Sous l'influence, voir même l'emprise, d'un modèle de pensée totalitaire, un frisson nous parcours face à l'action de Dieudonné : inviter Faurisson le "négationiste".
C'est la première réaction que nous avons, produite par de nombreuses années de conditionnement intellectuel (lavage de cerveau?).
Cependant un esprit critique éveillé veut en savoir plus, quelle est la démarche de Dieudonné? Est-ce seulement de la provocation? Qui est Faurisson? Qu'a-t-il vraiment écrit? Ses thèses sont-elles réellement ce que les médias et les gardiens de la pensée unique nous relatent?
En tout cas, sans jugement de valeur, l'action de Dieudonné nous amène (pour ceux qui le peuvent) à nous questionner.
Ci-dessous la vidéo (de médiocre qualité, filmé par un téléphone portable je suppose) de l'intervention de Faurisson sur la scène du Zénith lors du spectacle de Dieudonné le 26 Décembre 2008. Cette intervention est, en elle-même, de bien peu d'intéret, mais le fait de l'avoir inviter est bien plus lourd de sens.
Après la vidéo vous trouverez des interventions très documentées d'internautes sur le site d'alterinfo ainsi que des liens vers les écrits de Faurisson qui permettent d'avoir des éléments rares par ces temps de dictature intellectuelle.
Et comme le disait Voltaire : "Je ne suis pas d'accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu'à la mort pour que vous ayez le droit de le dire. »
Une maxime qui semble avoir été oubliée en ces temps obscures...
Posté par Mélanine le 27/12/2008 sur
http://www.alterinfo.net/26-12-08-Dieudonne-invite-Robert-Faurisson-au-Zenith-de-Paris_a27625.html
"A ceux qui diabolisent Faurisson, sans l'avoir lu, en affirmant que c'est un nazi. Je leur signale qu'il ne font rien d'autre que de s'asseoir sur leurs propres principes critiques, qui veut, je l'espère, qu'on prenne connaissance des arguments de la personne condamnée par d'autres.
Je ne vous en veux pas, j'étais comme vous... jusqu'à ce que je prenne connaissance de la collaboration des sionistes avec les nazis.
C'est alors que sur la base de cette histoire non dite, me sont apparu nettement une foule de contradiction dans l'histoire de "l'holocauste".
A commencer par celle-ci : comment les nazis aurai-il pu avoir pour dessein d'exterminer les juifs et collaborer en même temps avec les sionistes ? Sionistes qui organisèrent la déportation des juifs dans les camps de concentration par le biais des judenrat (conseiljuif). Hannah Arendt, in Eichman à Jérusalem dénonce cette collaboration nazisioniste.
Cette contradiction intenable m'a poussé à dépasser mes préjugés et à lire tout simplement Faurisson.( comme s'il s'agissait du diable en personne). Jusqu'ici, je n'avais pris connaissance que du point de vue des accusateurs...
J'ai compris alors le rôle joué par les images chargées d'horreur, auxquelles on associait ce qu'elles ne montrent pas. La charge de l'émotion est si forte qu'elle annihile toute idée de remise en cause, de recherche comparative et critique.
Je n'irais pas plus loin. Voci à présent une série de textes qui témoignent de cette histoire largement cachée. Et pour cause car elle permet de comprendre pourquoi les colons sionistes agissent avec tant de barbarie avec les Palestiniens depuis 1945.
COLLUSION ET COLLABORATION DU MOUVEMENT SIONISTE
AVEC LE NATIONAL-SOCIALISME HITLERIEN.
Fédération sioniste d'Allemagne, un mémorandum au parti nazi le 21 juin 1933 :
" Dans la fondation du nouvel État, qui a proclamé le principe de la race, nous souhaitons adapter notre communauté à ces nouvelles structures... notre reconnaissance de la nationalité juive nous permet d'établir des relations claires et sincères avec le peuple allemand et ses réalités nationales et raciales. Précisément parce que nous ne voulons pas sous-estimer ces principes fondamentaux, parce que nous aussi nous sommes contre les mariages mixtes, et pour le maintien de la pureté du groupe juif.. Les Juifs conscients de leur identité, au nom desquels nous parlons, peuvent trouver place dans la structure de l'État allemand, car ils sont libérés du ressentiment que les Juifs assimilés doivent éprouver ; ... nous croyons en la possibilité de relations loyales entre les Juifs conscients de leur communauté et l'État allemand.
