Voila encore une preuve pour ceux qui en doutaient que l'on ne vit pas dans une démocratie (pouvoir du peuple) mais dans une mafiacratie (pouvoir des mafieux ) made in Babylone
mercredi 31 décembre 2008
mardi 30 décembre 2008
* Newropeans
Conférence Newropeans à Rome le 24 octobre 2008.
Franck Biancheri, président de Newropeans explique la position de Newropeans sur la crise financière.
Newropeans est le 1er mouvement citoyen à se présenter dans 10 pays d'Europe en juin 2009 pour démocratiser l'Union Européenne.
Plus d'infos ici: www.newropeans.eu
Franck Biancheri, président de Newropeans explique la position de Newropeans sur la crise financière.
Newropeans est le 1er mouvement citoyen à se présenter dans 10 pays d'Europe en juin 2009 pour démocratiser l'Union Européenne.
Plus d'infos ici: www.newropeans.eu
lundi 29 décembre 2008
* Juifs Anti-Sionistes du livre Saint
Les Neturei Karta (en araméen: נטורי קרתא ; « les gardiens de la cité ») est un groupe de juifs haredim (ultra-orthodoxes) radicalement antisioniste . À ce titre, ils prônent la destruction de l'État d'Israël.
Les Neturei Karta considèrent que l'État juif de l'antiquité fut détruit par la volonté divine et que seul le Messie pourra le rétablir. Toute tentative humaine de recréer un état juif avant la venue du Messie est donc une attaque contre la volonté divine. Lors des élections israéliennes, ils appellent ainsi de façon systématique à refuser de voter.
Citation :
“Tout le monde sait que dès que quelqu'un dit quelque chose contre le sionisme, il est immédiatement taxé d'antisémite.” Rabbi Weiss
Site :
http://netureikarta.unblog.fr/$
En définitive :
* le Sionisme n'est pas le Judaisme.
* les fondements de base du Sionisme vont à l'encontre du Judaisme.
* l'état d'Israel ne représente pas le peuple Juif.
* les actes d'agression commis au nom du Sionisme sont des crimes et non des impératifs religieux.
* les Sionistes n'ont aucun droit de commettre des actes violents à l'encontre de quiconque, pas plus les juifs que les palestiniens.
Les Neturei Karta considèrent que l'État juif de l'antiquité fut détruit par la volonté divine et que seul le Messie pourra le rétablir. Toute tentative humaine de recréer un état juif avant la venue du Messie est donc une attaque contre la volonté divine. Lors des élections israéliennes, ils appellent ainsi de façon systématique à refuser de voter.
Citation :
“Tout le monde sait que dès que quelqu'un dit quelque chose contre le sionisme, il est immédiatement taxé d'antisémite.” Rabbi Weiss
Site :
http://netureikarta.unblog.fr/$
En définitive :
* le Sionisme n'est pas le Judaisme.
* les fondements de base du Sionisme vont à l'encontre du Judaisme.
* l'état d'Israel ne représente pas le peuple Juif.
* les actes d'agression commis au nom du Sionisme sont des crimes et non des impératifs religieux.
* les Sionistes n'ont aucun droit de commettre des actes violents à l'encontre de quiconque, pas plus les juifs que les palestiniens.
* "We are change" welcomes Zbigniew Brzezinski
Un membre de "we are change" intervient en plein meeting de Brezinski et lui demande ce qu'il pense des attaques sous fausse banière preparées par l'administration Bush. Ensuite ses relations avec les Talibans pendant la guerre Afghanistan/Russie. Et le confronte a l'implication du CFR quand à la planifiaction des attaques du 11 septembre. Brezinski répond comme il peut en utilisant la réthorique habituelle: Les américains ont subit une attaque terroriste et patati et patata...
Puis censure violente des agents de sécurité.
_________________
Article 35
Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs.
Puis censure violente des agents de sécurité.
_________________
Article 35
Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs.
* Les Etats-Unis : Une mort à crédit ?
Chaque année, le remboursement des intérêts de ses divers emprunts coûte plus au gouvernement des Etats-Unis que ses dépenses en matière de sécurité nationale, d'éducation et de santé ! Une enquête édifiante sur une situation critique.
Au pays de l'Oncle Sam, consommer à crédit est monnaie courante, et nombreux sont ceux qui possèdent plusieurs cartes bancaires. Certains remboursent leurs prêts avec de nouveaux prêts. L'Etat lui-même ne compte plus ses dettes. Témoignages touchants de familles endettées, interventions d'analystes et images d'archives nous font faire le tour de cette Amérique où les familles, à la manière des entreprises, déposent leur bilan et où la consommation effrénée précarise les plus faibles.
Un document inédit qui ne craint pas d'entrer au cœur des dérives du secteur bancaire aux Etats-Unis, et de leurs dramatiques répercussions sur des familles démunies.
1ère partie
2ème partie
3ème partie
4ème partie
5ème partie
Au pays de l'Oncle Sam, consommer à crédit est monnaie courante, et nombreux sont ceux qui possèdent plusieurs cartes bancaires. Certains remboursent leurs prêts avec de nouveaux prêts. L'Etat lui-même ne compte plus ses dettes. Témoignages touchants de familles endettées, interventions d'analystes et images d'archives nous font faire le tour de cette Amérique où les familles, à la manière des entreprises, déposent leur bilan et où la consommation effrénée précarise les plus faibles.
Un document inédit qui ne craint pas d'entrer au cœur des dérives du secteur bancaire aux Etats-Unis, et de leurs dramatiques répercussions sur des familles démunies.
1ère partie
2ème partie
3ème partie
4ème partie
5ème partie
dimanche 28 décembre 2008
* If Americans knew what Israel is doing!
See these videos:
Tanya Reinhart RIP
http://www.youtube.com/watch?v=WdnbKZ...
AIPAC is pushing us to war with Iran for Israel
http://www.youtube.com/watch?v=Nch43w...
Journalist Receives Death Threat for Talking About Israel
http://www.youtube.com/watch?v=spXA7G...
U.S. support of Israel puts America at risk and it is immoral and unjust. If Americans knew what Israel was actually doing they would not support it in the Israeli-Palestinian conflict. It is the goal of If Americans Knew to provide full and accurate information on this critical issue, and on our power -- and duty -- to bring a resolution.
http://www.ifamericansknew.org/
Deceptions Sell Israel to Americans
http://representativepress.blogspot.c...
Israeli soldiers often intentionally murder and maim children.
http://representativepress.blogspot.c...
Tanya Reinhart RIP
http://www.youtube.com/watch?v=WdnbKZ...
AIPAC is pushing us to war with Iran for Israel
http://www.youtube.com/watch?v=Nch43w...
Journalist Receives Death Threat for Talking About Israel
http://www.youtube.com/watch?v=spXA7G...
U.S. support of Israel puts America at risk and it is immoral and unjust. If Americans knew what Israel was actually doing they would not support it in the Israeli-Palestinian conflict. It is the goal of If Americans Knew to provide full and accurate information on this critical issue, and on our power -- and duty -- to bring a resolution.
http://www.ifamericansknew.org/
Deceptions Sell Israel to Americans
http://representativepress.blogspot.c...
Israeli soldiers often intentionally murder and maim children.
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* Jimmy Guieu
Le 25 novembre 1992, Jimmy Guieu est invité dans l'émission quotidienne de Dechavanne sur TF1 « Coucou, c'est nous ! », pour présenter la réédition de son ouvrage « Le monde étrange des contactés » sous le titre « Nos « maîtres » les extraterrestres ».
Sont également présents en plateau le co-animateur de Dechavanne, Patrice Carmouze, et le présentateur Thierry Roland.
Le public est moins franchement hilare que chez Christine Bravo, mais Dechavanne doit intervenir régulièrement pour le contenir.
Guieu rappelle brièvement ses précédentes déclarations sur les « Petit-Gris », l'existence du gouvernement mondial secret du nom de « MJ 12 », et touche quelques mots des bases souterraines extraterrestres sous les bases militaires françaises, au plateau d'Albion et sur le grand plan de Canjuers.
Il entre plus dans les détails en citant la Trilatérale, le CFR, et le groupe Bilderberg.
Puis Guieu dénonce l'imposture de la recherche scientifique officielle en France sous couvert du GEPAN /SEPRA.
Enfin, Guieu montre des documents chocs issus de la publication d'Henry Coston, « Ceux qui tirent les ficelles », concernant la réunion de la Trilatérale en 1989 et balance plusieurs noms, au bénéfice d'un public goguenard et d'un Thierry Roland dubitatif.
Dechavanne questionne alors Guieu pour savoir s'il ne craint pas les représailles du MJ 12.
Là s'arrête, un peu brusquement, cet extrait vidéo, mais ceux qui ont vu l'émission à l'époque se souviennent peut-être qu'il restait encore environ deux minutes d'interview après :
Jimmy Guieu explique qu'il assure sa protection en dispatchant ses documents, dès qu'une info importante lui parvient, auprès de plusieurs de ses amis, qui devront les porter à la connaissance du public s'il devait mourir dans des conditions suspectes.
Dechavanne demande alors ce qu'il faut faire pour déjouer le complot.
Guieu répond qu'il faut prendre les armes et affirme qu'il existe déjà des mouvements de résistance humains en train de se former.
L'hilarité du public éclate à ce moment à un point tel que Jimmy Guieu a du mal à continuer de parler. Dechavanne intervient et parvient à calmer l'auditoire.
Guieu cite alors les noms de trois réseaux de résistance terriens qu'il connaît déjà :
les « FTL », les « RRH » et les « commandos espace-temps ».
Interview radio de J.Guieu :
1ère partie
2ème partie
Vidéos de J.Guieu visibles en ligne içi:
http://www.nous-les-dieux.org/Jimmy_Guieu
Témoignage d'un ami de J. Guieu sur la mort de ce dernier:
1ère partie
2ème partie
Sont également présents en plateau le co-animateur de Dechavanne, Patrice Carmouze, et le présentateur Thierry Roland.
Le public est moins franchement hilare que chez Christine Bravo, mais Dechavanne doit intervenir régulièrement pour le contenir.
Guieu rappelle brièvement ses précédentes déclarations sur les « Petit-Gris », l'existence du gouvernement mondial secret du nom de « MJ 12 », et touche quelques mots des bases souterraines extraterrestres sous les bases militaires françaises, au plateau d'Albion et sur le grand plan de Canjuers.
Il entre plus dans les détails en citant la Trilatérale, le CFR, et le groupe Bilderberg.
Puis Guieu dénonce l'imposture de la recherche scientifique officielle en France sous couvert du GEPAN /SEPRA.
Enfin, Guieu montre des documents chocs issus de la publication d'Henry Coston, « Ceux qui tirent les ficelles », concernant la réunion de la Trilatérale en 1989 et balance plusieurs noms, au bénéfice d'un public goguenard et d'un Thierry Roland dubitatif.
Dechavanne questionne alors Guieu pour savoir s'il ne craint pas les représailles du MJ 12.
Là s'arrête, un peu brusquement, cet extrait vidéo, mais ceux qui ont vu l'émission à l'époque se souviennent peut-être qu'il restait encore environ deux minutes d'interview après :
Jimmy Guieu explique qu'il assure sa protection en dispatchant ses documents, dès qu'une info importante lui parvient, auprès de plusieurs de ses amis, qui devront les porter à la connaissance du public s'il devait mourir dans des conditions suspectes.
Dechavanne demande alors ce qu'il faut faire pour déjouer le complot.
Guieu répond qu'il faut prendre les armes et affirme qu'il existe déjà des mouvements de résistance humains en train de se former.
L'hilarité du public éclate à ce moment à un point tel que Jimmy Guieu a du mal à continuer de parler. Dechavanne intervient et parvient à calmer l'auditoire.
Guieu cite alors les noms de trois réseaux de résistance terriens qu'il connaît déjà :
les « FTL », les « RRH » et les « commandos espace-temps ».
Interview radio de J.Guieu :
1ère partie
2ème partie
Vidéos de J.Guieu visibles en ligne içi:
http://www.nous-les-dieux.org/Jimmy_Guieu
Témoignage d'un ami de J. Guieu sur la mort de ce dernier:
1ère partie
2ème partie
* Lettre LIESI n° 172 - Décembre 2008
Derrière Obama, le retour
de Brzezinski aux commandes
de la politique étrangère américaine
En juillet 2007, B. Obama était invité sur la chaîne
américaine CNN. Interrogé sur la question des
sanctions américaines à l’encontre de l’Iran, il a
répondu : « Il n’y a aucun doute que nous sommes
témoins d’une aggravation des tensions dans cette
région. Et c’est en partie pourquoi il est si important
pour nous d’avoir une politique cohérente et
respectueuse vis-à-vis de l’Iran »… Obama a
également ajouté que l’Iran devait « être frappé de
sanctions économiques dans le cadre d’une diplomatie
directe », car il serait temps pour les Etats-Unis de
jouer de nouveau un rôle diplomatique central par
rapport à l’Iran.
En réalité, comme nous l’avons déjà expliqué, B.
Obama traduisait aux Américains ce que lui enseignait
Z. Brzezinski, le véritable maître d’oeuvre de la
diplomatie américaine contemporaine ; Brzezinski est
également l’employé des Rockefeller. Dans les années
soixante-dix, c’est Brzezinski qui était allé chercher un
petit sénateur sans envergure et totalement inconnu à
l’époque, Jimmy Carter1. Avec le concours de la Haute
finance new-yorkaise ainsi que celui du Groupe
Bilderberg, les Rockefeller ont propulsé Carter à la
Maison-Blanche. De Carter à Obama il n’y a qu’un pas !
Par l’intermédiaire du président J. Carter, Brzezinski a
pu mettre en oeuvre une politique étrangère adéquate,
assurant la suprématie des Etats-Unis dans le monde
et tout particulièrement en Eurasie. Cette politique
étrangère fut fondée sur l’alliance entre l’Amérique
et l’islam révolutionnaire. N’oublions pas que
Brzezinski est l’auteur du projet Arc de crise d’où sont
nés les Talibans et le régime des mollahs.
Si aujourd’hui des forces obscures ont placé
simultanément Brzezinski aux basques d’Obama et
Kissinger à celles de McCain, il faut bien y voir une
logique propre à ce pouvoir occulte qui n’agit que par
« procuration ». Point commun entre Brzezinski et
Kissinger : exiger un retour à la table de
négociations avec les mollahs. Une ligne
convergente avec le point de vue de la direction du
Council on Foreign Relations (CFR), l’organisme qui
planche sans cesse sur les futures orientations de la
politique étrangère américaine. En novembre 2008, le
CFR a organisé plusieurs grandes conférences où
étaient invités des journalistes oeuvrant au façonnage
des psychologies de masse. On a expliqué à ces
derniers les futures orientations de la diplomatie
américaine. Un correspondant iranien a signalé la
présence d’un faux journaliste iranien accompagné du
directeur du Centre des Etudes de l’Université de New
York ! Le 3 décembre 2008, une importante conférence
publique a été tenue à l’Université de New York.
Objectif : employer les étudiants au grand dessein
géopolitique du cartel bancaire. Comme on a pu le
constater lors des dernières élections présidentielles
américaines, ces étudiants savent fort bien se servir
d’Internet comme d’outil de propagande.
Le CFR veut même aider les Européens à comprendre
la future politique étrangère de la présidence Obama.
C’est ainsi que la correspondante du journal Le Monde
à Washington a expliqué de long en large ce que les
experts du CFR lui ont confié des subtilités du dossier
iranien. La journaliste C. Lesne a ainsi offert les
colonnes du Monde à deux Iraniens et trois Américains
issus du Council on Foreign Relations sans à aucun
moment évoquer les carrières de chacun ou certains
écrits bien compromettants.
Rappelons qu’en 2004, D. Ignatius révélait dans le
Washington Post que Brzezinski participait aux côtés
de Kissinger à des réunions avec Jean-Louis Gergorin
pour encourager J. Chirac à maintenir le dialogue avec
Téhéran.
Pour Brzezinski, l’Iran est la clé du Moyen-Orient, de
l’Asie centrale et le point d’accès aux territoires de
la Russie, de la Chine, de l’Afghanistan et de toute
l’Eurasie. Sur l’échiquier de cette région, l’Iran est un
pion vital pour le contrôle de la Russie et de la
Chine. Or, rappelons que Brzezinski a toujours prédit la
suprématie inévitable de la Chine sur les Etats-Unis.
Comme le monde, selon lui, glisse vers l’Est, il faut
impérativement contenir la croissance chinoise. De ce
point de vue, une grave crise économique arrange les
choses à la condition que les Etats-Unis puissent rester
maître du prochain jeu monétaire, ce qui est loin d’être
évident.
