à la version du groupe anglo-hollandais.
Nous allons maintenant voir que la nomination d’Obama
à la présidence américaine s’inscrit précisément dans
cette logique où les faiseurs de la crise sont aussi les
faiseurs de rois ! B. Obama doit faire le pont entre
Wall Street et la City de Londres. En ce sens, le
phénomène de l’obamania s’apparente à ce que les
Français ont expérimenté avec l’élection de N. Sarkozy.
Les sophistes et les manipulateurs d’opinion ont de
l’avenir ! Traduisons : les Américains vont beaucoup
souffrir et les disciples d’Obama vont déchanter eux
aussi… Le conte de fées selon lequel B. Obama serait
un homme « indépendant de l’establishment » prendra
fin rapidement, au grand dam de tous ces politiciens de
« droite » comme de « gauche » dont la cupidité n’a
d’égal que leur lâcheté à défendre la dignité humaine.
Au lendemain des élections américaines, le président
Medvedev a annoncé que la Russie installerait des
missiles de courte portée à Kaliningrad, pour riposter à
l’installation de missiles antibalistiques américains en
Pologne et en République tchèque.
Beaucoup de gens ont placé de grands espoirs en
Barack Obama. Dans le Hors-série sur le candidat
démocrate à l’investiture présidentielle, publié en
octobre 20081, nous avons montré que le sénateur
Obama était très lié à la pègre de Chicago ! Quant à
son parcours de campagne, il s’est réalisé avec
d’importants fonds en provenance de Wall Street et de
Londres, via George Soros, un agent des Rothschild,
LE banquier du cartel anglo-hollandais. D’ailleurs,
Obama a bénéficié d’une situation économique
catastrophique et il fut élu au moment où les marchés
financiers dégringolaient, ce qui a poussé les indécis à
ne pas voter McCain, républicain comme G.W. Bush, le
M. Hoover du XXIe siècle.
Voilà donc un futur président des Etats-Unis ayant la
ferveur des opprimés ET des banquiers internationaux,
des victimes et des assassins !
La première réponse de B. Obama à ses
marionnettistes a été l’annonce de la nomination
d’Emanuel Rahm au poste de chef de cabinet de la
Maison-Blanche. L’agressivité d’E. Rahm lui a valu le
surnom de « Rahmbo », « l’exécuteur absolu » du
nouveau gouvernement. « Il sait où les corps sont
enterrés, ce que les gens veulent, désirent et quels
sont leurs besoins et leurs points faibles. Il ne tolère
aucune erreur », explique John Lapp, un ancien
directeur de la Commission des campagnes
démocrates pour le Congrès (DCCC). Pour information,
Rahm Emanuel travailla à la Wasserstein Petrella, la
banque d’affaires de Bruce Wasserstein, que ce dernier
revendit à la Dresdner Bank lorsqu’il rejoignit Lazard
Frères en 2000. Il est l’un de ceux qui établirent le pont
entre Wall Street et Obama. Autrement dit, quand
Obama était sénateur, il obéissait à la pègre de
Chicago ; et maintenant, s’il est président le 20 janvier
2009, il obéira à la mafia de Wall Street et à celle de la
City (certaines familles sont dans les deux camps).
Barack Obama : candidat d’une union entre
Wall Street et la City
Dès le lendemain du triomphe de Barack Obama à
l’élection présidentielle, Lord Malloch-Brown, ministre
d’Etat au Foreign Office britannique pour l’Afrique,
l’Asie et l’ONU, était interrogé à la Chambre des
communes, à Londres, et il reconnut : « Nous
collaborons déjà avec le général Petraeus, le nouveau
commandant (américain), et nous avons détaché des
personnes auprès de son équipe afin de préparer
des options stratégiques pour le nouveau Président
(Obama) ».
Selon des sources du renseignement américain
consultées par LIESI, Lord Malloch-Brown a pour
mission de favoriser un scénario de guerre générale à
partir de l’Afghanistan et, pour cela, B. Obama doit
jouer son rôle.
Comment le lien a t-il été établi entre Lord Malloch-
Brown, le porte-parole du cartel anglo-hollandais, et
Barack Obama ? Par l’intermédiaire de Samantha
Power, la conseillère personnelle d’Obama. Mme Power
est très liée au tandem Malloch-Brown / Soros 2.
Le 24 février 2008, par exemple, le Times de Londres
affirmait dans un article sur Mme Power, que le ministre
britannique avait été, jusque-là, la principale liaison
entre le gouvernement de Gordon Brown et la
campagne d’Obama. En outre, Samantha Power est
redevable envers le spéculateur George Soros, dont
l’Open Society Institute a financé ses recherches en
2003, l’aidant alors qu’elle avait des difficultés à trouver
un éditeur commercial pour promouvoir son livre sur
« l’ingérence humanitaire ». A un niveau plus élevé,
Malloch-Brown et George Soros collaborent depuis des
décennies. Avant d’entrer en poste au Foreign Office, le
Britannique était vice-président du controversé
Quantum Fund, le très opaque hedge fund de Soros,
basé dans le paradis fiscal de Curaçao, et il était aussi
vice-président de son Open Society Institute. Les deux
hommes ont également joué un rôle majeur dans la
« révolution des roses » en Géorgie, qui amena au
pouvoir Mikhael Saakachvili, dont ils ont ensuite financé
le gouvernement et la stupide guerre que l’on connaît.