Pour atteindre ses objectifs pratiques, le sionisme espère être capable de collaborer même avec un gouvernement fondamentalement hostile aux Juifs... La réalisation du sionisme n'est gênée que par le ressentiment des Juifs à l'extérieur, contre l'orientation allemande actuelle. La propagande pour le boycott actuellement dirigée contre l'Allemagne est, par essence, non sioniste... "
Source: Lucy Dawidowicz, A Holocaust reader, p. 155.
Le Mémorandum ajoutait :
" qu'au cas où les Allemands accepteraient cette coopération les sionistes s'efforceraient de détourner les Juifs, à l'étranger, d'appeler au boycott anti-allemand. "
Source: Lucy Dawidowicz, The war against Jews (1933 - 1945) Ed. Penguin books,1977, p.231- 232.
Ben Gourion ( premier dirigeant de l'État d'Israël ) le 7 décembre 1938, devant les dirigeants sionistes du "Labour" :
" Si je savais qu'il est possible de sauver tous les enfants d'Allemagne en les amenant en Angleterre, et seulement la moitié d'entre eux en les transportant en Eretz Israël, je choisirai la deuxième solution. Car nous devons tenir compte non seulement de la vie de ces enfants, mais aussi de l'histoire du peuple d'Israël. "
Source: Yvon Gelbner, "Zionist policy and the fate of European Jewry", dans Yad Vashem studies. Jerusalem. Vol. XII, P. 199.
La circulaire de la Wilhelmstrasse indique:
" les objectifs que s'est donnée cette catégorie (de Juifs qui s'opposent à l'assimilation et qui sont favorables à un regroupement de leurs coreligionnaires au sein d'un foyer national), au premier rang de laquelle se trouvent les sionistes, sont ceux qui s'écartent le moins des buts que poursuit en réalité la politique allemande à l'égard des Juifs ".
Source: Lettre circulaire de Bülow-Schwante à toutes les missions diplomatiques du Reich. N° 83, 28 février 1934.
" Il n'y a aucune raison, écrivait Bulow-Schwante au Ministère de l'Intérieur, d'entraver, par des mesures administratives, l'activité sioniste en Allemagne, car le sionisme n'est pas en contradiction avec le programme du national-socialisme dont l'objectif est de faire partir progressivement les Juifs d'Allemagne. "
Source: Lettre no Z U 83?21. 2818 du 13 avril 1935.
Reinhardt Heydrich, chef des Services de Sécurité S.S:
" Nous devons séparer les Juifs en deux catégories : les sionistes et les partisans de l'assimilation. Les sionistes professent une conception strictement raciale, et, par l'émigration en Palestine, ils aident à bâtir leur propre Etat juif... nos bons vœux et notre bonne volonté officielle sont avec eux. "
( 1935 Das Schwarze Korps, organe officiel de la S.S - ) Source: Hohne. Order of the Death'a Head, p. 333
Circulaire de la Gestapo de Bavière à la police, 28 janvier 1935 :
" les membres de l'organisation sioniste, en raison de leur activité orientée vers l'émigration en Palestine, ne doivent pas être traités avec la même rigueur qui est nécessaire pour les membres des organisations juives allemandes (assimilationistes) ".
Source: Kurt Grossmann, "Sionistes et non-sionistes sous la loi nazie dans les années 30" Yearbook. Vol. VI, p. 310.
Alfred Rosenberg, principal théoricien nazi, écrit :
" le sionisme doit être vigoureusement soutenu afin qu'un contingent annuel de Juifs allemands soient transportés en Palestine. "
Source: A. Rosenberg: Die Spur des Juden im Wandel der Zeiten, Munich 1937, p. 153.
Nota : Betar : groupe para-militaire sioniste.