Il n’est donc pas surprenant que B. Obama ait, depuis
des mois, calqué ses discours sur la stratégie de son
mentor ! En novembre 2007, B. Obama avait dit que s’il
était élu, il reprendrait le dialogue avec Téhéran.
D’aucuns répondront que la nomination de nombreux
juifs dans son administration contrecarrent cette donne.
C’est faux, car la plupart de ces nominés à intégrer la
future administration d’Obama sont essentiellement des
Khazars, par conséquent de faux juifs, comme la
plupart des sionistes. Comme le dit l’Apocalypse, ce
sont « ceux qui se disent juifs mais ne le sont pas », ils
appartiennent « à la synagogue de Satan » (Apoc. II,
9). Ainsi convient-il de ne pas se leurrer sur le plan qui
se joue en profondeur.
Comment donc utiliser l’Iran face à la Chine ?
Par l’Iran, il est possible de déstabiliser les provinces
musulmanes du sud de l’ex-URSS et de l’est de la
Chine. La création des Talibans et la révolution
islamique d’Iran étaient les deux épicentres du projet.
Contrairement à ce que l’on pense, les Talibans ne sont
pas une résultante de l’invasion de l’Afghanistan mais
le contraire. Le pouvoir en place avant l’invasion était
déjà pro-soviétique. Par la suite, dans un entretien
accordé en 1998 au Nouvel Observateur, Brzezinski a
reconnu que, dès le 3 juillet 1979, selon sa
recommandation, le président Carter avait signé la
première directive sur l’assistance clandestine, par la
CIA, aux opposants du régime pro-soviétique de
Kaboul.
Mais Brzezinski avait préparé le terrain pour que les
agents de la CIA puissent intervenir sur place. Cette
préparation avait consisté à renverser Zulfaqar Ali
Bhutto, en 1977 au Pakistan, un an après l’arrivée au
pouvoir de l’équipe Carter-Brzezinski. Bhutto fut
remplacé par Zia ul Haq, un général islamiste qui se mit
totalement au service du projet américain d’islamisation
de la région.
Simultanément, les Américains commencèrent une
campagne de déstabilisation contre le Chah d’Iran,
pour éliminer le principal facteur de la stabilité de la
région, mais aussi un régime qui, sous son impulsion,
était en train d’éradiquer le pouvoir de l’islam en
Iran et de s’émanciper de sa dépendance envers
l’Amérique et ses pétroliers.
Il existe donc une continuité de politique entre Carter et
Obama et le lien commun s’appelle Z. Brzezinski.
Négocier avec les mollahs pour un accord, voilà ce que
cache cette phrase célèbre d’Obama : « Oui, nous
pouvons réparer le monde ». Une signification
diamétralement opposée à l’analyse des experts de la
presse ambiante. Ajoutons que l’industrie pétrolière,
soutien jusque-là de la clique néo-conservatrice, est
très intéressée par les fruits d’un tel dialogue.
D’ailleurs, sitôt B. Obama élu, les choses n’ont pas
traîné. En effet, dans la semaine qui suivit, le
Washington Post écrivait : les conseillers à la sécurité
nationale de B. Obama lui suggèrent d’envisager une
approche plus régionale au sujet de l’Afghanistan,
c’est-à-dire d’éventuelles discussions avec les mollahs.
Le New York Times rapporte également une démarche
similaire au sujet de l’Irak. Traduction : la future
administration Obama a immédiatement choisi
d’adresser à Téhéran, sous la forme d’allusions
indirectes, via des conseillers anonymes et la presse,
des signaux en vue de négociations « en direct ».
Quarante-huit heures après l’annonce de la victoire
d’Obama, Saïd Leylaz, ex-n°2 des services secrets du
régime iranien, exprimait la pensée de Rafsandjani, le
patron occulte du régime dont il est officieusement le
porte-parole. « Si Obama met en oeuvre ce qu’il a
promis [l’ouverture du dialogue avec Téhéran], cela va
affaiblir les radicaux en Iran et les slogans durs et
extrémistes ne trouveront plus preneurs… Cela va
aussi affecter le dossier nucléaire iranien car la ligne
rouge pour le pouvoir n’est pas le nucléaire, mais la
sécurité [de l’Iran] et avec l’ouverture d’un dialogue, on
lui assure cette sécurité ».
Selon le porte-parole officieux du régime, l’ouverture
d’un dialogue avec Washington se traduirait par la fin
de la crise nucléaire ; cela signifierait la reconnaissance
officielle du rôle régional des mollahs. La même offre
avait été faite à Bush en 2003.
Le monde opaque de la diplomatie
Alors que la mésentente entre Dominique de Villepin et
Nicolas Sarkozy2 est officiellement exprimée au grand
jour avec l’affaire Clearstream, une autre actualité en
dit long sur les changements qui s’esquissent sur le
front de l’Iran par rapport à l’Occident.
Le 19 novembre 2008, les mollahs ont organisé à
Téhéran la première rencontre internationale des
maires des grandes villes d’Asie, en présence du maire
de Téhéran et du président iranien. Curieusement, D.
de Villepin se trouvait présent, bien que n’ayant jamais
été un élu parisien. Il est de notoriété publique que
l’ancien premier ministre français est un fervent
partisan d’une reconnaissance du rôle régional des
mollahs, c’est-à-dire de leur droit d’ingérence au Liban
et dans les affaires palestiniennes.
Après s’être exprimé à une tribune qui lui a été
accordée par le maire de Téhéran, membre de la milice
qui a tué des soldats français au Liban, D. de Villepin a
rencontré le président iranien. Il lui a signifié qu’il venait
en émissaire spécial, non pas de la Ville de Paris, mais
du Président de la république Nicolas Sarkozy ! Il a
précisé que le président français souhaitait voir le
régime des mollahs jouer un rôle aussi bien au Moyen-
Orient que dans d’autres affaires internationales.
Il va de soi que cette manoeuvre s’est exécutée avec la
bénédiction du CFR et de Z. Brzezinski. Depuis le 4
novembre 2008, il ne se passe pratiquement pas de
jour sans que les mollahs ne reçoivent un émissaire de
Washington.
Tout cela ne change strictement rien à l’analyse faite
par notre rédaction depuis le début, bien au contraire.
Les diplomates iraniens vont chercher à gagner du
temps. Pour tempérer l’irritabilité des Américains
voulant des réponses immédiates, ils ont besoin des
relations européennes pour faire durer les négociations.
Contre vents et marées, LIESI a su déceler cette
tournure des événements et s’y est accroché. Il est vrai
que Brzezinski n’est pas un inconnu de notre
rédaction ! Cela fait des mois que les négociations sont
en route et que les « néo-con » sont réduits à
l’immobilisme par le CFR et les familles qui le dirigent
officieusement. C’est ainsi que, au cours de l’été
2008, l’Iran a acheté une grande quantité (plus d’un
million de tonnes) de blé en provenance… des
Etats-Unis. C. Mayer commente ainsi cette
information : « C’est un peu comme si Lee avait
demandé à Grant de partager quelques rations au
cours de l’été 1863 [guerre de Sécession] ».
Consternation en Israël
Dans le même temps, le général Amos Yadlin, le chef
des services du renseignement militaire israélien, a
tenu un discours à l’université de Tel-Aviv affirmant
qu’Israël était désormais prêt à des négociations
directes entre les Etats-Unis et l’Iran. Du point de vue
des dirigeants israéliens, ce n’est pas tant l’arrivée de
B. Obama à la Maison-Blanche qui suscite de
nombreuses interrogations, mais ce que représentent
les « hommes du président ». Autour d’Obama, il y a un
organigramme tentaculaire composé d’une myriade
d’individus pouvant s’écarter considérablement de la
politique étrangère de l’administration Bush, notamment
sur le Proche-Orient. Ces dernières années, le Parti
démocrate a subi une transformation sous l’influence
de son aile gauche radicale. Il faut savoir que les
universités américaines sont devenues un vivier de la
contestation de la traditionnelle politique pro-israélienne
des différentes administrations américaines. « Des
accusations de ‘‘conspiration juive’’ ou ‘‘d’influence
juive néfaste’’ ont été lancées par des milieux
intellectuels de la gauche démocrate à propos de trois
faits marquants de l’ère Bush : les attentats du 11
septembre, l’entrée en guerre en Irak et la crise
financière actuelle »3.
Dans son précédent numéro, LIESI a démontré que B.
Obama était le personnage politique américain ayant
établit un « pont » entre les hommes d’influence de la
City et ceux de Wall Street. Ajoutons que B. Obama a
été le sénateur situé le plus à gauche de tous les
temps. Il y a dix ans encore, il faisait partie du « New
Party », aile activiste d’extrême-gauche du Parti
démocrate. S’agissant du Proche-Orient, les
« spécialistes » écoutés par B. Obama ont pour point
commun et idée fixe « qu’Israël est le noeud du
problème, et que seules des concessions israéliennes
radicales règleront le conflit centenaire qui y règne »4.
Ils ont pour nom Robert Malley, Zbignew Brzezinski ou
encore Samantha Powers. Cette dernière, candidate à
un poste dans l’influent Conseil National de Sécurité,
s’est dite « sur la même longueur d’onde que les
auteurs du livre sur le lobby pro-israélien » ! Or, dans le
numéro 171, LIESI n’a t-il pas évoqué le rôle de S.
Powers pour démontrer le rapport discret existant entre
Obama et le cartel anglo-hollandais de la City ?
Comme nous l’avons dit à maintes reprises ici ou là et
depuis plusieurs années, la prochaine guerre
mondiale sera déclenchée au Proche-Orient et
Israël sera très probablement abandonné par la
clique de financiers khazars, à l’origine même de sa
création ! L’arrivée d’Obama à la Maison-
Blanche, avec l’organigramme tentaculaire
qui suit dans son sillage est, selon nous, la
preuve irréfragable que nous entrons
désormais dans une logique de GUERRE
MONDIALE. Le cartel bancaire place ses dynamites
dans l’éventualité d’un échec retentissant de sa
prochaine réforme monétaire supranationale. Sur ce
point, LIESI a déjà affirmé qu’il y aurait un échec et par,
conséquent, la guerre comme alternative. Le groupe
Rothschild appliquera exactement le même scénario
qu’au début du XX° siècle, lors de l’effondrement de la
City.
Selon la logique mise en avant par LIESI,
depuis de nombreux mois, l’arrivée du Likoud au
pouvoir en Israël devrait être pour bientôt.
Aussi faudra t-il suivre avec attention les prochaines
élections israéliennes. Elles devraient être favorables
au leader du Parti du Likoud, B. Netanyahou. Dans une
enquête menée mi-novembre 2008 par l’institut Dahaf
du docteur Mina Tsemah, dont les résultats ont été
publiés dans le Yedioth Aharonoth, il s’avère que le
Likoud est pour le moment largement en tête avec 32
sièges, alors que Kadima n’est crédité que de 26
mandats. Quant au Parti travailliste, c’est la débâcle : il
ne recevrait en effet que 8 sièges à la Knesset.
Certains commentateurs prétendent déjà que ce regain
de popularité est dû à l’entrée au Likoud de politiciens
de valeur, tels que Benny Begin, Dan Méridor, Moché
Yaalon ou Assaf Hefetz. Mais il ne faut pas oublier que
cela fait un certain temps que B. Netanyahou est
devenu pratiquement le favori des sondages, à
quelques exceptions près. En outre, l’opération de
déstabilisation du Premier ministre E. Olmert,
impliqué dans de nombreuses affaires de
corruption, correspond parfaitement à une
accélération du calendrier du « Comité X ». Sans la
médiatisation de ces scandales, il n’y aurait pas
d’élections ANTICIPEES. Les affaires concernant E.
Olmert tombent à point nommé pour les puissances qui
ont intérêt à mettre en oeuvre les éléments nécessaires
à l’enclenchement d’une guerre mondiale, en cas
d’échec de la réforme monétaire prévue entre fin 2010
et 2011, du moins selon nos sources. Ce qui arrive à E.
Olmert confirme ce qu’un haut initié nous avait confié, il
y a près de trente ans : « Tous les politiciens poussés à
des postes importants ont des cadavres dans leur
placard afin de permettre leur lynchage du jour au
lendemain si cela nous arrange ».
Dans le cas présent, une démission rapide d’E. Olmert
doit permettre au Parti Kadima de mieux se préparer
aux élections à venir. En réalité, E. Olmert agit pour
sabrer son propre parti.
Pour information, B. Netanyahou appartient à un
réseau dirigé par George Schultz, un employé du cartel
bancaire qui a joué un rôle considérable dans la
constitution des deux administrations Bush/Cheney. G.
Schultz n’est pas un sioniste, c’est un simple employé
du groupe anglo-hollandais. En 1996, c’est G. Schultz
qui commanda à B. Netanyahou d’adopter la doctrine A
Clean Break : New Strategy for Security in the Realm.
Cinq ans plus tard, cette doctrine fut mise en oeuvre
avec l’arrivée au pouvoir de George Bush Junior.
Netanyahou jouit également du soutien du Mouvement
chrétien sioniste aux Etats-Unis, qui lève des millions
de dollars de dons en faveur d’Israël. Selon leur
interprétation de la Bible, l’existence de l’Etat d’Israël
est un préalable à l’Armageddon et au « ravissement »
des vrais croyants. Parmi les extrémistes du Likoud, on
remarque la présence de Moshe FeiGlin. En 1993, ce
dernier fonda le mouvement « Notre Terre » pour
protester contre les Accords d’Oslo, ce qui contribua à
créer une ambiance propice à l’assassinat de Rabin.
La coalition de « Bibi » pourrait prendre pour
partenaires les partis des implantations illégales,
comme l’Union nationale et le Parti national religieux,
ainsi que des petites formations qui envisagent
actuellement de se regrouper en un seul parti. On y
retrouve le rabbin radical Benny Elon, l’un des gourous
de Yigel Amir et ancien rabbin en chef du Yeshiva
Ateret Cohanim, dans le vieux Jérusalem. C’est là que
se réunissent les fanatiques dits les Fidèles du Mont du
Temple, lesquels veulent détruire les mosquées sur le
Al Haram Al Sharif/Mont du Temple.
Une complicité entre le Kahal et les
bellicistes du Likoud
Le grand jeu géopolitique qui se déroule au Proche-
Orient est incompréhensible si l’on exclut la mystique. Il
y a peu, nous expliquions que le cartel bancaire n’était
qu’un jouet entre les mains du Pouvoir occulte, appelé
« Comité X » par LIESI. Ce dernier dispose de
plusieurs leviers d’influence, y compris au coeur du
pouvoir rabbinique talmudique, successeur du
Sanhédrin qui condamna Jésus-Christ, Fils de Dieu, à
la crucifixion. Aujourd’hui, la tête de ce pouvoir
rabbinique mène Israël et son peuple à sa propre perte.
La rédaction de LIESI n’est pas seule à esquisser ce
funeste projet. Le 19 novembre 2008, Tsipi Livni,
ministre israélien des Affaires étrangères, qui espère
succéder à E. Olmert mais a été dans l’incapacité de
mener son action politique, s’est exprimée devant le
Congrès des Communautés Juives d’Amérique du
Nord, tenu au Binyané Haouma à Jérusalem : « Israël
est un Etat juif, certes, mais basé sur la nationalité
et non sur l’élément religieux. […] Israël n’est pas le
monopole des Rabbins ou des institutions
religieuses ». Elle a repris ses thèmes de campagne
favoris : la « lutte contre les extrémistes, le soutien aux
modérés », et le processus de Paix : « Si c’est Israël
qui décide de négocier et qui prend les choses en main,
alors nous pourrons dire oui à ceci, et non à cela. Et la
nouvelle administration américaine nous suivra. Mais
pour cela, il faut un gouvernement israélien
responsable et courageux (Kadima). Par contre, si un
gouvernement israélien dit non à tout, ce sont les
autres qui nous imposeront des concessions que nous
n’étions pas prêts à faire ». Tsipi Livni a
implicitement accusé les partis rabbiniques d’avoir
bloqué la constitution de son gouvernement.
E. Olmert, qui quitte donc la scène par la petite porte,
s’est aussi permis de mettre en garde les Israéliens. A
l’occasion de la dernière cérémonie de novembre, en
souvenir du Premier ministre I. Rabin, il a publiquement
déclaré qu’Israël devrait renoncer à la totalité de ses
territoires, sans exception. Au Mont Herzl et depuis la
tribune de la Knesset, E. Olmert a déclaré : « La vérité
va obliger Israël à arracher des pans de sa patrie, se
séparer de la Judée-Samarie, du Golan et des quartiers
arabes de Jérusalem, pour revenir aux lignes qui
prévalaient avant la Guerre des Six jours ! »
Une telle franchise ne devrait-elle pas donner quelques
sueurs froides aux Israéliens au courant des menées
secrètes sévissant au-dessus des gouvernements ?