Ces quelques éléments expliquent pourquoi le cartel
anglo-hollandais a soutenu B. Obama. Juste avant le
scrutin, le Financial Times, porte-parole des intérêts
financiers du cartel anglo-hollandais, soutenait
résolument la candidature d’Obama, précisément parce
que ce dernier avait bien réagi à la crise financière
internationale en écoutant les conseils d’experts plus
sages que lui. En effet, Obama a pleinement soutenu le
plan de renflouement d’Henry Paulson, exerçant des
pressions intenses sur les élus nationaux pour qu’ils
l’adoptent.
Aucune marge d’erreur n’est permise à
Barack Obama
Ceux qui ont soutenu B. Obama n’ont pas pris de gants
pour se débarrasser d’Hillary Clinton. Ils n’en prendront
pas avec Obama s’il ne fait pas précisément ce que ses
marionnettistes attendent de lui. Chose incroyable, dès
le lendemain de l’élection présidentielle, un
commentaire intitulé « Cher Monsieur le Président »,
paraissait dans la très lue Lex Column, du Financial
Times. On y félicitait Barack Obama et on lui
déconseillait d’en faire trop : qu’il se contente
simplement de s’assurer que le Plan Paulson
fonctionne sans anicroche, qu’il mette « à disposition
du crédit (même si les prêts restent faibles) » et résiste
aux pressions des Américains furieux qui réclament des
mesures pour relancer l’économie. « Si vous êtes dans
l’obligation d’agir, prenez des initiatives populaires mais
inoffensives », conseille le quotidien de Londres.
Du « conseil » à la « menace », il n’y a qu’un pas. C’est
ainsi que plusieurs journaux britanniques, contrôlés par
le cartel bancaire, ont abondé en mises en garde contre
le danger qu’Obama soit assassiné avant même
d’arriver à la Maison-Blanche, donnant force détails sur
sa sécurité personnelle. De ce point de vue, il faut
évoquer la menace des financiers de la City en
parcourant le titre de la manchette du tabloïd du Daily
Express du 6 novembre : « La cible : Obama – On
craint qu’Obama n’arrive jamais à la Maison-Blanche ».
Finalement, si Obama reste en place, ceux qui
espéraient un changement découvriront, dès 2009, que
celui-ci s’est traduit par l’« accélération de la crise » et
des mesures schachtiennes contre les citoyens !
La nouvelle administration Obama va devoir gérer les
prochaines tempêtes. Après celle de l’immobilier, vient
la dette sur les cartes de crédit, le financement des
entreprises, et que dire de l’ouragan des produits
dérivés qui pourrait tout mettre par terre ?
Rothschild, le banquier du groupe
anglo-hollandais, est-il
le marionnettiste le plus influent ?
Dans les derniers numéros de LIESI, nous avons
expliqué pourquoi, face à la crise bancaire actuelle, le
Premier ministre britannique Gordon Brown avait
imposé « la première étape de la solution » de la Haute
finance à l’ensemble de la communauté européenne.
Lui-même a été « conseillé » par Mme Vadera, un agent
du cartel bancaire, et le plan de l’Eurogroup a
ensuite été exécuté par le tandem Brown/Sarkozy.
Dans le numéro 170, LIESI a mis en évidence le fait
que la conseillère privée de G. Brown, Mme Vadera,
était un agent du complexe UBS Warburg. Or les
Warburg ont toujours été sous la coupe des
Rothschild. Le livre « Financial Origins of National
Socialism » (1933) de Sydney Warburg3 donne des
éléments très intéressants au sujet de cette
subordination de la dynastie Warburg aux Rothschild,
banquiers du groupe anglo-hollandais. Dans ce livre de
70 pages, censuré pendant de nombreuses années4,
« Warburg » décrit une réunion secrète, en juillet 1929,
avec « Carter », le président du Guarantee Trust de
J.P. Morgan, les présidents des Federal Reserve
Banks, le jeune Rockefeller et Glean de la Royal Dutch.
Ils étaient tous sous tutelle des Rothschild5. Comme
nous l’avons très brièvement dit dans le numéro 170, le
financement de la guerre d’Hitler ne permit pas
cependant au groupe anglo-hollandais de récupérer
le pétrole du Caucase.
Le pion russe échappa à leur contrôle et il en est
encore de même aujourd’hui, comme on le verra plus
loin avec Poutine. C’est d’ailleurs sur le fondement de
cette considération que LIESI a su anticiper, depuis dix
ans, le grand retour de la Russie sur l’échiquier
international.