" Le Betar allemand reçut un nouveau nom: Herzlia. Les activités du mouvement en Allemagne devaient obtenir bien sûr l'approbation de la Gestapo; en réalité, Herzlia agissait sous la protection de cette dernière. Un jour, un groupe de SS attaqua un camp d'été du Betar. Le chef du mouvement se plaignit alors auprès de la Gestapo et, quelques jours plus tard, la police secrète annonça que les SS en question avaient été punis. La Gestapo demanda au Betar quelle compensation lui semblait la plus adéquate. Le mouvement demanda que la récente interdiction qui leur avait été faite de porter des chemises brunes soit levée; la requête fut satisfaite. "
Source: Ben Yeruham, Le Livre de Betar, T. H, p. 350.
" L'organisation sioniste des juifs allemands avait une existence légale jusqu'en 1938, cinq ans après l'avènement d'Hitler... La Jüdische Rundschau (journal des sionistes allemands) parut jusqu'en 1938. "
Source: Leibowitz, Israël et Judaïsme. Éd. Desclée de Brouwer, 1993. p. 116
" Le sauvetage des juifs en Europe ne figurait pas en tête de liste des priorités de la classe dirigeante. C'est la fondation de l'état qui était primordiale à leur yeux. "
Source: Tom Segev. Le septième million. Éd. Liana Levi, Paris, 1993, p. 539
Memorandum du Comité de sauvetage de l'agence juive :
" Devons-nous aider tous ceux qui en ont besoin sans tenir compte des caractéristiques de chacun ? Ne devons nous pas donner à cette action un caractère national sioniste et tenter de sauver en priorité ceux qui peuvent être utiles à la Terre d'sraël et au judaïsme ? Je sais qu'il peut sembler cruel de poser la question de cette façon, mais nous devons malheureusement établir clairement que si nous sommes capables de sauver 10 000 personnes parmi les 50 000 personnes qui peuvent contribuer à la construction du pays et à la renaissance nationale ou bien un million de juifs qui deviendront pour nous un fardeau ou au mieux un poids mort, nous devons nous restreindre et sauver les 10 000 qui peuvent être sauvées ? malgré les accusations et les appels du million de laissés pour compte. "
Source: Memorandum du Comité de sauvetage de l'agence juive. 1943. Cité par Tom Segev. (op. cit)
Itzak Shamir ( futur premier ministre d'Israël ) et Abraham Stern, document remis à l'ambassade d'Allemagne à Ankara ( à cette époque les troupes du Maréchal Rommel était déjà en Egypte ) :
" En matière de conception nous nous identifiions à vous. Pourquoi donc ne pas collaborer l'un avec l'autre ? "Mémorandum de l'agent des services secrets nazis à Damas, Werner Otto Von Hentig, sur les pourparlers avec les émissaires de Stern et de Shamir : " la coopération entre le mouvement de libération d'Israël et le nouvel ordre en Europe sera conforme à l'un des discours du chancelier du IIIe Reich dans lequel Hitler soulignait la nécessité d'utiliser toute combinaison de coalition pour isoler et vaincre l'Angleterre ".
Nota : ces documents se trouvent au Mémorial de l'holocauste (Yad Vachem) à Jérusalem, classés sous le numéro E2M.
Israël Eldad, un des chefs historiques du groupe Stern confirme, dans un article publié dans le quotidien de Tel-Aviv, le Yediot Aharonoth, du 4 février 1983, l'authenticité de ces pourparlers entre son mouvement et les représentants officiels de l'Allemagne nazie -
Extraits :
"Principes de base de t'Organisation militaire nationale (NMO) en Palestine (Irgun Zevaï Leumi) concernant la solution de la question juive en Europe et la participation active du NMO à la guerre aux côtés de l'Allemagne. Il ressort des discours des dirigeants de l'État nationale-socialiste allemand qu'une solution radicale de la question juive implique une évacuation des masses juives de l'Europe. (Judenreines Europa).Cette évacuation des masses juives de l'Europe est la condition première de la solution du problème juif, mais cela n'est possible que par l'installation de ces masses en Palestine, dans un Etat juif, avec ses frontières historiques.Résoudre le problème juif de façon définitive, et libérer le peuple juif, c'est l'objectif de l'activité politique et des longues années de lutte du "mouvement pour la liberté d'Israël" (Lehi) et de son Organisation militaire nationale en Palestine (Irgun Zevaï Leumi).Le NMO, connaissant la position bienveillante du gouvernement du Reich envers l'activité sioniste à l'intérieur de l'Allemagne, et les plans sionistes d'émigration estime que:
1) Il pourrait exister des intérêts communs entre l'instauration, en Europe, d'un ordre nouveau, selon la conception allemande, et les véritables aspirations du peuple juif telles qu'elles sont incarnées par Lehi.