D’aucuns ont flairé le danger et quittent Israël depuis
plusieurs mois déjà, mais l’immense majorité ne voit
malheureusement rien venir. Comme ces députés de
droite quittant la Knesset en signe de protestation aux
propos d’E. Olmert.
Pour information, un document sur la sécurité d’Israël
sera publié en décembre. Il fera partie du prochain
rapport annuel du Conseil National de Sécurité. Parmi
les recommandations qu’il apporte, il y a des plans
d’attaque pour une éventuelle frappe contre l’Iran.
Selon Samuel Rubinstein : « L’Iran occupe une place
importante dans ce document. Il avertit qu’en 2009,
Israël pourrait bien se retrouver seul à faire face à un
Iran nucléarisé, et ce, après un rapprochement possible
entre les Etats-Unis, l’Iran et le monde arabe, ce qui
minerait la supériorité militaire d’Israël dans la
région »5. Ce rapport insiste sur la nécessité, pour
Israël, de mettre rapidement en place une option
militaire contre l’Iran et prévient qu’Israël pourrait payer
le prix fort de l’arrivée de B. Obama à la Maison-
Blanche. Les rédacteurs dudit rapport suggèrent de
bloquer « à tout prix » un accord Etats-Unis/Iran. Doiton
conclure qu’une opération semblable à celle du 11-
Septembre est envisageable ? Pourquoi pas, cette fois,
l’utilisation de la guerre bactériologique ? Entendons
que la pression mise sur les faucons israéliens l’est
avant tout par l’establishment khazar.
Poutine et la frayeur iranienne
En marge de la réunion du Conseil des chefs de
gouvernement des pays membres de l’Organisation de
Coopération de Shanghaï (OCS), le Premier ministre
russe Vladimir Poutine a rencontré le seul représentant
iranien présent (un adjoint de ministre) pour lui faire
part de l’intérêt qu’il porte à l’avenir de la coopération
entre leurs pays. Généralement, les chefs de
gouvernement n’adressent pas la parole à des
subalternes, mais dans ce cas il y avait urgence. En
effet, si Téhéran n’a pas envoyé à la réunion de
l’Organisation de Coopération de Shanghaï de haut
représentant du régime, comme le président ou le
ministre des Affaires étrangères, c’est bien parce que
ces derniers étaient fort occupés, à Téhéran, à
recevoir dignement les deux chefs d’Etat arabes
venant en émissaires des Etats-Unis pour faire des
propositions concrètes sur la base des revendications
iraniennes de renoncement à l’enrichissement de
l’uranium.
Etant donné que les mollahs avaient préféré garder en
Iran leurs grosses pointures pour rencontrer les deux
émissaires des Etats-Unis au lieu de les envoyer à la
rencontre de Poutine, à Astana, ce dernier a paniqué et
s’est précipité pour rappeler son existence aux mollahs.
Une alliance avec les mollahs est essentielle pour la
Russie car, ensemble, les deux pays s’opposent à la
création d’un pipeline subaquatique qui mettrait fin à
l’enclavement de l’Asie Centrale. Poutine a donc
rappelé à ses amis iraniens l’intérêt de ce refus qui fait
de la Caspienne un « domaine de coopération très
prometteur pour l’Iran et pour la Russie ». Poutine a
aussi promis des investissements tout en évoquant un
avenir radieux pour l’espace de l’OCS, connaissant le
désir des mollahs d’adhérer à cette organisation.
Le jeu de dupes Etats-Unis/Iran
pourrait mal se terminer
Récemment, en soutien à la diplomatie prônée par Z.
Brzezinski, un groupe de vingt diplomates et
spécialistes universitaires du Moyen-Orient a conseillé
à Obama d’oublier l’option militaire et d’engager des
négociations sans condition préalable avec Téhéran.
Cet appel a été lancé au lendemain d’un discours où B.
Kouchner mettait Obama en garde contre un tel
dialogue et auquel nous faisons référence dans les
BREVES de LIESI de décembre. Après enquête, il
appert que ce groupe d’experts est très lié à l’American
Iranian Council, le lobby des mollahs aux Etats-Unis.
On le voit, en matière de diplomatie, les Iraniens ont
plusieurs siècles d’expérience d’avance sur
Washington.
Selon des sources confidentielles, les mollahs
n’envisagent même pas de donner suite à l’offre d’un
dialogue « sans condition préalable » d’Obama. Les
mollahs refuseraient catégoriquement de devenir, selon
le plan Brzezinski, « un allié agitateur », au motif que
leur exigence consiste en une entente sans la moindre
contrainte. Si ces informations s’avèrent fondées, les
deux parties s’engageraient alors dans une partie très
dangereuse pour l’avenir de la région, mais aussi du
monde, car Téhéran en viendrait fatalement à boucler
une alliance stratégique avec Moscou.
La question du pétrole va t-elle
provisoirement diviser
la City et Wall Street ?
Selon le dernier rapport de l’AIEA (Agence
Internationale de l’Energie Atomique) de la minovembre
2008 concernant le développement nucléaire
en Iran, il n’y a pas eu de changement notable par
rapport aux conclusions de septembre, si ce n’est une
référence aux quantités d’uranium hautement enrichi
pour une bombe. Washington n’a pas commenté ce
rapport, gênant pour les rapprochements en cours. La
future administration Obama s’en tient donc aux
conclusions du rapport 2007 des seize services secrets
sur les lacunes de l’Iran en ce domaine.
Pourquoi l’AIEA change t-elle de discours et s’inscrit en
faux avec le courant qui, à Washington, cherche une
alliance avec Téhéran ? Tout simplement parce que
l’AIEA est une agence internationale sous contrôle
britannique et que certains courants, au sein de la
City, veulent bloquer la politique d’apaisement de
Washington à l’égard de l’Iran. En présentant son
nouveau rapport, El Baradei agit pour le compte des
Britanniques dont les intérêts pétroliers (BP, Shell,
Vitol) seraient particulièrement visés par un accord
entre Téhéran et Washington, lequel profiterait aux
majors du pétrole américain de Rockefeller6 (Exxon et
Chevron).
S’agissant des cours du pétrole, ceux-ci ont connu une
chute brutale, passant de 147 à 50 dollars le baril en
quelques mois. Une manipulation des cours réalisée,
comme toujours, par les banques d’affaires autour de
Goldman Sachs. Cette manipulation répond à un souci
de requinquer le dollar et donner de l’oxygène à
l’électeur américain avant les échéances présidentielles
de novembre 2008.
Une manoeuvre similaire de manipulation des cours
pétroliers avait déjà été réalisée entre le 10 juin et le 7
novembre 2006, période des élections législatives de
mi-mandat (mid-term) pour les républicains. Comme le
montre ce graphique, le prix du gallon (3,5 litres)
d’essence à la pompe connut un pic à 3 dollars
(moyenne sur tout le territoire national), à la suite de
quoi il diminua significativement, tombant à moins de
2,25 dollars début novembre 2006, soit précisément au
moment où les Américains se rendaient dans les
isoloirs pour y glisser leur bulletin de vote. Cette chute
intervint alors que, rappelons-le, le Proche-Orient
connaissait la guerre !
Une manipulation similaire a été exécutée en vue des
élections présidentielles. Les banques affairistes autour
de Goldman Sachs ont provoqué une chute de 4,10
dollars le gallon aux alentours du 20 juillet 2008 à
environ 2,70 dollars, vers le 4 novembre 2008…
Quant à la guerre contre l’Iran, LIESI ne change pas
ses perspectives d’un iota : cette guerre sera
déclenchée au moment où le cartel anglohollandais
décidera de jeter l’éponge, concluant à
l’IMPOSSIBILITE de redresser la situation en sa
faveur.
La City est déjà dans une situation
gravissime et envisage
des mesures schachtiennes
La crise financière a des conséquences encore plus
redoutables dans les pays où la « richesse » provient
des activités financières. Tel est le cas de la Grande-
Bretagne qui, depuis début novembre, voit le nombre
de chômeurs grossir en moyenne de 1 000 par jour.
Quant à ses comptes financiers, ils sont en pleine
dérive, à l’image de l’industrie financière de la City.
Pour mieux prendre conscience de l’ampleur du chaos
qui menace l’Angleterre, rappelons que 80 % de sa
population active sont employés dans le secteur des
services, surtout dans des produits financiers.
L’endettement des ménages est colossal : 165 % des
revenus personnels ! Quant au déficit commercial, il
augmente sans cesse après avoir atteint le montant de
135 milliards d’euros en 2007. Depuis le début de
l’effondrement financier, l’année dernière, les capitaux
quittent la Grande-Bretagne et ce à un taux accéléré
depuis que la Banque d’Angleterre a baissé les taux
d’intérêt et que son gouverneur Marvyn King a comparé
son pays à un « marché émergent » en raison de sa
dépendance envers le capital étranger.
Selon des données publiées par la Bank of New York
Mellon, la quantité nette d’investissements étrangers
ayant quitté les instruments à loyer fixe depuis deux
mois a annulé 75 % des achats nets effectués entre
novembre 2004 et la mi-septembre 2008. Le 14
novembre, George Osborne, le chancelier de
l’Echiquier dans le cabinet fantôme du Parti
conservateur, a tiré la sonnette d’alarme, estimant que
la politique de Gordon Brown mènerait à l’effondrement
de la livre sterling en raison des lourds emprunts de
l’Etat.
(Suite au prochain numéro.)
1 LIESI a tout de même relevé cette information éclairante
dans l’ouvrage de John Todd, « Une génération ensorcelée
par Satan » : « Si l’on demandait à un grand sorcier qu’elle est
la plus grande sorcière du monde, on obtiendrait la réponse
suivante : Ruth Carter Stapleton, la soeur de l’ex-président des
Etats-Unis Jimmy Carter ».
2 En complément des deux précédents numéros de LIESI, il
sera utile au lecteur de consulter les BREVES DE LIESI de
novembre/décembre, qui évoquent la connexion Rothschild/
Desmarais/Sarkozy.
3 Le succès du livre de John J. Mearsheimer et Stephen M.
Walt, tous deux démocrates, intitulé « The Israël lobby & the
US Foreign Policy », s’inscrit dans cette logique. Dans leur
ouvrage, ces deux universitaires présentent une sévère
critique « de la politique pro-israélienne des différentes
administrations américaines depuis 1972, qui n’était motivée ni
moralement ni stratégiquement, mais découlait uniquement
des pressions exercées par ce puissant lobby juif et proisraélien
sur les Présidents et les Congrès américains ».
4 L’on peut encore ajouter les craintes exprimées par un
ancien militant des milieux de la gauche radicale américaine,
proche à l’époque du mouvement des « Black Panthers »,
David Horowitz. Durant toute la campagne présidentielle
américaine, David Horowitz n’a cessé de mettre en garde
les Juifs américains, magnétisés par le charisme
d’Obama. ll se dit très inquiet de « l’influence grandissante
des milieux et des idées de la gauche radicale au sein du Parti
démocrate, car tout en étant laïques par essence, elles
rejoignent objectivement celles défendues par l’Islamisme sur
la nécessité de modifier profondément l’ordre mondial ».
« Certes », rappelle Horowitz, « le Parti démocrate n’est pas
encore arrivé à cet extrême », mais l’histoire politique des
Etats-Unis, depuis la candidature de George McGovern contre
Nixon en 1972, montre que les idées radicales ne cessent de
progresser au sein du Parti. Et Barack Obama est le candidat
démocrate le plus à gauche depuis McGovern. L’histoire de
Barack Obama est celle de l’histoire du néo-communisme
américain ». « Ses conseillers [d’Obama NDLR] en
communication ont réussi à transformer une énigme en produit
attractif et rassurant », regrette-t-il. « La période qui s’ouvre
verra soit un activisme poussé de la politique étrangère
américaine, avec des pressions très lourdes sur Israël, soit un
affaiblissement notable de la position américaine dans le
monde, avec pour corollaire un renforcement de l’Europe et de
la Russie. Dans les deux cas, ce n’est pas bon pour Israël ».
5 Les BREVES DE LIESI de décembre/janvier 2009 donneront
des éléments d’information importants sur le sujet, y compris
les projets du CFR, via Z. Brzezinsky.
6 Pour information, selon le Pr Greenberger, environ 70 % de
tous les contrats à terme pétroliers sont de nature spéculative
et 30 % d’entre eux sont assurés par trois banques, Goldman
Sachs, Morgan Stanley et JP Morgan Chase. Ce qui leur
donne une influence indéniable sur le prix.
de Brzezinski aux commandes
de la politique étrangère américaine
En juillet 2007, B. Obama était invité sur la chaîne
américaine CNN. Interrogé sur la question des
sanctions américaines à l’encontre de l’Iran, il a
répondu : « Il n’y a aucun doute que nous sommes
témoins d’une aggravation des tensions dans cette
région. Et c’est en partie pourquoi il est si important
pour nous d’avoir une politique cohérente et
respectueuse vis-à-vis de l’Iran »… Obama a
également ajouté que l’Iran devait « être frappé de
sanctions économiques dans le cadre d’une diplomatie
directe », car il serait temps pour les Etats-Unis de
jouer de nouveau un rôle diplomatique central par
rapport à l’Iran.
En réalité, comme nous l’avons déjà expliqué, B.
Obama traduisait aux Américains ce que lui enseignait
Z. Brzezinski, le véritable maître d’oeuvre de la
diplomatie américaine contemporaine ; Brzezinski est
également l’employé des Rockefeller. Dans les années
soixante-dix, c’est Brzezinski qui était allé chercher un
petit sénateur sans envergure et totalement inconnu à
l’époque, Jimmy Carter1. Avec le concours de la Haute
finance new-yorkaise ainsi que celui du Groupe
Bilderberg, les Rockefeller ont propulsé Carter à la
Maison-Blanche. De Carter à Obama il n’y a qu’un pas !
Par l’intermédiaire du président J. Carter, Brzezinski a
pu mettre en oeuvre une politique étrangère adéquate,
assurant la suprématie des Etats-Unis dans le monde
et tout particulièrement en Eurasie. Cette politique
étrangère fut fondée sur l’alliance entre l’Amérique
et l’islam révolutionnaire. N’oublions pas que
Brzezinski est l’auteur du projet Arc de crise d’où sont
nés les Talibans et le régime des mollahs.
Si aujourd’hui des forces obscures ont placé
simultanément Brzezinski aux basques d’Obama et
Kissinger à celles de McCain, il faut bien y voir une
logique propre à ce pouvoir occulte qui n’agit que par
« procuration ». Point commun entre Brzezinski et
Kissinger : exiger un retour à la table de
négociations avec les mollahs. Une ligne
convergente avec le point de vue de la direction du
Council on Foreign Relations (CFR), l’organisme qui
planche sans cesse sur les futures orientations de la
politique étrangère américaine. En novembre 2008, le
CFR a organisé plusieurs grandes conférences où
étaient invités des journalistes oeuvrant au façonnage
des psychologies de masse. On a expliqué à ces
derniers les futures orientations de la diplomatie
américaine. Un correspondant iranien a signalé la
présence d’un faux journaliste iranien accompagné du
directeur du Centre des Etudes de l’Université de New
York ! Le 3 décembre 2008, une importante conférence
publique a été tenue à l’Université de New York.
Objectif : employer les étudiants au grand dessein
géopolitique du cartel bancaire. Comme on a pu le
constater lors des dernières élections présidentielles
américaines, ces étudiants savent fort bien se servir
d’Internet comme d’outil de propagande.
Le CFR veut même aider les Européens à comprendre
la future politique étrangère de la présidence Obama.
C’est ainsi que la correspondante du journal Le Monde
à Washington a expliqué de long en large ce que les
experts du CFR lui ont confié des subtilités du dossier
iranien. La journaliste C. Lesne a ainsi offert les
colonnes du Monde à deux Iraniens et trois Américains
issus du Council on Foreign Relations sans à aucun
moment évoquer les carrières de chacun ou certains
écrits bien compromettants.
Rappelons qu’en 2004, D. Ignatius révélait dans le
Washington Post que Brzezinski participait aux côtés
de Kissinger à des réunions avec Jean-Louis Gergorin
pour encourager J. Chirac à maintenir le dialogue avec
Téhéran.
Pour Brzezinski, l’Iran est la clé du Moyen-Orient, de
l’Asie centrale et le point d’accès aux territoires de
la Russie, de la Chine, de l’Afghanistan et de toute
l’Eurasie. Sur l’échiquier de cette région, l’Iran est un
pion vital pour le contrôle de la Russie et de la
Chine. Or, rappelons que Brzezinski a toujours prédit la
suprématie inévitable de la Chine sur les Etats-Unis.