Dans le document relatif à la guerre menée par la
Géorgie contre l’Ossétie du Sud, nous relevions que
l’échec des forces géorgiennes aux frontières de ce
petit pays signifiait une nouvelle défaite de la finance
juive khazare devant les anciennes frontières de
l’Empire de Khazarie. Rappelons brièvement que cet
Empire fut détruit par les Russes. Sa population dut
alors émigrer en Europe de l’Est et ce sont les
Khazars ou les Askhénazes. Ils se disent juifs mais
ne le sont pas. L’élite de ce groupe finança les
nazis et Hitler avec lesquels ils partageaient la
haine des vrais juifs, les Sépharades. Les crimes
accomplis contre les Sépharades avec la
bénédiction de l’élite des Khazars servit de caution
à la création de l’Etat d’Israël selon leur propre
stratégie, laquelle consiste à détruire ce même Etat
lors d’une Troisième Guerre mondiale6.
On dit donc aujourd’hui des Khazars qu’ils sont juifs,
mais c’est un pur mensonge7. En tout cas, l’élite de ce
groupe khazar a toujours juré de se venger de la
Russie. C’est elle qui conçut le dessein d’exécuter
cette vengeance en 1917. Et de fait la Russie fut
sévèrement punie ! D’aucuns affirment que les
Rothschild sont des Khazars. Relevons cette
confidence du célèbre diplomate Rakovsky8 pour qui
6 Exactement selon les modalités du Plan Pike, dont certains
disent que c’est un faux, qui s’exécute pourtant avec une
précision chirurgicale !
7 Voir l’ouvrage de H.F. Freedman : « L’Histoire occultée des
faux Hébreux – Les Khazars » – 15 € (port offert).
8 Christian Rakovsky était un ancien initié communiste. Né
Chaim Rakeover en 1873, il étudia la médecine en France
avant de devenir révolutionnaire. C’était le leader d’un groupe
terroriste qui attaquait les officiels gouvernementaux. En 1919,
Lénine le chargea du gouvernement soviet de l’Ukraine. Il
accomplit la mission des bolcheviks avec succès pendant la
guerre civile et Staline le nomma ambassadeur d’URSS à
Paris, en 1925. Plus précisément, Rakovsky appartenait à la
puissante faction trotskyste qui prenait ses ordres auprès
des leaders des financiers de la Révolution russe, les
Rothschild. Plusieurs membres de ce groupe furent liquidés
par Staline lorsque ce dernier prit le pouvoir, après la mort de
Lénine. Staline n’étant pas un pion des financiers du
groupe anglo-hollandais, il décida de purger le réseau
bolchévique de ses éléments trotskystes. C’est ainsi que
Rakovsky fut mis en prison et interrogé. Le texte de cet
interrogatoire, si éclairant sur les menées d’un Pouvoir occulte
qui transparaît lumineusement derrière ses propos, fut copié
secrètement par le Dr Joseph Landowsky à l’insu des autorités
soviétiques. Le père du Dr Joseph Landowsky, un colonel
tsariste, avait été tué par les Bolcheviks au cours de la
révolution de 1917. (Source : « Fourth Reich of the Rich », de
Des Griffin) Un volontaire espagnol de la légion Azul trouva le
manuscrit de l’interrogatoire sur le cadavre de Rakovsky, dans
une cabane, sur le front de Petrograd, pendant la Seconde
Guerre mondiale. Il le rapporta en Espagne où il fut publié. Cet
interrogatoire fut donc diffusé, à l’origine, en espagnol aux
Editions E.R.S.A. de Don Mauricio Carlavilla, à Madrid, à la fin
des années 60, sous le titre « Sinfonia in rojo major »
(Symphonie en rouge majeur). A sa lecture, l’on s’aperçoit, en
effet, que Rakovsky fut l’un des fondateurs du bolchevisme
soviétique. Ce document d’une grande importance
« l’étoile à cinq branches des soviets représente les
cinq frères Rothschild avec leurs banques, qui
possèdent des richesses colossales, les plus
grandes jamais connues ».
« N’est-il pas étrange que Marx n’ait jamais mentionné
ce fait ? », demande Rakovsky. « N’est-il pas étrange
que pendant les révolutions, les insurgés n’aient jamais
attaqué les banquiers, leurs châteaux ou leurs
banques ? » La remarque vaut pour la Révolution
française et celles du XIXe siècle ! Mieux encore,
d’après Edouard Demachy, c’est un détachement
d’insurgés qui gardait l’Hôtel particulier des Rothschild
à Paris durant la Commune. Il serait aujourd’hui très
intéressant d’étudier les liens éventuels entre le
nouveau parti d’O. Besancenot et les Rothschild…
La guerre est le moyen par lequel les banquiers
internationaux avancent vers leur objectif d’un
gouvernement mondial totalitaire. Rakovsky dit que
Trotsky était derrière le meurtre de l’archiduc Ferdinand
(qui a déclenché la Première Guerre mondiale). Il
rappelle la phrase prononcée par la mère des cinq
frères Rothschild : « ‘‘Si mes fils le veulent, alors il n’y
aura aucune guerre en Europe’’. Cela veut dire qu’ils
étaient les arbitres, les maîtres de la paix et de la
guerre, mais pas les empereurs », conclut Rakovsky.