2) La coopération entre l'Allemagne nouvelle et une nation hébraïque rénovée (Vôlkisch Nationalen Hébräertum) serait possible.
3) L'établissement de l'État historique juif sur une base nationale et totalitaire, et lié par un traité au Reich allemand pourrait contribuer à maintenir et à renforcer, dans l'avenir, la position de l'Allemagne au Proche?Orient. A condition que soient reconnues, par le gouvernement allemand, les aspirations nationales du "Mouvement pour la liberté d'Israël"
"(Lehi), l'Organisation militaire nationale (NMO) offre de participer à la guerre aux côtés de l'Allemagne. La coopération du mouvement de libération d'Israël irait dans le sens des récents discours du Chancelier du Reich allemand, dans lesquels Monsieur Hitler soulignait que toute négociation et toute alliance devait contribuer à isoler l'Angleterre et à la battre. D'après sa structure et sa conception du monde, le NMO est étroitement lié avec les mouvements totalitaires européens."
Source: Le texte original, en allemand, " trouve, en Appendice no 11, dans le livre de David Yisraeli: Le problème palestinien dans la politique allemande, de 1889 à 1945, Bar Ilan University, Ramat Gan, Israël, 1974, p. 315-317.
Les pourparlers ont subi un coup d'arrêt lorsque les troupes alliées ont arrêté en juin 1941, l'émissaire d'Abraham Stern et Itzak Shamir, M. Naftali Loubentchik, au bureau même des services secrets nazis à Damas. D'autres membres du groupe ont poursuivi des contacts jusqu'à l'arrestation, par les autorités britanniques, de M. Itzak Shamir, en décembre 1941, pour "terrorisme et collaboration avec l'ennemi nazi."
Ben Gourion :
" Beghin appartient incontestablement au type hitlérien. C'est un raciste disposé à détruire tous les Arabes dans son rêve d'unification d'Israël, prêt, pour réaliser ce but sacré, à user de tous les moyens. "
Source: E. Haber, Menahem Beghin, the man and the legend Ed. Delle Book. New York, 1979,
p. 385.34151-8.
Politique-Info - Mars 2002 - Toute reproduction autorisée.
avid Ben Gourion : Octobre 1936 :
"Nous ne suggérons pas d'annoncer maintenant notre but final qui va très loin ? plus loin encore que les révisionnistes qui s'opposent à la partition. Je ne veux pas abandonner la grande vision, la vision finale qui est une composante organique, spirituelle et idéologique de mes (..) aspirations sionistes, "
(David ben Gourion, " mémoires " , volume trois, page 467).
"Les frontières des aspirations sionistes sont l'affaire du peuple juif et aucun facteur externe ne pourra les limiter. " (Ouvrage cité ci dessus, discours en 1937).
Ben Gourion, lettre à son fils (1936) :
"Un Etat juif partiel n'est pas une fin, mais seulement un commencement. Je suis convaincu que l'on ne peut nous empêcher de nous établir dans les autres parties du pays et de la région."
Ben Gourion, 1938 :
"Les frontières des aspirations sionistes, incluent le Liban-Sud, le sud de la Syrie, la Jordanie d'aujourd'hui, toute la Cisjordanie, et le Sinaï "
(Rapport au Conseil mondial de Poalei Zion ( futur Parti Travailliste ) à Tel-Aviv).
Ben Gourion, discours de 1938 :
"Après être devenus une force importante grâce à la création de l'Etat, nous abolirons la partition et nous nous étendrons à toute la Palestine. L'Etat ne sera qu'une étape dans la réalisation du sionisme et sa tâche est de préparer le terrain à l'expansion. L'Etat devra préserver l'ordre non par le prêche mais par les mitrailleuses. ".