Comme le monde, selon lui, glisse vers l’Est, il faut
impérativement contenir la croissance chinoise. De ce
point de vue, une grave crise économique arrange les
choses à la condition que les Etats-Unis puissent rester
maître du prochain jeu monétaire, ce qui est loin d’être
évident.
Il n’est donc pas surprenant que B. Obama ait, depuis
des mois, calqué ses discours sur la stratégie de son
mentor ! En novembre 2007, B. Obama avait dit que s’il
était élu, il reprendrait le dialogue avec Téhéran.
D’aucuns répondront que la nomination de nombreux
juifs dans son administration contrecarrent cette donne.
C’est faux, car la plupart de ces nominés à intégrer la
future administration d’Obama sont essentiellement des
Khazars, par conséquent de faux juifs, comme la
plupart des sionistes. Comme le dit l’Apocalypse, ce
sont « ceux qui se disent juifs mais ne le sont pas », ils
appartiennent « à la synagogue de Satan » (Apoc. II,
9). Ainsi convient-il de ne pas se leurrer sur le plan qui
se joue en profondeur.
Comment donc utiliser l’Iran face à la Chine ?
Par l’Iran, il est possible de déstabiliser les provinces
musulmanes du sud de l’ex-URSS et de l’est de la
Chine. La création des Talibans et la révolution
islamique d’Iran étaient les deux épicentres du projet.
Contrairement à ce que l’on pense, les Talibans ne sont
pas une résultante de l’invasion de l’Afghanistan mais
le contraire. Le pouvoir en place avant l’invasion était
déjà pro-soviétique. Par la suite, dans un entretien
accordé en 1998 au Nouvel Observateur, Brzezinski a
reconnu que, dès le 3 juillet 1979, selon sa
recommandation, le président Carter avait signé la
première directive sur l’assistance clandestine, par la
CIA, aux opposants du régime pro-soviétique de
Kaboul.
Mais Brzezinski avait préparé le terrain pour que les
agents de la CIA puissent intervenir sur place. Cette
préparation avait consisté à renverser Zulfaqar Ali
Bhutto, en 1977 au Pakistan, un an après l’arrivée au
pouvoir de l’équipe Carter-Brzezinski. Bhutto fut
remplacé par Zia ul Haq, un général islamiste qui se mit
totalement au service du projet américain d’islamisation
de la région.
Simultanément, les Américains commencèrent une
campagne de déstabilisation contre le Chah d’Iran,
pour éliminer le principal facteur de la stabilité de la
région, mais aussi un régime qui, sous son impulsion,
était en train d’éradiquer le pouvoir de l’islam en
Iran et de s’émanciper de sa dépendance envers
l’Amérique et ses pétroliers.
Il existe donc une continuité de politique entre Carter et
Obama et le lien commun s’appelle Z. Brzezinski.
Négocier avec les mollahs pour un accord, voilà ce que
cache cette phrase célèbre d’Obama : « Oui, nous
pouvons réparer le monde ». Une signification
diamétralement opposée à l’analyse des experts de la
presse ambiante. Ajoutons que l’industrie pétrolière,
soutien jusque-là de la clique néo-conservatrice, est
très intéressée par les fruits d’un tel dialogue.
D’ailleurs, sitôt B. Obama élu, les choses n’ont pas
traîné. En effet, dans la semaine qui suivit, le
Washington Post écrivait : les conseillers à la sécurité
nationale de B. Obama lui suggèrent d’envisager une
approche plus régionale au sujet de l’Afghanistan,
c’est-à-dire d’éventuelles discussions avec les mollahs.
Le New York Times rapporte également une démarche
similaire au sujet de l’Irak. Traduction : la future
administration Obama a immédiatement choisi
d’adresser à Téhéran, sous la forme d’allusions
indirectes, via des conseillers anonymes et la presse,
des signaux en vue de négociations « en direct ».
Quarante-huit heures après l’annonce de la victoire
d’Obama, Saïd Leylaz, ex-n°2 des services secrets du
régime iranien, exprimait la pensée de Rafsandjani, le
patron occulte du régime dont il est officieusement le
porte-parole. « Si Obama met en oeuvre ce qu’il a
promis [l’ouverture du dialogue avec Téhéran], cela va
affaiblir les radicaux en Iran et les slogans durs et
extrémistes ne trouveront plus preneurs… Cela va
aussi affecter le dossier nucléaire iranien car la ligne
rouge pour le pouvoir n’est pas le nucléaire, mais la
sécurité [de l’Iran] et avec l’ouverture d’un dialogue, on
lui assure cette sécurité ».
Selon le porte-parole officieux du régime, l’ouverture
d’un dialogue avec Washington se traduirait par la fin
de la crise nucléaire ; cela signifierait la reconnaissance
officielle du rôle régional des mollahs. La même offre
avait été faite à Bush en 2003.
Le monde opaque de la diplomatie
Alors que la mésentente entre Dominique de Villepin et
Nicolas Sarkozy2 est officiellement exprimée au grand
jour avec l’affaire Clearstream, une autre actualité en
dit long sur les changements qui s’esquissent sur le
front de l’Iran par rapport à l’Occident.
Le 19 novembre 2008, les mollahs ont organisé à
Téhéran la première rencontre internationale des
maires des grandes villes d’Asie, en présence du maire
de Téhéran et du président iranien. Curieusement, D.
de Villepin se trouvait présent, bien que n’ayant jamais
été un élu parisien. Il est de notoriété publique que
l’ancien premier ministre français est un fervent
partisan d’une reconnaissance du rôle régional des
mollahs, c’est-à-dire de leur droit d’ingérence au Liban
et dans les affaires palestiniennes.
Après s’être exprimé à une tribune qui lui a été
accordée par le maire de Téhéran, membre de la milice
qui a tué des soldats français au Liban, D. de Villepin a
rencontré le président iranien. Il lui a signifié qu’il venait
en émissaire spécial, non pas de la Ville de Paris, mais
du Président de la république Nicolas Sarkozy ! Il a
précisé que le président français souhaitait voir le
régime des mollahs jouer un rôle aussi bien au Moyen-
Orient que dans d’autres affaires internationales.
Il va de soi que cette manoeuvre s’est exécutée avec la
bénédiction du CFR et de Z. Brzezinski. Depuis le 4
novembre 2008, il ne se passe pratiquement pas de
jour sans que les mollahs ne reçoivent un émissaire de
Washington.
Tout cela ne change strictement rien à l’analyse faite
par notre rédaction depuis le début, bien au contraire.
Les diplomates iraniens vont chercher à gagner du
temps. Pour tempérer l’irritabilité des Américains
voulant des réponses immédiates, ils ont besoin des
relations européennes pour faire durer les négociations.
Contre vents et marées, LIESI a su déceler cette
tournure des événements et s’y est accroché. Il est vrai
que Brzezinski n’est pas un inconnu de notre
rédaction ! Cela fait des mois que les négociations sont
en route et que les « néo-con » sont réduits à
l’immobilisme par le CFR et les familles qui le dirigent
officieusement. C’est ainsi que, au cours de l’été
2008, l’Iran a acheté une grande quantité (plus d’un
million de tonnes) de blé en provenance… des
Etats-Unis. C. Mayer commente ainsi cette
information : « C’est un peu comme si Lee avait
demandé à Grant de partager quelques rations au
cours de l’été 1863 [guerre de Sécession] ».
Consternation en Israël
Dans le même temps, le général Amos Yadlin, le chef
des services du renseignement militaire israélien, a
tenu un discours à l’université de Tel-Aviv affirmant
qu’Israël était désormais prêt à des négociations
directes entre les Etats-Unis et l’Iran. Du point de vue
des dirigeants israéliens, ce n’est pas tant l’arrivée de
B. Obama à la Maison-Blanche qui suscite de
nombreuses interrogations, mais ce que représentent
les « hommes du président ». Autour d’Obama, il y a un
organigramme tentaculaire composé d’une myriade
d’individus pouvant s’écarter considérablement de la
politique étrangère de l’administration Bush, notamment
sur le Proche-Orient. Ces dernières années, le Parti
démocrate a subi une transformation sous l’influence
de son aile gauche radicale. Il faut savoir que les
universités américaines sont devenues un vivier de la
contestation de la traditionnelle politique pro-israélienne
des différentes administrations américaines. « Des
accusations de ‘‘conspiration juive’’ ou ‘‘d’influence
juive néfaste’’ ont été lancées par des milieux
intellectuels de la gauche démocrate à propos de trois
faits marquants de l’ère Bush : les attentats du 11
septembre, l’entrée en guerre en Irak et la crise
financière actuelle »3.
Dans son précédent numéro, LIESI a démontré que B.
Obama était le personnage politique américain ayant
établit un « pont » entre les hommes d’influence de la
City et ceux de Wall Street. Ajoutons que B. Obama a
été le sénateur situé le plus à gauche de tous les
temps. Il y a dix ans encore, il faisait partie du « New
Party », aile activiste d’extrême-gauche du Parti
démocrate. S’agissant du Proche-Orient, les
« spécialistes » écoutés par B. Obama ont pour point
commun et idée fixe « qu’Israël est le noeud du
problème, et que seules des concessions israéliennes
radicales règleront le conflit centenaire qui y règne »4.
Ils ont pour nom Robert Malley, Zbignew Brzezinski ou
encore Samantha Powers. Cette dernière, candidate à
un poste dans l’influent Conseil National de Sécurité,
s’est dite « sur la même longueur d’onde que les
auteurs du livre sur le lobby pro-israélien » ! Or, dans le
numéro 171, LIESI n’a t-il pas évoqué le rôle de S.
Powers pour démontrer le rapport discret existant entre
Obama et le cartel anglo-hollandais de la City ?
Comme nous l’avons dit à maintes reprises ici ou là et
depuis plusieurs années, la prochaine guerre
mondiale sera déclenchée au Proche-Orient et
Israël sera très probablement abandonné par la
clique de financiers khazars, à l’origine même de sa
création ! L’arrivée d’Obama à la Maison-
Blanche, avec l’organigramme tentaculaire
qui suit dans son sillage est, selon nous, la
preuve irréfragable que nous entrons
désormais dans une logique de GUERRE
MONDIALE. Le cartel bancaire place ses dynamites
dans l’éventualité d’un échec retentissant de sa
prochaine réforme monétaire supranationale. Sur ce
point, LIESI a déjà affirmé qu’il y aurait un échec et par,
conséquent, la guerre comme alternative. Le groupe
Rothschild appliquera exactement le même scénario
qu’au début du XX° siècle, lors de l’effondrement de la
City.
Selon la logique mise en avant par LIESI,
depuis de nombreux mois, l’arrivée du Likoud au
pouvoir en Israël devrait être pour bientôt.
Aussi faudra t-il suivre avec attention les prochaines
élections israéliennes. Elles devraient être favorables
au leader du Parti du Likoud, B. Netanyahou. Dans une
enquête menée mi-novembre 2008 par l’institut Dahaf
du docteur Mina Tsemah, dont les résultats ont été
publiés dans le Yedioth Aharonoth, il s’avère que le
Likoud est pour le moment largement en tête avec 32
sièges, alors que Kadima n’est crédité que de 26
mandats. Quant au Parti travailliste, c’est la débâcle : il
ne recevrait en effet que 8 sièges à la Knesset.
Certains commentateurs prétendent déjà que ce regain
de popularité est dû à l’entrée au Likoud de politiciens
de valeur, tels que Benny Begin, Dan Méridor, Moché
Yaalon ou Assaf Hefetz. Mais il ne faut pas oublier que
cela fait un certain temps que B. Netanyahou est
devenu pratiquement le favori des sondages, à
quelques exceptions près. En outre, l’opération de
déstabilisation du Premier ministre E. Olmert,
impliqué dans de nombreuses affaires de
corruption, correspond parfaitement à une
accélération du calendrier du « Comité X ». Sans la
médiatisation de ces scandales, il n’y aurait pas
d’élections ANTICIPEES. Les affaires concernant E.
Olmert tombent à point nommé pour les puissances qui
ont intérêt à mettre en oeuvre les éléments nécessaires
à l’enclenchement d’une guerre mondiale, en cas
d’échec de la réforme monétaire prévue entre fin 2010
et 2011, du moins selon nos sources. Ce qui arrive à E.
Olmert confirme ce qu’un haut initié nous avait confié, il
y a près de trente ans : « Tous les politiciens poussés à
des postes importants ont des cadavres dans leur
placard afin de permettre leur lynchage du jour au
lendemain si cela nous arrange ».
Dans le cas présent, une démission rapide d’E. Olmert
doit permettre au Parti Kadima de mieux se préparer
aux élections à venir. En réalité, E. Olmert agit pour
sabrer son propre parti.
Pour information, B. Netanyahou appartient à un
réseau dirigé par George Schultz, un employé du cartel
bancaire qui a joué un rôle considérable dans la
constitution des deux administrations Bush/Cheney. G.
Schultz n’est pas un sioniste, c’est un simple employé
du groupe anglo-hollandais. En 1996, c’est G. Schultz
qui commanda à B. Netanyahou d’adopter la doctrine A
Clean Break : New Strategy for Security in the Realm.
Cinq ans plus tard, cette doctrine fut mise en oeuvre
avec l’arrivée au pouvoir de George Bush Junior.
Netanyahou jouit également du soutien du Mouvement
chrétien sioniste aux Etats-Unis, qui lève des millions
de dollars de dons en faveur d’Israël. Selon leur
interprétation de la Bible, l’existence de l’Etat d’Israël
est un préalable à l’Armageddon et au « ravissement »
des vrais croyants. Parmi les extrémistes du Likoud, on
remarque la présence de Moshe FeiGlin. En 1993, ce
dernier fonda le mouvement « Notre Terre » pour
protester contre les Accords d’Oslo, ce qui contribua à
créer une ambiance propice à l’assassinat de Rabin.
La coalition de « Bibi » pourrait prendre pour
partenaires les partis des implantations illégales,
comme l’Union nationale et le Parti national religieux,
ainsi que des petites formations qui envisagent
actuellement de se regrouper en un seul parti. On y
retrouve le rabbin radical Benny Elon, l’un des gourous
de Yigel Amir et ancien rabbin en chef du Yeshiva
Ateret Cohanim, dans le vieux Jérusalem. C’est là que
se réunissent les fanatiques dits les Fidèles du Mont du
Temple, lesquels veulent détruire les mosquées sur le
Al Haram Al Sharif/Mont du Temple.
Une complicité entre le Kahal et les
bellicistes du Likoud
Le grand jeu géopolitique qui se déroule au Proche-
Orient est incompréhensible si l’on exclut la mystique. Il
y a peu, nous expliquions que le cartel bancaire n’était
qu’un jouet entre les mains du Pouvoir occulte, appelé
« Comité X » par LIESI. Ce dernier dispose de
plusieurs leviers d’influence, y compris au coeur du
pouvoir rabbinique talmudique, successeur du
Sanhédrin qui condamna Jésus-Christ, Fils de Dieu, à
la crucifixion. Aujourd’hui, la tête de ce pouvoir
rabbinique mène Israël et son peuple à sa propre perte.
La rédaction de LIESI n’est pas seule à esquisser ce
funeste projet. Le 19 novembre 2008, Tsipi Livni,
ministre israélien des Affaires étrangères, qui espère
succéder à E. Olmert mais a été dans l’incapacité de
mener son action politique, s’est exprimée devant le
Congrès des Communautés Juives d’Amérique du
Nord, tenu au Binyané Haouma à Jérusalem : « Israël
est un Etat juif, certes, mais basé sur la nationalité
et non sur l’élément religieux. […] Israël n’est pas le
monopole des Rabbins ou des institutions
religieuses ». Elle a repris ses thèmes de campagne
favoris : la « lutte contre les extrémistes, le soutien aux
modérés », et le processus de Paix : « Si c’est Israël
qui décide de négocier et qui prend les choses en main,
alors nous pourrons dire oui à ceci, et non à cela. Et la
nouvelle administration américaine nous suivra. Mais
pour cela, il faut un gouvernement israélien
responsable et courageux (Kadima). Par contre, si un
gouvernement israélien dit non à tout, ce sont les
autres qui nous imposeront des concessions que nous
n’étions pas prêts à faire ». Tsipi Livni a
implicitement accusé les partis rabbiniques d’avoir
bloqué la constitution de son gouvernement.
E. Olmert, qui quitte donc la scène par la petite porte,
s’est aussi permis de mettre en garde les Israéliens. A
l’occasion de la dernière cérémonie de novembre, en
souvenir du Premier ministre I. Rabin, il a publiquement
déclaré qu’Israël devrait renoncer à la totalité de ses
territoires, sans exception. Au Mont Herzl et depuis la
tribune de la Knesset, E. Olmert a déclaré : « La vérité
va obliger Israël à arracher des pans de sa patrie, se
séparer de la Judée-Samarie, du Golan et des quartiers
arabes de Jérusalem, pour revenir aux lignes qui
prévalaient avant la Guerre des Six jours ! »
Une telle franchise ne devrait-elle pas donner quelques
sueurs froides aux Israéliens au courant des menées
secrètes sévissant au-dessus des gouvernements ?