Ces éléments historiques ne sont-ils pas suffisants pour
juger de l’importance du cartel bancaire, chapeauté par
les Rothschild, au-delà des pions politiques façonnant
la prochaine architecture financière mondiale ?
Au cours de la première semaine de novembre 2008, le
Premier ministre britannique G. Brown s’est rendu en
Arabie saoudite pour demander aux Saoudiens de
contribuer au renflouement du Fonds monétaire
international. Traduisons : les banquiers internationaux
ont l’intention d’utiliser cette institution supranationale
dans le grand sauvetage du système bancaire et
monétaire, déjà en quasi-banqueroute.
Le 6 novembre, G. Brown, entouré d’une myriade de
chefs d’entreprise, de conseillers en communication,
était à Dubaï pour « négocier » avec les Arabes. Ce
jour-là, comme par hasard, le Baron David de
Rothschild était également présent9. Dans une courte
interview, D. de Rothschild a implicitement avoué être
derrière le Plan promu par Londres et, par ricochet, par
le président de l’Eurogroup. En effet, il a loué « l’action
spectaculaire de politiciens tels que G. Brown et N.
Sarkozy qui ont sauvé le système bancaire d’une
banqueroute systémique ! » Il a aussi affirmé : « Il y
aura une gouvernance globale ».
Bien sûr, le Baron David de Rothschild a cherché à
minimiser l’influence de son groupe financier. Selon ses
dires, il n’est plus le même qu’auparavant…
Selon LIESI, D. de Rothschild se trouvait à Dubaï pour
préparer le nouveau système monétaire international.
Depuis 2006, les Rothschild ont investi à Dubaï afin de
diversifier leurs avoirs, essentiellement concentrés en
Europe. Ils ont aussi l’intention de se développer aux
Etats-Unis, profitant des faillites bancaires et
industrielles qui surviendront au cours des deux
prochaines années.
« Dans les années 1820, les Rothschild étaient
personnellement intervenus auprès de la Banque
d’Angleterre afin d’éviter une crise de liquidités. Depuis
le XIX° siècle, écrit Rupert Wright, les Rothschild ont
dirigé un empire financier avec le soutien de grosses
banques d’affaires comme Merrill Lynch, JP Morgan,
Morgan Stanley et sans doute Goldman Sachs, ainsi
que la Banque de Chine10 aujourd’hui » !
Voilà pourquoi les autorités communistes chinoises
n’ont JAMAIS paniqué face à la décrue du dollar
US. Elles n’ont, en effet, nullement procédé à de ventes
paniques de la devise américaine. Comme s’ils
savaient qu’une reprise artificielle du dollar US serait
organisée afin d’arbitrer une partie de leurs réserves
contre de l’or physique. Cela prouve sans ambiguïté
qu’un accord a été conclu à un niveau qui dépasse les
simples administrations américaine et chinoise. Cela se
situe à un niveau occulte.
Face à la réaction russe le groupe
anglo-hollandais provoquera t-il
une autre guerre mondiale ?
Dans l’interrogatoire de C. Rakovsky, ce dernier entend
montrer à Staline que les commanditaires de la
révolution russe contrôlent le monde et que la guerre
mondiale qui sévit s’inscrit dans le cadre d’un vaste
« Mouvement Révolutionnaire ». « L’argent est à la
base du pouvoir », dit Rakovsky, et les Rothschild le
fabriquent grâce au système bancaire. Le « Mouvement
Révolutionnaire » était déjà une tentative engagée par
Mayer Rothschild et ses alliés de protéger et d’étendre
ce monopole en établissant un Nouvel Ordre Mondial
totalitaire. Toujours selon Rakovsky, « les Rothschild
n’étaient pas les trésoriers, mais les chefs de ce
premier communisme secret… Marx et les plus hauts
chefs de la première Internationale… étaient contrôlés
par le baron Lionel Rothschild (1808-1878) dont le
portrait de révolutionnaire fut réalisé par le Premier
ministre anglais Disraeli, qui était aussi sa créature, et
nous a été laissé [dans Coningsby, roman à clés de
Disraeli] »11
Nathaniel Rothschild (1840-1915), le fils de Lionel,
voulait renverser la dynastie chrétienne (orthodoxe) des
Romanov. A l’aide de ses agents Jacob Schiff et les
frères Warburg, il finança la partie japonaise dans la
guerre russo-japonaise, et une insurrection infructueuse
à Moscou en 1905. Puis il fut à l’origine de la Première
Guerre mondiale (Trotsky était, répétons-le, derrière le
meurtre de l’archiduc Ferdinand) et finança la
Révolution bolchevique de 1917. Selon Rakovsky, il fut
personnellement impliqué dans le transfert de fonds à
Stockholm12. Rakovsky explique encore que le
mouvement ouvrier juif (le Bund) était un instrument
des Rothschild. La « faction secrète » du Bund infiltra
tous les partis socialistes en Russie et fournit les
dirigeants pour la révolution russe. Alexandre
Kerensky, le Premier ministre Menchevik en était un
membre secret13. Leon Trotsky était censé devenir le
leader de l’URSS. Trotsky, un juif, épousa la fille d’un
des plus proches associés de Rothschild, le banquier
Abram Zhivotovsky et intégra « le clan ».