1940, Joseph Weitz, chef du Service de colonisation de l'Agence juive :
"Entre nous, il faut qu'il soit clair qu'il n'y a pas place pour les deux peuples dans le pays. Nous n'atteindrons pas notre but s'il y a des Arabes dans ce petit pays. Il n'y a pas d'autre issue que de transférer les Palestiniens d'ici dans les pays avoisinants, de les transférer tous. Il ne doit pas rester un seul village, une seule tribu. ".
Le même Joseph Weitz explicitait ce que signifiait pratiquement " rendre la Palestine "juive" " :
"Il y en a qui croient que la population non juive même en pourcentage élevé, à l'intérieur de nos frontières, sera plus facilement surveillée par nous ; et il y en a d'autres qui croient le contraire, c'est à dire qu'il est plus facile de surveiller les activités d'un voisin que celles d'un locataire. (Je) tends à soutenir ce deuxième point de vue et j'ai un argument supplémentaire : la nécessité de renforcer le caractère de l'État qui sera désormais juif ( .. ) avec une minorité non juive limitée à 15 %. J'étais déjà arrivé à cette conclusion fondamentale dès 1940 (et) je l'avais notée dans mon journal. ". " Nous devons utiliser la terreur, l'assassinat, l'intimidation, la confiscation des terres et la suppression de tous les services sociaux pour débarrasser la Galilée de sa population arabe. "
( Rapport Koenig - Al Hamishar ( journal israélien ), 7 septembre 1976.
1948 : fondation de l'état d'israel :
Ben Gourion, En mai 1948 :
"Nous devrions nous préparer à lancer l'offensive. Notre but c'est d'écraser le Liban, la Cisjordanie et la Syrie. Le point faible c'est le Liban, car le régime musulman y est artificiel et il nous sera facile de le miner. Nous y établirons un Etat chrétien, puis nous écraserons la Légion arabe, éliminerons la Cisjordanie ; la Syrie tombera dans nos mains. Nous bombardons alors et avançons pour prendre Port-Said, Alexandrie et le Sinaï. " (Recommandations devant l'Etat Major Suprême. "
Ben Gourion, une biographie ", par Michael Ben Zohar, NewYork : Delacorte, 1978).
Question du général Yigal Allon à Ben Gourion :
"Que ferons nous de la population de Lydda et Ramle ?" (environ 50 000 habitants )
Ben Gourion, selon son biographe, agita la main et dit "Chassez-les !"
(Juillet 1948- M. Ben Zohar).
Première visite de Ben Gourion à Nazareth.
" Ben Gourion regarda autour de lui avec étonnement et dit : "Pourquoi y a-t-il autant d'Arabes, pourquoi ne les avez vous pas chassés ?" "
( source, opus cité supra M. Ben Zohar )
Uri Lubrani, conseiller spécial aux Affaires arabes du Premier ministre israélien David Ben Gourion en 1960.
"Nous réduirons la population arabe à une communauté de bûcherons et de serviteurs. "
(Sabri Jiryis, " les arabes en Israel " ( the Arabs in israel - New York : Monthly Review Press, 1976 ).
Raphaël Eitan, chef d'état-major des Forces armées israéliennes :
"Nous déclarons ouvertement que les Arabes n'ont aucun droit à s'établir ne serait-ce que sur un centimètre d'Eretz Israël. Vous autres bonnes âmes et modérés devriez savoir que les chambres à gaz dAdolf Hitler seraient pour eux un palais de récréation... La force est la seule chose qu'ils comprennent et qu'ils comprendront jamais. Nous utiliserons la force extrême jusqu'à ce que les Palestiniens viennent à nos pieds en rampant. "
(Gad Becker, " Yediot Aharanot ", 13 Avril 1983, New York Times, 14 Avril 1983.).
Le même Eitan précisa:
"Lorsque nous aurons pacifié le pays, tout ce que les Arabes pourront faire ce sera de tourner en rond comme des cafards drogués dans une bouteille. " (Idem supra).
Heilbrun, président du Comité pour la réélection du général Sholom Lahat, le maire de Tel-Aviv :
"Nous devons tuer tous les Palestiniens à moins qu'ils se résignent à vivre ici comme des esclaves. "
(Octobre 1983)."