D’aucuns ont flairé le danger et quittent Israël depuis
plusieurs mois déjà, mais l’immense majorité ne voit
malheureusement rien venir. Comme ces députés de
droite quittant la Knesset en signe de protestation aux
propos d’E. Olmert.
Pour information, un document sur la sécurité d’Israël
sera publié en décembre. Il fera partie du prochain
rapport annuel du Conseil National de Sécurité. Parmi
les recommandations qu’il apporte, il y a des plans
d’attaque pour une éventuelle frappe contre l’Iran.
Selon Samuel Rubinstein : « L’Iran occupe une place
importante dans ce document. Il avertit qu’en 2009,
Israël pourrait bien se retrouver seul à faire face à un
Iran nucléarisé, et ce, après un rapprochement possible
entre les Etats-Unis, l’Iran et le monde arabe, ce qui
minerait la supériorité militaire d’Israël dans la
région »5. Ce rapport insiste sur la nécessité, pour
Israël, de mettre rapidement en place une option
militaire contre l’Iran et prévient qu’Israël pourrait payer
le prix fort de l’arrivée de B. Obama à la Maison-
Blanche. Les rédacteurs dudit rapport suggèrent de
bloquer « à tout prix » un accord Etats-Unis/Iran. Doiton
conclure qu’une opération semblable à celle du 11-
Septembre est envisageable ? Pourquoi pas, cette fois,
l’utilisation de la guerre bactériologique ? Entendons
que la pression mise sur les faucons israéliens l’est
avant tout par l’establishment khazar.
Poutine et la frayeur iranienne
En marge de la réunion du Conseil des chefs de
gouvernement des pays membres de l’Organisation de
Coopération de Shanghaï (OCS), le Premier ministre
russe Vladimir Poutine a rencontré le seul représentant
iranien présent (un adjoint de ministre) pour lui faire
part de l’intérêt qu’il porte à l’avenir de la coopération
entre leurs pays. Généralement, les chefs de
gouvernement n’adressent pas la parole à des
subalternes, mais dans ce cas il y avait urgence. En
effet, si Téhéran n’a pas envoyé à la réunion de
l’Organisation de Coopération de Shanghaï de haut
représentant du régime, comme le président ou le
ministre des Affaires étrangères, c’est bien parce que
ces derniers étaient fort occupés, à Téhéran, à
recevoir dignement les deux chefs d’Etat arabes
venant en émissaires des Etats-Unis pour faire des
propositions concrètes sur la base des revendications
iraniennes de renoncement à l’enrichissement de
l’uranium.
Etant donné que les mollahs avaient préféré garder en
Iran leurs grosses pointures pour rencontrer les deux
émissaires des Etats-Unis au lieu de les envoyer à la
rencontre de Poutine, à Astana, ce dernier a paniqué et
s’est précipité pour rappeler son existence aux mollahs.
Une alliance avec les mollahs est essentielle pour la
Russie car, ensemble, les deux pays s’opposent à la
création d’un pipeline subaquatique qui mettrait fin à
l’enclavement de l’Asie Centrale. Poutine a donc
rappelé à ses amis iraniens l’intérêt de ce refus qui fait
de la Caspienne un « domaine de coopération très
prometteur pour l’Iran et pour la Russie ». Poutine a
aussi promis des investissements tout en évoquant un
avenir radieux pour l’espace de l’OCS, connaissant le
désir des mollahs d’adhérer à cette organisation.
Le jeu de dupes Etats-Unis/Iran
pourrait mal se terminer
Récemment, en soutien à la diplomatie prônée par Z.
Brzezinski, un groupe de vingt diplomates et
spécialistes universitaires du Moyen-Orient a conseillé
à Obama d’oublier l’option militaire et d’engager des
négociations sans condition préalable avec Téhéran.
Cet appel a été lancé au lendemain d’un discours où B.
Kouchner mettait Obama en garde contre un tel
dialogue et auquel nous faisons référence dans les
BREVES de LIESI de décembre. Après enquête, il
appert que ce groupe d’experts est très lié à l’American
Iranian Council, le lobby des mollahs aux Etats-Unis.
On le voit, en matière de diplomatie, les Iraniens ont
plusieurs siècles d’expérience d’avance sur
Washington.
Selon des sources confidentielles, les mollahs
n’envisagent même pas de donner suite à l’offre d’un
dialogue « sans condition préalable » d’Obama. Les
mollahs refuseraient catégoriquement de devenir, selon
le plan Brzezinski, « un allié agitateur », au motif que
leur exigence consiste en une entente sans la moindre
contrainte. Si ces informations s’avèrent fondées, les
deux parties s’engageraient alors dans une partie très
dangereuse pour l’avenir de la région, mais aussi du
monde, car Téhéran en viendrait fatalement à boucler
une alliance stratégique avec Moscou.
La question du pétrole va t-elle
provisoirement diviser
la City et Wall Street ?
Selon le dernier rapport de l’AIEA (Agence
Internationale de l’Energie Atomique) de la minovembre
2008 concernant le développement nucléaire
en Iran, il n’y a pas eu de changement notable par
rapport aux conclusions de septembre, si ce n’est une
référence aux quantités d’uranium hautement enrichi
pour une bombe. Washington n’a pas commenté ce
rapport, gênant pour les rapprochements en cours. La
future administration Obama s’en tient donc aux
conclusions du rapport 2007 des seize services secrets
sur les lacunes de l’Iran en ce domaine.
Pourquoi l’AIEA change t-elle de discours et s’inscrit en
faux avec le courant qui, à Washington, cherche une
alliance avec Téhéran ? Tout simplement parce que
l’AIEA est une agence internationale sous contrôle
britannique et que certains courants, au sein de la
City, veulent bloquer la politique d’apaisement de
Washington à l’égard de l’Iran. En présentant son
nouveau rapport, El Baradei agit pour le compte des
Britanniques dont les intérêts pétroliers (BP, Shell,
Vitol) seraient particulièrement visés par un accord
entre Téhéran et Washington, lequel profiterait aux
majors du pétrole américain de Rockefeller6 (Exxon et
Chevron).
S’agissant des cours du pétrole, ceux-ci ont connu une
chute brutale, passant de 147 à 50 dollars le baril en
quelques mois. Une manipulation des cours réalisée,
comme toujours, par les banques d’affaires autour de
Goldman Sachs. Cette manipulation répond à un souci
de requinquer le dollar et donner de l’oxygène à
l’électeur américain avant les échéances présidentielles
de novembre 2008.
Une manoeuvre similaire de manipulation des cours
pétroliers avait déjà été réalisée entre le 10 juin et le 7
novembre 2006, période des élections législatives de
mi-mandat (mid-term) pour les républicains. Comme le
montre ce graphique, le prix du gallon (3,5 litres)
d’essence à la pompe connut un pic à 3 dollars
(moyenne sur tout le territoire national), à la suite de
quoi il diminua significativement, tombant à moins de
2,25 dollars début novembre 2006, soit précisément au
moment où les Américains se rendaient dans les
isoloirs pour y glisser leur bulletin de vote. Cette chute
intervint alors que, rappelons-le, le Proche-Orient
connaissait la guerre !
Une manipulation similaire a été exécutée en vue des
élections présidentielles. Les banques affairistes autour
de Goldman Sachs ont provoqué une chute de 4,10
dollars le gallon aux alentours du 20 juillet 2008 à
environ 2,70 dollars, vers le 4 novembre 2008…
Quant à la guerre contre l’Iran, LIESI ne change pas
ses perspectives d’un iota : cette guerre sera
déclenchée au moment où le cartel anglohollandais
décidera de jeter l’éponge, concluant à
l’IMPOSSIBILITE de redresser la situation en sa
faveur.
La City est déjà dans une situation
gravissime et envisage
des mesures schachtiennes
La crise financière a des conséquences encore plus
redoutables dans les pays où la « richesse » provient
des activités financières. Tel est le cas de la Grande-
Bretagne qui, depuis début novembre, voit le nombre
de chômeurs grossir en moyenne de 1 000 par jour.
Quant à ses comptes financiers, ils sont en pleine
dérive, à l’image de l’industrie financière de la City.
Pour mieux prendre conscience de l’ampleur du chaos
qui menace l’Angleterre, rappelons que 80 % de sa
population active sont employés dans le secteur des
services, surtout dans des produits financiers.
L’endettement des ménages est colossal : 165 % des
revenus personnels ! Quant au déficit commercial, il
augmente sans cesse après avoir atteint le montant de
135 milliards d’euros en 2007. Depuis le début de
l’effondrement financier, l’année dernière, les capitaux
quittent la Grande-Bretagne et ce à un taux accéléré
depuis que la Banque d’Angleterre a baissé les taux
d’intérêt et que son gouverneur Marvyn King a comparé
son pays à un « marché émergent » en raison de sa
dépendance envers le capital étranger.
Selon des données publiées par la Bank of New York
Mellon, la quantité nette d’investissements étrangers
ayant quitté les instruments à loyer fixe depuis deux
mois a annulé 75 % des achats nets effectués entre
novembre 2004 et la mi-septembre 2008. Le 14
novembre, George Osborne, le chancelier de
l’Echiquier dans le cabinet fantôme du Parti
conservateur, a tiré la sonnette d’alarme, estimant que
la politique de Gordon Brown mènerait à l’effondrement
de la livre sterling en raison des lourds emprunts de
l’Etat.
(Suite au prochain numéro.)
1 LIESI a tout de même relevé cette information éclairante
dans l’ouvrage de John Todd, « Une génération ensorcelée
par Satan » : « Si l’on demandait à un grand sorcier qu’elle est
la plus grande sorcière du monde, on obtiendrait la réponse
suivante : Ruth Carter Stapleton, la soeur de l’ex-président des
Etats-Unis Jimmy Carter ».
2 En complément des deux précédents numéros de LIESI, il
sera utile au lecteur de consulter les BREVES DE LIESI de
novembre/décembre, qui évoquent la connexion Rothschild/
Desmarais/Sarkozy.
3 Le succès du livre de John J. Mearsheimer et Stephen M.
Walt, tous deux démocrates, intitulé « The Israël lobby & the
US Foreign Policy », s’inscrit dans cette logique. Dans leur
ouvrage, ces deux universitaires présentent une sévère
critique « de la politique pro-israélienne des différentes
administrations américaines depuis 1972, qui n’était motivée ni
moralement ni stratégiquement, mais découlait uniquement
des pressions exercées par ce puissant lobby juif et proisraélien
sur les Présidents et les Congrès américains ».
4 L’on peut encore ajouter les craintes exprimées par un
ancien militant des milieux de la gauche radicale américaine,
proche à l’époque du mouvement des « Black Panthers »,
David Horowitz. Durant toute la campagne présidentielle
américaine, David Horowitz n’a cessé de mettre en garde
les Juifs américains, magnétisés par le charisme
d’Obama. ll se dit très inquiet de « l’influence grandissante
des milieux et des idées de la gauche radicale au sein du Parti
démocrate, car tout en étant laïques par essence, elles
rejoignent objectivement celles défendues par l’Islamisme sur
la nécessité de modifier profondément l’ordre mondial ».
« Certes », rappelle Horowitz, « le Parti démocrate n’est pas
encore arrivé à cet extrême », mais l’histoire politique des
Etats-Unis, depuis la candidature de George McGovern contre
Nixon en 1972, montre que les idées radicales ne cessent de
progresser au sein du Parti. Et Barack Obama est le candidat
démocrate le plus à gauche depuis McGovern. L’histoire de
Barack Obama est celle de l’histoire du néo-communisme
américain ». « Ses conseillers [d’Obama NDLR] en
communication ont réussi à transformer une énigme en produit
attractif et rassurant », regrette-t-il. « La période qui s’ouvre
verra soit un activisme poussé de la politique étrangère
américaine, avec des pressions très lourdes sur Israël, soit un
affaiblissement notable de la position américaine dans le
monde, avec pour corollaire un renforcement de l’Europe et de
la Russie. Dans les deux cas, ce n’est pas bon pour Israël ».
5 Les BREVES DE LIESI de décembre/janvier 2009 donneront
des éléments d’information importants sur le sujet, y compris
les projets du CFR, via Z. Brzezinsky.
6 Pour information, selon le Pr Greenberger, environ 70 % de
tous les contrats à terme pétroliers sont de nature spéculative
et 30 % d’entre eux sont assurés par trois banques, Goldman
Sachs, Morgan Stanley et JP Morgan Chase. Ce qui leur
donne une influence indéniable sur le prix.
* Lettre LIESI n° 171 - Novembre 2008
Barack Obama devrait être
le porte-parole des criminels
de Wall Street et de la City
Dans son précédent numéro, LIESI évoquait le groupe
anglo-hollandais et sa mainmise sur le plan de
l’Eurogroup avec l’implication de Dame Vadera, porteparole
des puissantes familles bancaires à l’origine de
la crise. Ces familles entendent être très actives dans la
gestion de cette crise, dans la mesure où celle-ci
répond à un objectif : imposer une réforme du
SYSTEME dans le sens d’une dictature financière
supranationale.
Notre analyse s’est avérée fondée puisque le Plan
Paulson a été remodelé, il y a deux semaines, afin de
coller à la version du groupe anglo-hollandais.
Nous allons maintenant voir que la nomination d’Obama
à la présidence américaine s’inscrit précisément dans
cette logique où les faiseurs de la crise sont aussi les
faiseurs de rois ! B. Obama doit faire le pont entre
Wall Street et la City de Londres. En ce sens, le
phénomène de l’obamania s’apparente à ce que les
Français ont expérimenté avec l’élection de N. Sarkozy.
Les sophistes et les manipulateurs d’opinion ont de
l’avenir ! Traduisons : les Américains vont beaucoup
souffrir et les disciples d’Obama vont déchanter eux
aussi… Le conte de fées selon lequel B. Obama serait
un homme « indépendant de l’establishment » prendra
fin rapidement, au grand dam de tous ces politiciens de
« droite » comme de « gauche » dont la cupidité n’a
d’égal que leur lâcheté à défendre la dignité humaine.
Au lendemain des élections américaines, le président
Medvedev a annoncé que la Russie installerait des
missiles de courte portée à Kaliningrad, pour riposter à
l’installation de missiles antibalistiques américains en
Pologne et en République tchèque.
Beaucoup de gens ont placé de grands espoirs en
Barack Obama. Dans le Hors-série sur le candidat
démocrate à l’investiture présidentielle, publié en
octobre 20081, nous avons montré que le sénateur
Obama était très lié à la pègre de Chicago ! Quant à
son parcours de campagne, il s’est réalisé avec
d’importants fonds en provenance de Wall Street et de
Londres, via George Soros, un agent des Rothschild,
LE banquier du cartel anglo-hollandais. D’ailleurs,
Obama a bénéficié d’une situation économique
catastrophique et il fut élu au moment où les marchés
financiers dégringolaient, ce qui a poussé les indécis à
ne pas voter McCain, républicain comme G.W. Bush, le
M. Hoover du XXIe siècle.
Voilà donc un futur président des Etats-Unis ayant la
ferveur des opprimés ET des banquiers internationaux,
des victimes et des assassins !
La première réponse de B. Obama à ses
marionnettistes a été l’annonce de la nomination
d’Emanuel Rahm au poste de chef de cabinet de la
Maison-Blanche. L’agressivité d’E. Rahm lui a valu le
surnom de « Rahmbo », « l’exécuteur absolu » du
nouveau gouvernement. « Il sait où les corps sont
enterrés, ce que les gens veulent, désirent et quels
sont leurs besoins et leurs points faibles. Il ne tolère
aucune erreur », explique John Lapp, un ancien
directeur de la Commission des campagnes
démocrates pour le Congrès (DCCC). Pour information,
Rahm Emanuel travailla à la Wasserstein Petrella, la
banque d’affaires de Bruce Wasserstein, que ce dernier
revendit à la Dresdner Bank lorsqu’il rejoignit Lazard
Frères en 2000. Il est l’un de ceux qui établirent le pont
entre Wall Street et Obama. Autrement dit, quand
Obama était sénateur, il obéissait à la pègre de
Chicago ; et maintenant, s’il est président le 20 janvier
2009, il obéira à la mafia de Wall Street et à celle de la
City (certaines familles sont dans les deux camps).