Malheureusement, des communistes « nationaux »
comme Lénine croisèrent sa route. Lénine rejeta
Trotsky et fit la paix avec l’Allemagne (traité de Brest-
Litovsk en 1918). Ce n’était pas le plan des Rothschild.
La Première Guerre mondiale était censée se terminer
comme se termina la seconde. La Russie était censée
envahir l’Allemagne en 1918 et aider les
révolutionnaires locaux à établir une république
populaire. Trotsky fut responsable d’une tentative
d’assassinat de Lénine en 1918, mais Lénine survécut.
Quand Lénine eut une attaque, en 1922, Trotsky le fit
achever par Lévine, le médecin juif de Lénine. A ce
moment critique, l’inattendu se produisit. Trotsky
tomba malade et Staline resta seul en position de
prendre le pouvoir. Dans ces circonstances cruciales,
les trotskystes prétendirent soutenir Staline et ils
infiltrèrent son régime en vue de le saboter.
Rakovsky définit Staline comme un « bonapartiste », un
nationaliste, par opposition à un international
communiste comme Trotsky. « C’est un tueur de la
Révolution, il ne la sert pas, mais il s’en sert, il
représente l’impérialisme russe le plus ancien, juste
comme Napoléon s’identifiait avec les Gaulois… » 14
Aussi, pour contrôler Staline, la finance internationale
fut amenée à créer Hitler et le Parti nazi. Rakovsky
confirma que des financiers juifs (khazars) américains
soutenaient bien Hitler, et que ce dernier ignorait leurs
motivations secrètes. Malheureusement pour les
banquiers du cartel bancaire, Hitler s’est lui aussi
montré rebelle. Il commença à imprimer sa propre
monnaie ! Hitler était ainsi devenu une menace plus
grande que Staline, lequel n’avait pas touché à la
monnaie. La mission de Rakovsky fut de convaincre
Staline de signer un pacte avec Hitler et de retourner
l’agression d’Hitler contre l’Ouest. L’objectif était de
faire que l’Allemagne et les nations occidentales
s’épuisent les unes les autres avant qu’un autre front
ne soit ouvert à l’Est.
Aujourd’hui, le cartel bancaire aura t-il encore des
difficultés à imposer une gouvernance mondiale à
la Russie ? Les hommes de l’ex-KGB parlent
ouvertement, via leur représentant, le Premier ministre
V. Poutine, d’indexer le rouble sur l’or. Les éminences
grises des services secrets russes entendent-elles
jouer la partition symphonique du groupe Rothschild et
de ses banquiers vassaux ? Pour LIESI, la réponse est
NIET ! Nous avons déjà connu un récent couac
entre la nébuleuse Rothschild et le pouvoir occulte
qui dirige la Russie au sein même des services
secrets russes. Il s’agit là d’un signal très clair de la
mésentente entre le cartel bancaire, le groupe anglohollandais
et la Russie.
De quel couac s’agit-il ? L’arrestation, par V. Poutine
(dont le grand-père fut cuisinier de la famille de Lénine,
puis de Staline), de Mikhail Khordordovsky, le patron
de Yukos, la plus grande compagnie pétrolière russe,
et l’homme le plus riche de Russie. Après cette
arrestation, fin 2003, Poutine annonça que la Russie
allait saisir les 12 milliards de dollars représentant
26% de ses parts dans la compagnie pétrolière, l’un
des nombreux actifs nationaux pillés dans la
réorganisation du communisme, il y a vingt ans. Or ces
parts avaient déjà été transférées vers Jacob
Rothschild dans le cadre d’un « accord inconnu
jusqu’alors », mais prévu pour une telle
circonstance. Jacob Rothschild et Mikhail
Khordordovsky se connaissaient depuis des années
« par leur amour commun des arts ». Mikhail
Khordordovsky n’était donc qu’un homme de paille,
comme le sont présentement de nombreux politiciens
qui agissent contre les intérêts de leur propre pays en
exécutant les étapes du plan de gouvernance mondiale
concocté par le cartel bancaire.
Depuis ce divorce entre le cartel bancaire et le
pouvoir moscovite, les pressions se multiplient
contre la Russie, jusqu’à l’événement géorgien dont
LIESI a mis en évidence le rapport ténu avec l’histoire
du Royaume de Khazarie… Pour la rédaction de LIESI,
le « Comité X » favorisera le jeu joué par la Russie aux
dépens de l’Ouest et du cartel bancaire.