Posté par redk le 27/12/2008 sur http://www.alterinfo.net/26-12-08-Dieudonne-invite-Robert-Faurisson-au-Zenith-de-Paris_a27625.html
"SIONISTES COLLABORATION AVEC LES NAZIS
Cette stratégie d’enrôlement des ennemis virulents des juifs en Europe, et d’alignement sur les mouvements et régimes les plus pervers pour patronner financièrement et militairement une colonie sioniste en Palestine, n’excluait pas les nazis. La Fédération sioniste d’Allemagne envoya un mémorandum de soutien au parti nazi le 21juin 1933. La Fédération y notait " ... Une renaissance de la vie nationale telle que celle qui se produit dans la vie de l’Allemagne.., doit également se produire dans le groupe national juif. A partir de la fondation du nouvel Etat (nazi) qui a établi le principe de la race, nous souhaitons insérer notre communauté dans l’ensemble de cette strucure de façon à ce que pour nous aussi, dans la sphère qui nous est assignée, une activité fructueuse pour la mère patrie soit possible... " (81). Loin de dénoncer cette politique, le congrès de l’Organisation sioniste mondiale en 1933 repoussa une résolution appelant à l’action contre Hitler, par un vote de 240 contre 43.
Au moment même où se tenait ce congrès, Hitler annonçait la conclusion d’un accord commercial avec la Banque anglo-palestinienne de l’Organisation sioniste mondiale, qui rompait ainsi le boycott du régime nazi par les juifs à une époque où l’économie allemande était extrêmement vulnérable. On était en plein coeur de la grande dépression et les gens poussaient des brouettes de deutschmarks sans valeur. L’Organisation sioniste mondiale rompit le boycott juif et devint l’un des principaux distributeurs des marchandises nazies dans tout le Moyen-Orient et en Europe du Nord. Ils établirent le Ha’avara, qui était une banque en Palestine ayant pour but de recevoir l’argent de la bourgeoisie juive allemande, avec lequel les marchandises nazies étaient achetées en quantité substantielle.
L’ACCOLADE AUX NAZIS
Par voie de conséquence, les sionistes firent venir en Palestine le baron von Mildenstein du Service de Sécurité S.S. pour une visite de six mois de soutien au sionisme. Cette visite aboutit à un rapport en douze chapitres de Joseph Goebbels, ministre de la Propagande de Hitler, dans DerAngriff (L’Assaut) en 1934, rapport louangeur pour le sionisme. Goebbels commanda un médaillon frappé d’un côté avec la swastika et de l’autre avec l’étoile de David sioniste.
En mai 1935, Reinhardt Heydrich, chef du Service de Sécurité S.S., écrivit un article dans lequel il séparait les juifs en "deux catégories". Les juifs qu’il aimait étaient les sionistes " Nos bons voeux et notre bonne volonté leurs sont acquis. "
En 1937, la milice ouvrière "socialiste" sioniste, la Haganah (fondée par Jabotinsky) envoya un agent (Feivel Polkes) à Berlin, offrant d’espionner au compte du Service de Sécurité S.S. en échange du déblocage de richesses juives pour la colonisation sioniste. Adolf Eichmann fut invité en Palestine par les soins de la Haganah. Feivel Polkes informa Eichmann " Les cercles nationalistes juifs sont très satisfaits de la politique radicale de l’Allemagne, car la population juive en Palestine sera de ce fait tellement accrue que dans un futur proche les juifs pourraient compter sur une supériorité numérique face aux Arabes. "
La liste des actes de collaboration des sionistes avec les nazis est longue. Qu’est-ce qui peut expliquer cette volonté incroyable des dirigeants sionistes de trahir les juifs d’Europe ? Tout le raisonnement avancé par ses défenseurs pour justifier l’Etat d’Israèl était qu’il a été conçu comme un refuge pour les juifs persécutés. Les sionistes, en fait, considéraient tout effort pour sauver les juifs d’Europe non comme l’accomplissement de leur objectif politique mais comme une menace pour leur mouvement tout entier. Si les juifs d’Europe étaient sauvés, ils voudraient aller ailleurs et l’opération de secours n’aurait rien à voir avec le projet sioniste de conquête de la Palestine.