Barack Obama : candidat d’une union entre
Wall Street et la City
Dès le lendemain du triomphe de Barack Obama à
l’élection présidentielle, Lord Malloch-Brown, ministre
d’Etat au Foreign Office britannique pour l’Afrique,
l’Asie et l’ONU, était interrogé à la Chambre des
communes, à Londres, et il reconnut : « Nous
collaborons déjà avec le général Petraeus, le nouveau
commandant (américain), et nous avons détaché des
personnes auprès de son équipe afin de préparer
des options stratégiques pour le nouveau Président
(Obama) ».
Selon des sources du renseignement américain
consultées par LIESI, Lord Malloch-Brown a pour
mission de favoriser un scénario de guerre générale à
partir de l’Afghanistan et, pour cela, B. Obama doit
jouer son rôle.
Comment le lien a t-il été établi entre Lord Malloch-
Brown, le porte-parole du cartel anglo-hollandais, et
Barack Obama ? Par l’intermédiaire de Samantha
Power, la conseillère personnelle d’Obama. Mme Power
est très liée au tandem Malloch-Brown / Soros 2.
Le 24 février 2008, par exemple, le Times de Londres
affirmait dans un article sur Mme Power, que le ministre
britannique avait été, jusque-là, la principale liaison
entre le gouvernement de Gordon Brown et la
campagne d’Obama. En outre, Samantha Power est
redevable envers le spéculateur George Soros, dont
l’Open Society Institute a financé ses recherches en
2003, l’aidant alors qu’elle avait des difficultés à trouver
un éditeur commercial pour promouvoir son livre sur
« l’ingérence humanitaire ». A un niveau plus élevé,
Malloch-Brown et George Soros collaborent depuis des
décennies. Avant d’entrer en poste au Foreign Office, le
Britannique était vice-président du controversé
Quantum Fund, le très opaque hedge fund de Soros,
basé dans le paradis fiscal de Curaçao, et il était aussi
vice-président de son Open Society Institute. Les deux
hommes ont également joué un rôle majeur dans la
« révolution des roses » en Géorgie, qui amena au
pouvoir Mikhael Saakachvili, dont ils ont ensuite financé
le gouvernement et la stupide guerre que l’on connaît.
Ces quelques éléments expliquent pourquoi le cartel
anglo-hollandais a soutenu B. Obama. Juste avant le
scrutin, le Financial Times, porte-parole des intérêts
financiers du cartel anglo-hollandais, soutenait
résolument la candidature d’Obama, précisément parce
que ce dernier avait bien réagi à la crise financière
internationale en écoutant les conseils d’experts plus
sages que lui. En effet, Obama a pleinement soutenu le
plan de renflouement d’Henry Paulson, exerçant des
pressions intenses sur les élus nationaux pour qu’ils
l’adoptent.
Aucune marge d’erreur n’est permise à
Barack Obama
Ceux qui ont soutenu B. Obama n’ont pas pris de gants
pour se débarrasser d’Hillary Clinton. Ils n’en prendront
pas avec Obama s’il ne fait pas précisément ce que ses
marionnettistes attendent de lui. Chose incroyable, dès
le lendemain de l’élection présidentielle, un
commentaire intitulé « Cher Monsieur le Président »,
paraissait dans la très lue Lex Column, du Financial
Times. On y félicitait Barack Obama et on lui
déconseillait d’en faire trop : qu’il se contente
simplement de s’assurer que le Plan Paulson
fonctionne sans anicroche, qu’il mette « à disposition
du crédit (même si les prêts restent faibles) » et résiste
aux pressions des Américains furieux qui réclament des
mesures pour relancer l’économie. « Si vous êtes dans
l’obligation d’agir, prenez des initiatives populaires mais
inoffensives », conseille le quotidien de Londres.
Du « conseil » à la « menace », il n’y a qu’un pas. C’est
ainsi que plusieurs journaux britanniques, contrôlés par
le cartel bancaire, ont abondé en mises en garde contre
le danger qu’Obama soit assassiné avant même
d’arriver à la Maison-Blanche, donnant force détails sur
sa sécurité personnelle. De ce point de vue, il faut
évoquer la menace des financiers de la City en
parcourant le titre de la manchette du tabloïd du Daily
Express du 6 novembre : « La cible : Obama – On
craint qu’Obama n’arrive jamais à la Maison-Blanche ».
Finalement, si Obama reste en place, ceux qui
espéraient un changement découvriront, dès 2009, que
celui-ci s’est traduit par l’« accélération de la crise » et
des mesures schachtiennes contre les citoyens !
La nouvelle administration Obama va devoir gérer les
prochaines tempêtes. Après celle de l’immobilier, vient
la dette sur les cartes de crédit, le financement des
entreprises, et que dire de l’ouragan des produits
dérivés qui pourrait tout mettre par terre ?
Rothschild, le banquier du groupe
anglo-hollandais, est-il
le marionnettiste le plus influent ?
Dans les derniers numéros de LIESI, nous avons
expliqué pourquoi, face à la crise bancaire actuelle, le
Premier ministre britannique Gordon Brown avait
imposé « la première étape de la solution » de la Haute
finance à l’ensemble de la communauté européenne.
Lui-même a été « conseillé » par Mme Vadera, un agent
du cartel bancaire, et le plan de l’Eurogroup a
ensuite été exécuté par le tandem Brown/Sarkozy.
Dans le numéro 170, LIESI a mis en évidence le fait
que la conseillère privée de G. Brown, Mme Vadera,
était un agent du complexe UBS Warburg. Or les
Warburg ont toujours été sous la coupe des
Rothschild. Le livre « Financial Origins of National
Socialism » (1933) de Sydney Warburg3 donne des
éléments très intéressants au sujet de cette
subordination de la dynastie Warburg aux Rothschild,
banquiers du groupe anglo-hollandais. Dans ce livre de
70 pages, censuré pendant de nombreuses années4,
« Warburg » décrit une réunion secrète, en juillet 1929,
avec « Carter », le président du Guarantee Trust de
J.P. Morgan, les présidents des Federal Reserve
Banks, le jeune Rockefeller et Glean de la Royal Dutch.
Ils étaient tous sous tutelle des Rothschild5. Comme
nous l’avons très brièvement dit dans le numéro 170, le
financement de la guerre d’Hitler ne permit pas
cependant au groupe anglo-hollandais de récupérer
le pétrole du Caucase.
Le pion russe échappa à leur contrôle et il en est
encore de même aujourd’hui, comme on le verra plus
loin avec Poutine. C’est d’ailleurs sur le fondement de
cette considération que LIESI a su anticiper, depuis dix
ans, le grand retour de la Russie sur l’échiquier
international.
Dans le document relatif à la guerre menée par la
Géorgie contre l’Ossétie du Sud, nous relevions que
l’échec des forces géorgiennes aux frontières de ce
petit pays signifiait une nouvelle défaite de la finance
juive khazare devant les anciennes frontières de
l’Empire de Khazarie. Rappelons brièvement que cet
Empire fut détruit par les Russes. Sa population dut
alors émigrer en Europe de l’Est et ce sont les
Khazars ou les Askhénazes. Ils se disent juifs mais
ne le sont pas. L’élite de ce groupe finança les
nazis et Hitler avec lesquels ils partageaient la
haine des vrais juifs, les Sépharades. Les crimes
accomplis contre les Sépharades avec la
bénédiction de l’élite des Khazars servit de caution
à la création de l’Etat d’Israël selon leur propre
stratégie, laquelle consiste à détruire ce même Etat
lors d’une Troisième Guerre mondiale6.
On dit donc aujourd’hui des Khazars qu’ils sont juifs,
mais c’est un pur mensonge7. En tout cas, l’élite de ce
groupe khazar a toujours juré de se venger de la
Russie. C’est elle qui conçut le dessein d’exécuter
cette vengeance en 1917. Et de fait la Russie fut
sévèrement punie ! D’aucuns affirment que les
Rothschild sont des Khazars. Relevons cette
confidence du célèbre diplomate Rakovsky8 pour qui
6 Exactement selon les modalités du Plan Pike, dont certains
disent que c’est un faux, qui s’exécute pourtant avec une
précision chirurgicale !
7 Voir l’ouvrage de H.F. Freedman : « L’Histoire occultée des
faux Hébreux – Les Khazars » – 15 € (port offert).
8 Christian Rakovsky était un ancien initié communiste. Né
Chaim Rakeover en 1873, il étudia la médecine en France
avant de devenir révolutionnaire. C’était le leader d’un groupe
terroriste qui attaquait les officiels gouvernementaux. En 1919,
Lénine le chargea du gouvernement soviet de l’Ukraine. Il
accomplit la mission des bolcheviks avec succès pendant la
guerre civile et Staline le nomma ambassadeur d’URSS à
Paris, en 1925. Plus précisément, Rakovsky appartenait à la
puissante faction trotskyste qui prenait ses ordres auprès
des leaders des financiers de la Révolution russe, les
Rothschild. Plusieurs membres de ce groupe furent liquidés
par Staline lorsque ce dernier prit le pouvoir, après la mort de
Lénine. Staline n’étant pas un pion des financiers du
groupe anglo-hollandais, il décida de purger le réseau
bolchévique de ses éléments trotskystes. C’est ainsi que
Rakovsky fut mis en prison et interrogé. Le texte de cet
interrogatoire, si éclairant sur les menées d’un Pouvoir occulte
qui transparaît lumineusement derrière ses propos, fut copié
secrètement par le Dr Joseph Landowsky à l’insu des autorités
soviétiques. Le père du Dr Joseph Landowsky, un colonel
tsariste, avait été tué par les Bolcheviks au cours de la
révolution de 1917. (Source : « Fourth Reich of the Rich », de
Des Griffin) Un volontaire espagnol de la légion Azul trouva le
manuscrit de l’interrogatoire sur le cadavre de Rakovsky, dans
une cabane, sur le front de Petrograd, pendant la Seconde
Guerre mondiale. Il le rapporta en Espagne où il fut publié. Cet
interrogatoire fut donc diffusé, à l’origine, en espagnol aux
Editions E.R.S.A. de Don Mauricio Carlavilla, à Madrid, à la fin
des années 60, sous le titre « Sinfonia in rojo major »
(Symphonie en rouge majeur). A sa lecture, l’on s’aperçoit, en
effet, que Rakovsky fut l’un des fondateurs du bolchevisme
soviétique. Ce document d’une grande importance
« l’étoile à cinq branches des soviets représente les
cinq frères Rothschild avec leurs banques, qui
possèdent des richesses colossales, les plus
grandes jamais connues ».
« N’est-il pas étrange que Marx n’ait jamais mentionné
ce fait ? », demande Rakovsky. « N’est-il pas étrange
que pendant les révolutions, les insurgés n’aient jamais
attaqué les banquiers, leurs châteaux ou leurs
banques ? » La remarque vaut pour la Révolution
française et celles du XIXe siècle ! Mieux encore,
d’après Edouard Demachy, c’est un détachement
d’insurgés qui gardait l’Hôtel particulier des Rothschild
à Paris durant la Commune. Il serait aujourd’hui très
intéressant d’étudier les liens éventuels entre le
nouveau parti d’O. Besancenot et les Rothschild…
La guerre est le moyen par lequel les banquiers
internationaux avancent vers leur objectif d’un
gouvernement mondial totalitaire. Rakovsky dit que
Trotsky était derrière le meurtre de l’archiduc Ferdinand
(qui a déclenché la Première Guerre mondiale). Il
rappelle la phrase prononcée par la mère des cinq
frères Rothschild : « ‘‘Si mes fils le veulent, alors il n’y
aura aucune guerre en Europe’’. Cela veut dire qu’ils
étaient les arbitres, les maîtres de la paix et de la
guerre, mais pas les empereurs », conclut Rakovsky.
Ces éléments historiques ne sont-ils pas suffisants pour
juger de l’importance du cartel bancaire, chapeauté par
les Rothschild, au-delà des pions politiques façonnant
la prochaine architecture financière mondiale ?
Au cours de la première semaine de novembre 2008, le
Premier ministre britannique G. Brown s’est rendu en
Arabie saoudite pour demander aux Saoudiens de
contribuer au renflouement du Fonds monétaire
international. Traduisons : les banquiers internationaux
ont l’intention d’utiliser cette institution supranationale
dans le grand sauvetage du système bancaire et
monétaire, déjà en quasi-banqueroute.
Le 6 novembre, G. Brown, entouré d’une myriade de
chefs d’entreprise, de conseillers en communication,
était à Dubaï pour « négocier » avec les Arabes. Ce
jour-là, comme par hasard, le Baron David de
Rothschild était également présent9. Dans une courte
interview, D. de Rothschild a implicitement avoué être
derrière le Plan promu par Londres et, par ricochet, par
le président de l’Eurogroup. En effet, il a loué « l’action
spectaculaire de politiciens tels que G. Brown et N.
Sarkozy qui ont sauvé le système bancaire d’une
banqueroute systémique ! » Il a aussi affirmé : « Il y
aura une gouvernance globale ».
Bien sûr, le Baron David de Rothschild a cherché à
minimiser l’influence de son groupe financier. Selon ses
dires, il n’est plus le même qu’auparavant…
Selon LIESI, D. de Rothschild se trouvait à Dubaï pour
préparer le nouveau système monétaire international.
Depuis 2006, les Rothschild ont investi à Dubaï afin de
diversifier leurs avoirs, essentiellement concentrés en
Europe. Ils ont aussi l’intention de se développer aux
Etats-Unis, profitant des faillites bancaires et
industrielles qui surviendront au cours des deux
prochaines années.
« Dans les années 1820, les Rothschild étaient
personnellement intervenus auprès de la Banque
d’Angleterre afin d’éviter une crise de liquidités. Depuis
le XIX° siècle, écrit Rupert Wright, les Rothschild ont
dirigé un empire financier avec le soutien de grosses
banques d’affaires comme Merrill Lynch, JP Morgan,
Morgan Stanley et sans doute Goldman Sachs, ainsi
que la Banque de Chine10 aujourd’hui » !
Voilà pourquoi les autorités communistes chinoises
n’ont JAMAIS paniqué face à la décrue du dollar
US. Elles n’ont, en effet, nullement procédé à de ventes
paniques de la devise américaine. Comme s’ils
savaient qu’une reprise artificielle du dollar US serait
organisée afin d’arbitrer une partie de leurs réserves
contre de l’or physique. Cela prouve sans ambiguïté
qu’un accord a été conclu à un niveau qui dépasse les
simples administrations américaine et chinoise. Cela se
situe à un niveau occulte.
Face à la réaction russe le groupe
anglo-hollandais provoquera t-il
une autre guerre mondiale ?
Dans l’interrogatoire de C. Rakovsky, ce dernier entend
montrer à Staline que les commanditaires de la
révolution russe contrôlent le monde et que la guerre
mondiale qui sévit s’inscrit dans le cadre d’un vaste
« Mouvement Révolutionnaire ». « L’argent est à la
base du pouvoir », dit Rakovsky, et les Rothschild le
fabriquent grâce au système bancaire. Le « Mouvement
Révolutionnaire » était déjà une tentative engagée par
Mayer Rothschild et ses alliés de protéger et d’étendre
ce monopole en établissant un Nouvel Ordre Mondial
totalitaire. Toujours selon Rakovsky, « les Rothschild
n’étaient pas les trésoriers, mais les chefs de ce
premier communisme secret… Marx et les plus hauts
chefs de la première Internationale… étaient contrôlés
par le baron Lionel Rothschild (1808-1878) dont le
portrait de révolutionnaire fut réalisé par le Premier
ministre anglais Disraeli, qui était aussi sa créature, et
nous a été laissé [dans Coningsby, roman à clés de
Disraeli] »11
Nathaniel Rothschild (1840-1915), le fils de Lionel,
voulait renverser la dynastie chrétienne (orthodoxe) des
Romanov. A l’aide de ses agents Jacob Schiff et les
frères Warburg, il finança la partie japonaise dans la
guerre russo-japonaise, et une insurrection infructueuse
à Moscou en 1905. Puis il fut à l’origine de la Première
Guerre mondiale (Trotsky était, répétons-le, derrière le
meurtre de l’archiduc Ferdinand) et finança la
Révolution bolchevique de 1917. Selon Rakovsky, il fut
personnellement impliqué dans le transfert de fonds à
Stockholm12. Rakovsky explique encore que le
mouvement ouvrier juif (le Bund) était un instrument
des Rothschild. La « faction secrète » du Bund infiltra
tous les partis socialistes en Russie et fournit les
dirigeants pour la révolution russe. Alexandre
Kerensky, le Premier ministre Menchevik en était un
membre secret13. Leon Trotsky était censé devenir le
leader de l’URSS. Trotsky, un juif, épousa la fille d’un
des plus proches associés de Rothschild, le banquier
Abram Zhivotovsky et intégra « le clan ».
Malheureusement, des communistes « nationaux »
comme Lénine croisèrent sa route. Lénine rejeta
Trotsky et fit la paix avec l’Allemagne (traité de Brest-
Litovsk en 1918). Ce n’était pas le plan des Rothschild.