2009 : les projets funestes
des marionnettistes d’Obama
Récemment, Joe Nocera, un journaliste du New York
Times, a incidemment assisté à une conférence très
privée entre banquiers de la pieuvre Rockefeller. Dans
un article publié le 25 octobre 2008, il dévoile que les
grosses banques choisies par le cartel bancaire n’ont
absolument pas l’intention d’utiliser les milliards
distribués par le Trésor américain, dans le cadre du
Plan Paulson, pour faciliter le développement du crédit
bancaire. Bien au contraire ! A propos de ces fonds
dont H. Paulson avait assuré qu’ils seraient utilisés
pour relancer les prêts, le directeur de JP Morgan a dit
que « …le volume des prêts va continuer à baisser, car
nous allons continuer à resserrer le crédit ». Il a
également été dit que les milliards distribués par le
secrétaire d’Etat au Trésor H. Paulson, serviraient à
racheter les banques mises en faillite.
Nocera cite un directeur de JP Morgan Chase15 :
« J’estime qu’après les acquisitions de Washington
Mutual et de Bear Stearns, l’environnement instable
actuel nous permettra de faire d’autres acquisitions
intéressantes ». C’est l’aveu d’un employé de premier
ordre du cartel bancaire ! Preuve que cette crise doit,
entre autres, permettre une concentration bancaire
sur le plan international. Une autre source, très
avertie, nous confiait : la quasi-totalité des banques
régionales seront avalées par les grands géants de la
Banque. Cette concentration doit être achevée au
moment où les banquiers internationaux autoriseront
les politiciens à parapher leur texte de réforme
monétaire internationale. Voilà pourquoi les bourses
mondiales vont BEAUCOUP baisser, malgré les petits
prétentieux qui illusionnent les naïfs sur les qualités des
équipes dirigeantes et sur les divers plans présentés.
Pour eux, déclencher une grande braderie en bourse
n’est qu’un jeu d’enfants. Il faudra donc attendre de
nombreux mois avant de toucher le bas, avec plusieurs
reprises « techniques » sans lendemain16. Le temps
que la concentration soit effective au niveau des
banques et du point de vue industriel. Le temps de
peaufiner la réforme monétaire internationale.
Une « bombinette » pour épauler
le programme d’Obama ?
Selon une source haut placée dans la communauté du
renseignement américain, l’on donne une forte
probabilité au scénario selon lequel une « attaque
terroriste d’envergure serait lancée contre les Etats-
Unis dans les six premiers mois de la nouvelle
présidence. Son principal but serait d’aggraver les
effets de la crise financière et de justifier le
« programme » concocté par le cartel bancaire à
l’intention de B. Obama et de son administration.
L’on se souviendra qu’en 1993, l’attentat contre le
World Trade Center de New York s’était produit dans
les premiers mois de la présidence Clinton. Et que dire
du 11 septembre 2001 où des attentats furent exécutés
moins de neuf mois après l’entrée en fonction de la
clique Bush/Cheney ?
Il est donc apparemment plus facile d’agir pendant la
période de transition présidentielle pour ce type
d’opération sale. Voilà pourquoi certaines voix
institutionnelles proposent que le secrétaire à la
Défense, le directeur du Renseignement national (DNI)
et le directeur de la CIA restent en poste un an de plus,
le temps de laisser s’installer la nouvelle équipe.
D’un point de vue stratégique, un événement de ce
genre pourrait justifier l’application d’un programme
déjà annoncé, ici ou là, par les ténors du cartel
bancaire. Il faut trouver des boucs émissaires à cette
crise qui doit s’amplifier démesurément au cours des
prochains mois.
Et que dire des curieux propos tenus par le colistier
d’Obama, Joseph Biden, dont LIESI a eu l’occasion de
parler dans le numéro 170. Peu de temps avant les
élections du 4 novembre, l’éventuel prochain président
des Etats-Unis en cas de disparition de B. Obama, a dit
lors d’un discours électoral à Seattle : « Croyez-moi,
avant six mois, le monde mettra à l’épreuve Barack
Obama, comme il le fit avec John Kennedy. […] Vous
verrez, nous aurons une crise internationale, une
crise provoquée, afin de prendre la mesure de ce
gars ».
Ces dernières semaines, plusieurs responsables
politiques américains ont confié avoir été « terrorisés »
pour voter le Plan Paulson. L’intimidation des élus est
un signe supplémentaire du danger de dictature qui
menace les Etats-Unis. Certaines personnes
occupant des postes de très haut niveau ont confié
qu’elles feraient tout pour quitter les Etats-Unis
prochainement car leur docilité est nécessaire pour
appliquer le programme des banquiers
internationaux. Elles cherchent un moyen de rompre
des « relations terrifiantes » ; elles craignent « d’être
tuées ou enfermées dans un camp de concentration ».