SACRIFIER LES JUIFS EUROPEENS
Le corollaire de ces actes de collaboration avec les nazis au cours des années 30 c’est le fait que lorsqu’on envisagea une modification des lois sur l’immigration aux Etats-Unis et en Europe occidentale pour fournir un refuge symbolique aux juifs persécutés d’Europe, ce furent les sionistes qui organisèrent activement l’arrêt de ces efforts. Bén Gourion s’adressant à un rassemblement de sionistes ouvriers de Grande-Bretagne en 1938 déclarait " Si je savais possible de sauver tous les enfants actuellement en Allemagne en les faisant venir en Angleterre et seulement la moitié d’entre eux en les transportant en Eretz Israél, eh bien j’opterais pour la seconde solution. "
Cette obsession de la colonisation de la Palestine et de l’écrasement des Arabes conduisit le mouvement sioniste à s’opposer à toute tentative de sauver les juifs face à l’extermination, parce que les possibilités de détourner vers la Palestine une main-d’oeuvre sélectionnée en auraient été entravées. De 1933 à 1935, l’Organisation sioniste mondiale refusa les deux tiers des juifs allemands qui sollicitèrent un certificat d’immigration.
Berel Katznelson, éditeur du journal sioniste ouvrier Davar, décrit ce " cruel critère du sionisme " " Les juifs allemands étaient trop vieux pour avoir des enfants en Palestine, n ’avaient pas les métiers nécessaires pour construire une colonie sioniste, ne parlaient pas hébreu et n ’étaient pas sionistes. A la place de ces juifs confrontés à l’extermination, l’O.S.M. fit venir en Palestine 6 000 jeunes sionistes entraînés en provenance des USA, d’Angleterre ou autres pays sans danger. Pire, l’O.S.M. non seulement ne chercha aucune alternative pour les juifs confrontés à l’holocauste, mais encore les dirigeants sionistes s’opposèrent-ils de façon belliqueuse à tous les efforts pour fournir un refuge aux juifs en fuite. "
En 1943 encore, alors que les juifs d’Europe étaient exterminés par millions, le Congrès US proposait de constituer une commission pour "étudier" le problème. Rabbi Stephen Wise, qui était le principal porte-parole américain du sionisme, vint à Washington pour déposer contre cette loi de sauvetage des juifs parce qu’elle détournerait l’attention de la colonisation de la Palestine.
C’est le même Rabbi Wise qui en 1938, en tant que dirigeant du Congrès juif américain, avait écrit une lettre dans laquelle il s’opposait à toute modification des lois sur l’immigration américaine visant àpermettre aux juifs de trouver un asile. Il expliquait " Cela vous intéressera peut-être de savoir qu’il y a quelques semaines les représentants de toutes les principales organisations juives se sont réunies en conférence... Il a été décidé qu’aucune organisation juive ne soutiendrait, pour l’instant, une loi qui modifierait d’une quelconque façon les lois sur l’immigration. "
SOURCE/ 51 Documents: Zionist Collaboration with the Nazis DE L'HISTORIEN JUIF LENNI BRENNER "
Pour ceux qui veulent se faire une véritable opinion et non plus répéter du "prêt à penser", voici les écrits de Faurisson en ligne sur le Net (note personnelle = en résumé ce que je retiens des thèses de Faurisson est qu'il n'y avait pas de plan d'extermination des juifs avec des chambres à gaz, les nazis, loin d'être idiots, préféraient utiliser les prisonniers juifs comme des esclaves, afin de produire des armes et autres matériels utiles à la guerre. Bien sûr cela se faisait sans aucune considération pour les prisonniers, les exploitant jusqu'à épuisement, dans des conditions effroyables, d'où le nombre important de morts. Faurisson remet en cause la thèse d'une volonté de extermination systèmatique à l'aide de chambre à gaz mais ne nie pas le grand nombre de juifs (mais aussi homosexuels, communistes, tziganes, etc...) morts dans les camps de travail.) :
http://www.scribd.com/search?previous_query=faurrisson&query=faurisson&x=38&y=21
dimanche 28 décembre 2008
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