La Première Guerre mondiale était censée se terminer
comme se termina la seconde. La Russie était censée
envahir l’Allemagne en 1918 et aider les
révolutionnaires locaux à établir une république
populaire. Trotsky fut responsable d’une tentative
d’assassinat de Lénine en 1918, mais Lénine survécut.
Quand Lénine eut une attaque, en 1922, Trotsky le fit
achever par Lévine, le médecin juif de Lénine. A ce
moment critique, l’inattendu se produisit. Trotsky
tomba malade et Staline resta seul en position de
prendre le pouvoir. Dans ces circonstances cruciales,
les trotskystes prétendirent soutenir Staline et ils
infiltrèrent son régime en vue de le saboter.
Rakovsky définit Staline comme un « bonapartiste », un
nationaliste, par opposition à un international
communiste comme Trotsky. « C’est un tueur de la
Révolution, il ne la sert pas, mais il s’en sert, il
représente l’impérialisme russe le plus ancien, juste
comme Napoléon s’identifiait avec les Gaulois… » 14
Aussi, pour contrôler Staline, la finance internationale
fut amenée à créer Hitler et le Parti nazi. Rakovsky
confirma que des financiers juifs (khazars) américains
soutenaient bien Hitler, et que ce dernier ignorait leurs
motivations secrètes. Malheureusement pour les
banquiers du cartel bancaire, Hitler s’est lui aussi
montré rebelle. Il commença à imprimer sa propre
monnaie ! Hitler était ainsi devenu une menace plus
grande que Staline, lequel n’avait pas touché à la
monnaie. La mission de Rakovsky fut de convaincre
Staline de signer un pacte avec Hitler et de retourner
l’agression d’Hitler contre l’Ouest. L’objectif était de
faire que l’Allemagne et les nations occidentales
s’épuisent les unes les autres avant qu’un autre front
ne soit ouvert à l’Est.
Aujourd’hui, le cartel bancaire aura t-il encore des
difficultés à imposer une gouvernance mondiale à
la Russie ? Les hommes de l’ex-KGB parlent
ouvertement, via leur représentant, le Premier ministre
V. Poutine, d’indexer le rouble sur l’or. Les éminences
grises des services secrets russes entendent-elles
jouer la partition symphonique du groupe Rothschild et
de ses banquiers vassaux ? Pour LIESI, la réponse est
NIET ! Nous avons déjà connu un récent couac
entre la nébuleuse Rothschild et le pouvoir occulte
qui dirige la Russie au sein même des services
secrets russes. Il s’agit là d’un signal très clair de la
mésentente entre le cartel bancaire, le groupe anglohollandais
et la Russie.
De quel couac s’agit-il ? L’arrestation, par V. Poutine
(dont le grand-père fut cuisinier de la famille de Lénine,
puis de Staline), de Mikhail Khordordovsky, le patron
de Yukos, la plus grande compagnie pétrolière russe,
et l’homme le plus riche de Russie. Après cette
arrestation, fin 2003, Poutine annonça que la Russie
allait saisir les 12 milliards de dollars représentant
26% de ses parts dans la compagnie pétrolière, l’un
des nombreux actifs nationaux pillés dans la
réorganisation du communisme, il y a vingt ans. Or ces
parts avaient déjà été transférées vers Jacob
Rothschild dans le cadre d’un « accord inconnu
jusqu’alors », mais prévu pour une telle
circonstance. Jacob Rothschild et Mikhail
Khordordovsky se connaissaient depuis des années
« par leur amour commun des arts ». Mikhail
Khordordovsky n’était donc qu’un homme de paille,
comme le sont présentement de nombreux politiciens
qui agissent contre les intérêts de leur propre pays en
exécutant les étapes du plan de gouvernance mondiale
concocté par le cartel bancaire.
Depuis ce divorce entre le cartel bancaire et le
pouvoir moscovite, les pressions se multiplient
contre la Russie, jusqu’à l’événement géorgien dont
LIESI a mis en évidence le rapport ténu avec l’histoire
du Royaume de Khazarie… Pour la rédaction de LIESI,
le « Comité X » favorisera le jeu joué par la Russie aux
dépens de l’Ouest et du cartel bancaire.
2009 : les projets funestes
des marionnettistes d’Obama
Récemment, Joe Nocera, un journaliste du New York
Times, a incidemment assisté à une conférence très
privée entre banquiers de la pieuvre Rockefeller. Dans
un article publié le 25 octobre 2008, il dévoile que les
grosses banques choisies par le cartel bancaire n’ont
absolument pas l’intention d’utiliser les milliards
distribués par le Trésor américain, dans le cadre du
Plan Paulson, pour faciliter le développement du crédit
bancaire. Bien au contraire ! A propos de ces fonds
dont H. Paulson avait assuré qu’ils seraient utilisés
pour relancer les prêts, le directeur de JP Morgan a dit
que « …le volume des prêts va continuer à baisser, car
nous allons continuer à resserrer le crédit ». Il a
également été dit que les milliards distribués par le
secrétaire d’Etat au Trésor H. Paulson, serviraient à
racheter les banques mises en faillite.
Nocera cite un directeur de JP Morgan Chase15 :
« J’estime qu’après les acquisitions de Washington
Mutual et de Bear Stearns, l’environnement instable
actuel nous permettra de faire d’autres acquisitions
intéressantes ». C’est l’aveu d’un employé de premier
ordre du cartel bancaire ! Preuve que cette crise doit,
entre autres, permettre une concentration bancaire
sur le plan international. Une autre source, très
avertie, nous confiait : la quasi-totalité des banques
régionales seront avalées par les grands géants de la
Banque. Cette concentration doit être achevée au
moment où les banquiers internationaux autoriseront
les politiciens à parapher leur texte de réforme
monétaire internationale. Voilà pourquoi les bourses
mondiales vont BEAUCOUP baisser, malgré les petits
prétentieux qui illusionnent les naïfs sur les qualités des
équipes dirigeantes et sur les divers plans présentés.
Pour eux, déclencher une grande braderie en bourse
n’est qu’un jeu d’enfants. Il faudra donc attendre de
nombreux mois avant de toucher le bas, avec plusieurs
reprises « techniques » sans lendemain16. Le temps
que la concentration soit effective au niveau des
banques et du point de vue industriel. Le temps de
peaufiner la réforme monétaire internationale.
Une « bombinette » pour épauler
le programme d’Obama ?
Selon une source haut placée dans la communauté du
renseignement américain, l’on donne une forte
probabilité au scénario selon lequel une « attaque
terroriste d’envergure serait lancée contre les Etats-
Unis dans les six premiers mois de la nouvelle
présidence. Son principal but serait d’aggraver les
effets de la crise financière et de justifier le
« programme » concocté par le cartel bancaire à
l’intention de B. Obama et de son administration.
L’on se souviendra qu’en 1993, l’attentat contre le
World Trade Center de New York s’était produit dans
les premiers mois de la présidence Clinton. Et que dire
du 11 septembre 2001 où des attentats furent exécutés
moins de neuf mois après l’entrée en fonction de la
clique Bush/Cheney ?
Il est donc apparemment plus facile d’agir pendant la
période de transition présidentielle pour ce type
d’opération sale. Voilà pourquoi certaines voix
institutionnelles proposent que le secrétaire à la
Défense, le directeur du Renseignement national (DNI)
et le directeur de la CIA restent en poste un an de plus,
le temps de laisser s’installer la nouvelle équipe.
D’un point de vue stratégique, un événement de ce
genre pourrait justifier l’application d’un programme
déjà annoncé, ici ou là, par les ténors du cartel
bancaire. Il faut trouver des boucs émissaires à cette
crise qui doit s’amplifier démesurément au cours des
prochains mois.
Et que dire des curieux propos tenus par le colistier
d’Obama, Joseph Biden, dont LIESI a eu l’occasion de
parler dans le numéro 170. Peu de temps avant les
élections du 4 novembre, l’éventuel prochain président
des Etats-Unis en cas de disparition de B. Obama, a dit
lors d’un discours électoral à Seattle : « Croyez-moi,
avant six mois, le monde mettra à l’épreuve Barack
Obama, comme il le fit avec John Kennedy. […] Vous
verrez, nous aurons une crise internationale, une
crise provoquée, afin de prendre la mesure de ce
gars ».
Ces dernières semaines, plusieurs responsables
politiques américains ont confié avoir été « terrorisés »
pour voter le Plan Paulson. L’intimidation des élus est
un signe supplémentaire du danger de dictature qui
menace les Etats-Unis. Certaines personnes
occupant des postes de très haut niveau ont confié
qu’elles feraient tout pour quitter les Etats-Unis
prochainement car leur docilité est nécessaire pour
appliquer le programme des banquiers
internationaux. Elles cherchent un moyen de rompre
des « relations terrifiantes » ; elles craignent « d’être
tuées ou enfermées dans un camp de concentration ».
Le député démocrate Brad Sherman a confirmé cette
évaluation. Dans son discours précédant le deuxième
vote du 3 octobre 2008, il s’est exprimé comme suit :
« On a même dit à certains membres (du Congrès)
qu’on imposerait la loi martiale en Amérique si nous
votions non ». Lui n’a pas cédé à la menace. Quarantehuit
heures auparavant, dans une tribune du Seattle
Post-Intelligencer, Amy Goodman, de Democracy Now,
mettait en garde le 1er octobre contre une « force
militaire d’active qui puisse servir à supprimer les
protestations publiques », au moment où le système
financier s’effondre. On a récemment appris que le
Congrès avait discrètement autorisé le Département de
la Sécurité Intérieure à utiliser des satellites pour
obtenir des renseignements sur le sol américain…
Selon vous, que préparent-ils ?
Nouvel Ordre monétaire,
gouvernance mondiale
et religion mondiale
Le 25 juillet 2008, Barack Obama s’est rendu à Berlin
où il a tenu un discours d’« illuminé ». Prenant
l’exemple de ce qui s’était produit en Allemagne avec la
chute du Mur, il a appelé chrétiens, musulmans et juifs
à s’unir. Ce message n’est pas innocent ! Il cadre
parfaitement avec le projet de « gouvernance
mondiale » des banquiers synarchistes dont la
mystique consiste en la pratique de l’occulte. Comme
ces gens servent le diable, ils agissent avec perfidie et,
pour le moment, parlent de religion syncrétiste.
Cachant le culte qu’ils rendent à Lucifer, ils poussent en
avant les forces du syncrétisme religieux, tremplin de
l’introduction du culte antichristique. Comme l’exprimait
fort bien l’un de leurs agents, Rakovsky : « Le
communisme ne peut pas triompher, sauf s’il supprime
le christianisme encore en vie. En réalité, le
christianisme est notre seul véritable ennemi, depuis
tous les phénomènes politiques et économiques des
Etats bourgeois ». Ainsi s’explique le projet Megiddo
des services secrets américains, connu de nos anciens
abonnés. Il fut conçu à l’époque du Patriot Act et
prévoit l’arrestation, aux Etats-Unis, de toute personne
opposée à la religion syncrétiste, sans Jésus-Christ,
Fils de Dieu, qui a dit : « Qui n’est pas avec moi est
contre moi ».
Depuis l’époque de Rakovsky, le cartel bancaire a
réussi son Concile oecuménique et la gouvernance
mondiale s’échafaude avec son pendant religieux. Rien
ne semble entraver le plan. En 1926, l’initié Jean
Izoulet et ses disciples dévoilaient ce projet des
synarchistes : la fin du capitalisme arrivera avec la
gouvernance globale et le syncrétisme religieux (la
laïcité positive). Que voit-on aujourd’hui ? Après
l’horrible pandémonium d’Assise organisé par le khazar
Karol Katz Wojtyla, c’est le couple Benoît XVI/Sarkozy
qui promeut le projet de la religion unique. Les foules
endoctrinées à l’humanisme et aux cultes païens, ont
apostasié la foi de leurs pères. Il y a 82 ans, l’initié
Izoulet et ses disciples dévoilaient le plan religieux de la
synarchie, exécuté par Rome et Paris pour une époque
caractérisée par la fin du capitalisme dans l’ouvrage
« Paris, capitale des religions ». Malgré tant de traits
d’évidence, d’aucuns se refusent toujours à voir le
drame qui va secouer les nations car, comme en avertit
saint Paul : « De Dieu on ne se moque pas
impunément. Ce que l’homme sème, il le moissonnera
aussi ».
1 « Le Groupe Bilderberg choisit Barack Obama », 8 €.
2 Sur un autre front, le lobby de la légalisation des drogues –
qui jouit aussi des largesses de George Soros – attend
beaucoup de Barack Obama. Ethan Nadelmann, directeur
exécutif de la Drug Policy Alliance, a diffusé, au lendemain de
l’élection présidentielle, une lettre sur la nécessité de mettre
fin à la « désastreuse guerre à la drogue », notant que le
sénateur de l’Illinois a « dit que l’Amérique devrait traiter la
consommation de la drogue comme un problème de santé et
non de justice pénale ».
3 On ne connaît aucun « Sydney Warburg », mais l’évidence
suggère que l’auteur pourrait être James P. Warburg, le fils du
fondateur de la Federal Reserve, Paul Warburg. Le général
Ludendorff attesta au procès de Nuremberg que James P.
Warburg était le canal à travers lequel 34 millions de dollars
furent finalement transférés de Wall Street aux nazis.
4 Il fut publié en anglais en 1983 sous le titre « Hitler’s Secret
Backers ».
5 Source : Henry Makow Ph.D.
6 Exactement selon les modalités du Plan Pike, dont certains
disent que c’est un faux, qui s’exécute pourtant avec une
précision chirurgicale !
7 Voir l’ouvrage de H.F. Freedman : « L’Histoire occultée des
faux Hébreux – Les Khazars » – 15 € (port offert).
8 Christian Rakovsky était un ancien initié communiste. Né
Chaim Rakeover en 1873, il étudia la médecine en France
avant de devenir révolutionnaire. C’était le leader d’un groupe
terroriste qui attaquait les officiels gouvernementaux. En 1919,
Lénine le chargea du gouvernement soviet de l’Ukraine. Il
accomplit la mission des bolcheviks avec succès pendant la
guerre civile et Staline le nomma ambassadeur d’URSS à
Paris, en 1925. Plus précisément, Rakovsky appartenait à la
puissante faction trotskyste qui prenait ses ordres auprès
des leaders des financiers de la Révolution russe, les
Rothschild. Plusieurs membres de ce groupe furent liquidés
par Staline lorsque ce dernier prit le pouvoir, après la mort de
Lénine. Staline n’étant pas un pion des financiers du
groupe anglo-hollandais, il décida de purger le réseau
bolchévique de ses éléments trotskystes. C’est ainsi que
Rakovsky fut mis en prison et interrogé. Le texte de cet
interrogatoire, si éclairant sur les menées d’un Pouvoir occulte
qui transparaît lumineusement derrière ses propos, fut copié
secrètement par le Dr Joseph Landowsky à l’insu des autorités
soviétiques. Le père du Dr Joseph Landowsky, un colonel
tsariste, avait été tué par les Bolcheviks au cours de la
révolution de 1917. (Source : « Fourth Reich of the Rich », de
Des Griffin) Un volontaire espagnol de la légion Azul trouva le
manuscrit de l’interrogatoire sur le cadavre de Rakovsky, dans
une cabane, sur le front de Petrograd, pendant la Seconde
Guerre mondiale. Il le rapporta en Espagne où il fut publié. Cet
interrogatoire fut donc diffusé, à l’origine, en espagnol aux
Editions E.R.S.A. de Don Mauricio Carlavilla, à Madrid, à la fin
des années 60, sous le titre « Sinfonia in rojo major »
(Symphonie en rouge majeur). A sa lecture, l’on s’aperçoit, en
effet, que Rakovsky fut l’un des fondateurs du bolchevisme
soviétique. Ce document d’une grande importance
historique est reproduit dans l’ouvrage « COMPLOT
MONDIAL : mythe ou réalité » – 20 € (port offert).
9 En septembre 2007, les ministres des Finances des pays
membres du Conseil de Coopération du Golfe ont annoncé
leur projet d’aboutir le plus vite possible à une union monétaire
pouvant, dans un premier temps, accoucher d’une simple
devise. Le projet du cartel bancaire, selon nous chapeauté par
les Rothschild, consiste à créer une monnaie régionale pour
cette partie du globe. Cinq Etats islamiques du CCG se sont
fixés l’objectif de 2010 pour l’adoption d’une devise commune.