Le député démocrate Brad Sherman a confirmé cette
évaluation. Dans son discours précédant le deuxième
vote du 3 octobre 2008, il s’est exprimé comme suit :
« On a même dit à certains membres (du Congrès)
qu’on imposerait la loi martiale en Amérique si nous
votions non ». Lui n’a pas cédé à la menace. Quarantehuit
heures auparavant, dans une tribune du Seattle
Post-Intelligencer, Amy Goodman, de Democracy Now,
mettait en garde le 1er octobre contre une « force
militaire d’active qui puisse servir à supprimer les
protestations publiques », au moment où le système
financier s’effondre. On a récemment appris que le
Congrès avait discrètement autorisé le Département de
la Sécurité Intérieure à utiliser des satellites pour
obtenir des renseignements sur le sol américain…
Selon vous, que préparent-ils ?
Nouvel Ordre monétaire,
gouvernance mondiale
et religion mondiale
Le 25 juillet 2008, Barack Obama s’est rendu à Berlin
où il a tenu un discours d’« illuminé ». Prenant
l’exemple de ce qui s’était produit en Allemagne avec la
chute du Mur, il a appelé chrétiens, musulmans et juifs
à s’unir. Ce message n’est pas innocent ! Il cadre
parfaitement avec le projet de « gouvernance
mondiale » des banquiers synarchistes dont la
mystique consiste en la pratique de l’occulte. Comme
ces gens servent le diable, ils agissent avec perfidie et,
pour le moment, parlent de religion syncrétiste.
Cachant le culte qu’ils rendent à Lucifer, ils poussent en
avant les forces du syncrétisme religieux, tremplin de
l’introduction du culte antichristique. Comme l’exprimait
fort bien l’un de leurs agents, Rakovsky : « Le
communisme ne peut pas triompher, sauf s’il supprime
le christianisme encore en vie. En réalité, le
christianisme est notre seul véritable ennemi, depuis
tous les phénomènes politiques et économiques des
Etats bourgeois ». Ainsi s’explique le projet Megiddo
des services secrets américains, connu de nos anciens
abonnés. Il fut conçu à l’époque du Patriot Act et
prévoit l’arrestation, aux Etats-Unis, de toute personne
opposée à la religion syncrétiste, sans Jésus-Christ,
Fils de Dieu, qui a dit : « Qui n’est pas avec moi est
contre moi ».
Depuis l’époque de Rakovsky, le cartel bancaire a
réussi son Concile oecuménique et la gouvernance
mondiale s’échafaude avec son pendant religieux. Rien
ne semble entraver le plan. En 1926, l’initié Jean
Izoulet et ses disciples dévoilaient ce projet des
synarchistes : la fin du capitalisme arrivera avec la
gouvernance globale et le syncrétisme religieux (la
laïcité positive). Que voit-on aujourd’hui ? Après
l’horrible pandémonium d’Assise organisé par le khazar
Karol Katz Wojtyla, c’est le couple Benoît XVI/Sarkozy
qui promeut le projet de la religion unique. Les foules
endoctrinées à l’humanisme et aux cultes païens, ont
apostasié la foi de leurs pères. Il y a 82 ans, l’initié
Izoulet et ses disciples dévoilaient le plan religieux de la
synarchie, exécuté par Rome et Paris pour une époque
caractérisée par la fin du capitalisme dans l’ouvrage
« Paris, capitale des religions ». Malgré tant de traits
d’évidence, d’aucuns se refusent toujours à voir le
drame qui va secouer les nations car, comme en avertit
saint Paul : « De Dieu on ne se moque pas
impunément. Ce que l’homme sème, il le moissonnera
aussi ».
1 « Le Groupe Bilderberg choisit Barack Obama », 8 €.
2 Sur un autre front, le lobby de la légalisation des drogues –
qui jouit aussi des largesses de George Soros – attend
beaucoup de Barack Obama. Ethan Nadelmann, directeur
exécutif de la Drug Policy Alliance, a diffusé, au lendemain de
l’élection présidentielle, une lettre sur la nécessité de mettre
fin à la « désastreuse guerre à la drogue », notant que le
sénateur de l’Illinois a « dit que l’Amérique devrait traiter la
consommation de la drogue comme un problème de santé et
non de justice pénale ».
3 On ne connaît aucun « Sydney Warburg », mais l’évidence
suggère que l’auteur pourrait être James P. Warburg, le fils du
fondateur de la Federal Reserve, Paul Warburg. Le général
Ludendorff attesta au procès de Nuremberg que James P.
Warburg était le canal à travers lequel 34 millions de dollars
furent finalement transférés de Wall Street aux nazis.
4 Il fut publié en anglais en 1983 sous le titre « Hitler’s Secret
Backers ».
5 Source : Henry Makow Ph.D.
6 Exactement selon les modalités du Plan Pike, dont certains
disent que c’est un faux, qui s’exécute pourtant avec une
précision chirurgicale !
7 Voir l’ouvrage de H.F. Freedman : « L’Histoire occultée des
faux Hébreux – Les Khazars » – 15 € (port offert).
8 Christian Rakovsky était un ancien initié communiste. Né
Chaim Rakeover en 1873, il étudia la médecine en France
avant de devenir révolutionnaire. C’était le leader d’un groupe
terroriste qui attaquait les officiels gouvernementaux. En 1919,
Lénine le chargea du gouvernement soviet de l’Ukraine. Il
accomplit la mission des bolcheviks avec succès pendant la
guerre civile et Staline le nomma ambassadeur d’URSS à
Paris, en 1925. Plus précisément, Rakovsky appartenait à la
puissante faction trotskyste qui prenait ses ordres auprès
des leaders des financiers de la Révolution russe, les
Rothschild. Plusieurs membres de ce groupe furent liquidés
par Staline lorsque ce dernier prit le pouvoir, après la mort de
Lénine. Staline n’étant pas un pion des financiers du
groupe anglo-hollandais, il décida de purger le réseau
bolchévique de ses éléments trotskystes. C’est ainsi que
Rakovsky fut mis en prison et interrogé. Le texte de cet
interrogatoire, si éclairant sur les menées d’un Pouvoir occulte
qui transparaît lumineusement derrière ses propos, fut copié
secrètement par le Dr Joseph Landowsky à l’insu des autorités
soviétiques. Le père du Dr Joseph Landowsky, un colonel
tsariste, avait été tué par les Bolcheviks au cours de la
révolution de 1917. (Source : « Fourth Reich of the Rich », de
Des Griffin) Un volontaire espagnol de la légion Azul trouva le
manuscrit de l’interrogatoire sur le cadavre de Rakovsky, dans
une cabane, sur le front de Petrograd, pendant la Seconde
Guerre mondiale. Il le rapporta en Espagne où il fut publié. Cet
interrogatoire fut donc diffusé, à l’origine, en espagnol aux
Editions E.R.S.A. de Don Mauricio Carlavilla, à Madrid, à la fin
des années 60, sous le titre « Sinfonia in rojo major »
(Symphonie en rouge majeur). A sa lecture, l’on s’aperçoit, en
effet, que Rakovsky fut l’un des fondateurs du bolchevisme
soviétique. Ce document d’une grande importance
historique est reproduit dans l’ouvrage « COMPLOT
MONDIAL : mythe ou réalité » – 20 € (port offert).
9 En septembre 2007, les ministres des Finances des pays
membres du Conseil de Coopération du Golfe ont annoncé
leur projet d’aboutir le plus vite possible à une union monétaire
pouvant, dans un premier temps, accoucher d’une simple
devise. Le projet du cartel bancaire, selon nous chapeauté par
les Rothschild, consiste à créer une monnaie régionale pour
cette partie du globe. Cinq Etats islamiques du CCG se sont
fixés l’objectif de 2010 pour l’adoption d’une devise commune.
Ainsi, il apparaît de plus en plus, dans le nouvel ordre
monétaire en gestation, que le projet du cartel bancaire est de
contraindre les Etats à abandonner les monnaies nationales
pour une monnaie REGIONALE. De ce point de vue, les
Européens ont servi de cobbayes avec l’Euro et la Banque
centrale européenne. On voit donc que le nouveau système
monétaire se traduira par une énorme perte de pouvoir d’achat
des citoyens.
10 Selon le Guangzhou Daily, un journal chinois, la Banque
centrale de Chine envisagerait de multiplier presque par sept
ses réserves en or afin de diversifier les risques pour le pays.
La Banque centrale, à la tête des premières réserves de
change de la planète, porterait ainsi ses réserves du métal
précieux de 600 tonnes aujourd'hui à 4 000 tonnes. En
septembre, la Chine est devenue le premier détenteur de bons
du Trésor américain avec 585 milliards de dollars de bons. Fin
septembre, ses réserves de change se portaient à environ
1 900 milliards de dollars. NDLR.
11 Des Griffin : «Fourth Reich of the Rich »,p. 250.
12 Des Griffin : «Fourth Reich of the Rich »,pp. 251-252.
13 Des Griffin : «Fourth Reich of the Rich »,p. 253.
14 Des Griffin : «Fourth Reich of the Rich »,p. 257.
15 Pour information, le cartel anglo-hollandais cherche à couler
Citigroup au profit de Morgan Chase, une banque liée de
longue date aux Britanniques. Le groupe anglo-hollandais
souhaite qu’elle devienne la première banque d’Amérique à
l’issue de la crise.
16 Voyez ce qui arrive maintenant depuis la publication de nos
précédents numéros : les licenciements commencent à
pleuvoir en Europe par dizaines de milliers. Le drame dans
cette affaire, c’est que tout cela est le fruit d’un complot
synarchique, engagé par des dynasties financières avec la
complicité des gouvernements et des partis d’opposition. Les
gens sont aveuglés, ils ne veulent pas s’instruire et prennent
pour argent comptant les élucubrations des « experts » de la
télévision. S’ils avaient réfléchi et vu la réalité des choses en
face, beaucoup auraient évité de perdre les économies
d’années de labeur. N’est-il pas consternant, aujourd’hui, de
trouver encore des personnes pour penser que Ben Laden est
responsable de l’Opération 11-Septembre ? Ces gens-là
prouvent que la crédulité n’a pas de limite.
dimanche 28 décembre 2008
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