Ainsi, il apparaît de plus en plus, dans le nouvel ordre
monétaire en gestation, que le projet du cartel bancaire est de
contraindre les Etats à abandonner les monnaies nationales
pour une monnaie REGIONALE. De ce point de vue, les
Européens ont servi de cobbayes avec l’Euro et la Banque
centrale européenne. On voit donc que le nouveau système
monétaire se traduira par une énorme perte de pouvoir d’achat
des citoyens.
10 Selon le Guangzhou Daily, un journal chinois, la Banque
centrale de Chine envisagerait de multiplier presque par sept
ses réserves en or afin de diversifier les risques pour le pays.
La Banque centrale, à la tête des premières réserves de
change de la planète, porterait ainsi ses réserves du métal
précieux de 600 tonnes aujourd'hui à 4 000 tonnes. En
septembre, la Chine est devenue le premier détenteur de bons
du Trésor américain avec 585 milliards de dollars de bons. Fin
septembre, ses réserves de change se portaient à environ
1 900 milliards de dollars. NDLR.
11 Des Griffin : «Fourth Reich of the Rich »,p. 250.
12 Des Griffin : «Fourth Reich of the Rich »,pp. 251-252.
13 Des Griffin : «Fourth Reich of the Rich »,p. 253.
14 Des Griffin : «Fourth Reich of the Rich »,p. 257.
15 Pour information, le cartel anglo-hollandais cherche à couler
Citigroup au profit de Morgan Chase, une banque liée de
longue date aux Britanniques. Le groupe anglo-hollandais
souhaite qu’elle devienne la première banque d’Amérique à
l’issue de la crise.
16 Voyez ce qui arrive maintenant depuis la publication de nos
précédents numéros : les licenciements commencent à
pleuvoir en Europe par dizaines de milliers. Le drame dans
cette affaire, c’est que tout cela est le fruit d’un complot
synarchique, engagé par des dynasties financières avec la
complicité des gouvernements et des partis d’opposition. Les
gens sont aveuglés, ils ne veulent pas s’instruire et prennent
pour argent comptant les élucubrations des « experts » de la
télévision. S’ils avaient réfléchi et vu la réalité des choses en
face, beaucoup auraient évité de perdre les économies
d’années de labeur. N’est-il pas consternant, aujourd’hui, de
trouver encore des personnes pour penser que Ben Laden est
responsable de l’Opération 11-Septembre ? Ces gens-là
prouvent que la crédulité n’a pas de limite.
le porte-parole des criminels
de Wall Street et de la City
Dans son précédent numéro, LIESI évoquait le groupe
anglo-hollandais et sa mainmise sur le plan de
l’Eurogroup avec l’implication de Dame Vadera, porteparole
des puissantes familles bancaires à l’origine de
la crise. Ces familles entendent être très actives dans la
gestion de cette crise, dans la mesure où celle-ci
répond à un objectif : imposer une réforme du
SYSTEME dans le sens d’une dictature financière
supranationale.
Notre analyse s’est avérée fondée puisque le Plan
Paulson a été remodelé, il y a deux semaines, afin de
coller à la version du groupe anglo-hollandais.
Nous allons maintenant voir que la nomination d’Obama
à la présidence américaine s’inscrit précisément dans
cette logique où les faiseurs de la crise sont aussi les
faiseurs de rois ! B. Obama doit faire le pont entre
Wall Street et la City de Londres. En ce sens, le
phénomène de l’obamania s’apparente à ce que les
Français ont expérimenté avec l’élection de N. Sarkozy.
Les sophistes et les manipulateurs d’opinion ont de
l’avenir ! Traduisons : les Américains vont beaucoup
souffrir et les disciples d’Obama vont déchanter eux
aussi… Le conte de fées selon lequel B. Obama serait
un homme « indépendant de l’establishment » prendra
fin rapidement, au grand dam de tous ces politiciens de
« droite » comme de « gauche » dont la cupidité n’a
d’égal que leur lâcheté à défendre la dignité humaine.
Au lendemain des élections américaines, le président
Medvedev a annoncé que la Russie installerait des
missiles de courte portée à Kaliningrad, pour riposter à
l’installation de missiles antibalistiques américains en
Pologne et en République tchèque.
Beaucoup de gens ont placé de grands espoirs en
Barack Obama. Dans le Hors-série sur le candidat
démocrate à l’investiture présidentielle, publié en
octobre 20081, nous avons montré que le sénateur
Obama était très lié à la pègre de Chicago ! Quant à
son parcours de campagne, il s’est réalisé avec
d’importants fonds en provenance de Wall Street et de
Londres, via George Soros, un agent des Rothschild,
LE banquier du cartel anglo-hollandais. D’ailleurs,
Obama a bénéficié d’une situation économique
catastrophique et il fut élu au moment où les marchés
financiers dégringolaient, ce qui a poussé les indécis à
ne pas voter McCain, républicain comme G.W. Bush, le
M. Hoover du XXIe siècle.
Voilà donc un futur président des Etats-Unis ayant la
ferveur des opprimés ET des banquiers internationaux,
des victimes et des assassins !
La première réponse de B. Obama à ses
marionnettistes a été l’annonce de la nomination
d’Emanuel Rahm au poste de chef de cabinet de la
Maison-Blanche. L’agressivité d’E. Rahm lui a valu le
surnom de « Rahmbo », « l’exécuteur absolu » du
nouveau gouvernement. « Il sait où les corps sont
enterrés, ce que les gens veulent, désirent et quels
sont leurs besoins et leurs points faibles. Il ne tolère
aucune erreur », explique John Lapp, un ancien
directeur de la Commission des campagnes
démocrates pour le Congrès (DCCC). Pour information,
Rahm Emanuel travailla à la Wasserstein Petrella, la
banque d’affaires de Bruce Wasserstein, que ce dernier
revendit à la Dresdner Bank lorsqu’il rejoignit Lazard
Frères en 2000. Il est l’un de ceux qui établirent le pont
entre Wall Street et Obama. Autrement dit, quand
Obama était sénateur, il obéissait à la pègre de
Chicago ; et maintenant, s’il est président le 20 janvier
2009, il obéira à la mafia de Wall Street et à celle de la
City (certaines familles sont dans les deux camps).
Barack Obama : candidat d’une union entre
Wall Street et la City
Dès le lendemain du triomphe de Barack Obama à
l’élection présidentielle, Lord Malloch-Brown, ministre
d’Etat au Foreign Office britannique pour l’Afrique,
l’Asie et l’ONU, était interrogé à la Chambre des
communes, à Londres, et il reconnut : « Nous
collaborons déjà avec le général Petraeus, le nouveau
commandant (américain), et nous avons détaché des
personnes auprès de son équipe afin de préparer
des options stratégiques pour le nouveau Président
(Obama) ».
Selon des sources du renseignement américain
consultées par LIESI, Lord Malloch-Brown a pour
mission de favoriser un scénario de guerre générale à
partir de l’Afghanistan et, pour cela, B. Obama doit
jouer son rôle.
Comment le lien a t-il été établi entre Lord Malloch-
Brown, le porte-parole du cartel anglo-hollandais, et
Barack Obama ? Par l’intermédiaire de Samantha
Power, la conseillère personnelle d’Obama. Mme Power
est très liée au tandem Malloch-Brown / Soros 2.
Le 24 février 2008, par exemple, le Times de Londres
affirmait dans un article sur Mme Power, que le ministre
britannique avait été, jusque-là, la principale liaison
entre le gouvernement de Gordon Brown et la
campagne d’Obama. En outre, Samantha Power est
redevable envers le spéculateur George Soros, dont
l’Open Society Institute a financé ses recherches en
2003, l’aidant alors qu’elle avait des difficultés à trouver
un éditeur commercial pour promouvoir son livre sur
« l’ingérence humanitaire ». A un niveau plus élevé,
Malloch-Brown et George Soros collaborent depuis des
décennies. Avant d’entrer en poste au Foreign Office, le
Britannique était vice-président du controversé
Quantum Fund, le très opaque hedge fund de Soros,
basé dans le paradis fiscal de Curaçao, et il était aussi
vice-président de son Open Society Institute. Les deux
hommes ont également joué un rôle majeur dans la
« révolution des roses » en Géorgie, qui amena au
pouvoir Mikhael Saakachvili, dont ils ont ensuite financé
le gouvernement et la stupide guerre que l’on connaît.
Ces quelques éléments expliquent pourquoi le cartel
anglo-hollandais a soutenu B. Obama. Juste avant le
scrutin, le Financial Times, porte-parole des intérêts
financiers du cartel anglo-hollandais, soutenait
résolument la candidature d’Obama, précisément parce
que ce dernier avait bien réagi à la crise financière
internationale en écoutant les conseils d’experts plus
sages que lui. En effet, Obama a pleinement soutenu le
plan de renflouement d’Henry Paulson, exerçant des
pressions intenses sur les élus nationaux pour qu’ils
l’adoptent.
Aucune marge d’erreur n’est permise à
Barack Obama
Ceux qui ont soutenu B. Obama n’ont pas pris de gants
pour se débarrasser d’Hillary Clinton. Ils n’en prendront
pas avec Obama s’il ne fait pas précisément ce que ses
marionnettistes attendent de lui. Chose incroyable, dès
le lendemain de l’élection présidentielle, un
commentaire intitulé « Cher Monsieur le Président »,
paraissait dans la très lue Lex Column, du Financial
Times. On y félicitait Barack Obama et on lui
déconseillait d’en faire trop : qu’il se contente
simplement de s’assurer que le Plan Paulson
fonctionne sans anicroche, qu’il mette « à disposition
du crédit (même si les prêts restent faibles) » et résiste
aux pressions des Américains furieux qui réclament des
mesures pour relancer l’économie. « Si vous êtes dans
l’obligation d’agir, prenez des initiatives populaires mais
inoffensives », conseille le quotidien de Londres.
Du « conseil » à la « menace », il n’y a qu’un pas. C’est
ainsi que plusieurs journaux britanniques, contrôlés par
le cartel bancaire, ont abondé en mises en garde contre
le danger qu’Obama soit assassiné avant même
d’arriver à la Maison-Blanche, donnant force détails sur
sa sécurité personnelle. De ce point de vue, il faut
évoquer la menace des financiers de la City en
parcourant le titre de la manchette du tabloïd du Daily
Express du 6 novembre : « La cible : Obama – On
craint qu’Obama n’arrive jamais à la Maison-Blanche ».
Finalement, si Obama reste en place, ceux qui
espéraient un changement découvriront, dès 2009, que
celui-ci s’est traduit par l’« accélération de la crise » et
des mesures schachtiennes contre les citoyens !
La nouvelle administration Obama va devoir gérer les
prochaines tempêtes. Après celle de l’immobilier, vient
la dette sur les cartes de crédit, le financement des
entreprises, et que dire de l’ouragan des produits
dérivés qui pourrait tout mettre par terre ?
Rothschild, le banquier du groupe
anglo-hollandais, est-il
le marionnettiste le plus influent ?
Dans les derniers numéros de LIESI, nous avons
expliqué pourquoi, face à la crise bancaire actuelle, le
Premier ministre britannique Gordon Brown avait
imposé « la première étape de la solution » de la Haute
finance à l’ensemble de la communauté européenne.
Lui-même a été « conseillé » par Mme Vadera, un agent
du cartel bancaire, et le plan de l’Eurogroup a
ensuite été exécuté par le tandem Brown/Sarkozy.
Dans le numéro 170, LIESI a mis en évidence le fait
que la conseillère privée de G. Brown, Mme Vadera,
était un agent du complexe UBS Warburg. Or les
Warburg ont toujours été sous la coupe des
Rothschild. Le livre « Financial Origins of National
Socialism » (1933) de Sydney Warburg3 donne des
éléments très intéressants au sujet de cette
subordination de la dynastie Warburg aux Rothschild,
banquiers du groupe anglo-hollandais. Dans ce livre de
70 pages, censuré pendant de nombreuses années4,
« Warburg » décrit une réunion secrète, en juillet 1929,
avec « Carter », le président du Guarantee Trust de
J.P. Morgan, les présidents des Federal Reserve
Banks, le jeune Rockefeller et Glean de la Royal Dutch.
Ils étaient tous sous tutelle des Rothschild5. Comme
nous l’avons très brièvement dit dans le numéro 170, le
financement de la guerre d’Hitler ne permit pas
cependant au groupe anglo-hollandais de récupérer
le pétrole du Caucase.
Le pion russe échappa à leur contrôle et il en est
encore de même aujourd’hui, comme on le verra plus
loin avec Poutine. C’est d’ailleurs sur le fondement de
cette considération que LIESI a su anticiper, depuis dix
ans, le grand retour de la Russie sur l’échiquier
international.
Dans le document relatif à la guerre menée par la
Géorgie contre l’Ossétie du Sud, nous relevions que
l’échec des forces géorgiennes aux frontières de ce
petit pays signifiait une nouvelle défaite de la finance
juive khazare devant les anciennes frontières de
l’Empire de Khazarie. Rappelons brièvement que cet
Empire fut détruit par les Russes. Sa population dut
alors émigrer en Europe de l’Est et ce sont les
Khazars ou les Askhénazes. Ils se disent juifs mais
ne le sont pas. L’élite de ce groupe finança les
nazis et Hitler avec lesquels ils partageaient la
haine des vrais juifs, les Sépharades. Les crimes
accomplis contre les Sépharades avec la
bénédiction de l’élite des Khazars servit de caution
à la création de l’Etat d’Israël selon leur propre
stratégie, laquelle consiste à détruire ce même Etat
lors d’une Troisième Guerre mondiale6.
On dit donc aujourd’hui des Khazars qu’ils sont juifs,
mais c’est un pur mensonge7. En tout cas, l’élite de ce
groupe khazar a toujours juré de se venger de la
Russie. C’est elle qui conçut le dessein d’exécuter
cette vengeance en 1917. Et de fait la Russie fut
sévèrement punie ! D’aucuns affirment que les
Rothschild sont des Khazars. Relevons cette
confidence du célèbre diplomate Rakovsky8 pour qui
6 Exactement selon les modalités du Plan Pike, dont certains
disent que c’est un faux, qui s’exécute pourtant avec une
précision chirurgicale !
7 Voir l’ouvrage de H.F. Freedman : « L’Histoire occultée des
faux Hébreux – Les Khazars » – 15 € (port offert).
8 Christian Rakovsky était un ancien initié communiste. Né
Chaim Rakeover en 1873, il étudia la médecine en France
avant de devenir révolutionnaire. C’était le leader d’un groupe
terroriste qui attaquait les officiels gouvernementaux. En 1919,
Lénine le chargea du gouvernement soviet de l’Ukraine. Il
accomplit la mission des bolcheviks avec succès pendant la
guerre civile et Staline le nomma ambassadeur d’URSS à
Paris, en 1925. Plus précisément, Rakovsky appartenait à la
puissante faction trotskyste qui prenait ses ordres auprès
des leaders des financiers de la Révolution russe, les
Rothschild. Plusieurs membres de ce groupe furent liquidés
par Staline lorsque ce dernier prit le pouvoir, après la mort de
Lénine. Staline n’étant pas un pion des financiers du
groupe anglo-hollandais, il décida de purger le réseau
bolchévique de ses éléments trotskystes. C’est ainsi que
Rakovsky fut mis en prison et interrogé. Le texte de cet
interrogatoire, si éclairant sur les menées d’un Pouvoir occulte
qui transparaît lumineusement derrière ses propos, fut copié
secrètement par le Dr Joseph Landowsky à l’insu des autorités
soviétiques. Le père du Dr Joseph Landowsky, un colonel
tsariste, avait été tué par les Bolcheviks au cours de la
révolution de 1917. (Source : « Fourth Reich of the Rich », de
Des Griffin) Un volontaire espagnol de la légion Azul trouva le
manuscrit de l’interrogatoire sur le cadavre de Rakovsky, dans
une cabane, sur le front de Petrograd, pendant la Seconde
Guerre mondiale. Il le rapporta en Espagne où il fut publié. Cet
interrogatoire fut donc diffusé, à l’origine, en espagnol aux
Editions E.R.S.A. de Don Mauricio Carlavilla, à Madrid, à la fin
des années 60, sous le titre « Sinfonia in rojo major »
(Symphonie en rouge majeur). A sa lecture, l’on s’aperçoit, en
effet, que Rakovsky fut l’un des fondateurs du bolchevisme
soviétique. Ce document d’une grande importance
« l’étoile à cinq branches des soviets représente les
cinq frères Rothschild avec leurs banques, qui
possèdent des richesses colossales, les plus
grandes jamais connues ».
« N’est-il pas étrange que Marx n’ait jamais mentionné
ce fait ? », demande Rakovsky. « N’est-il pas étrange
que pendant les révolutions, les insurgés n’aient jamais
attaqué les banquiers, leurs châteaux ou leurs
banques ? » La remarque vaut pour la Révolution
française et celles du XIXe siècle ! Mieux encore,
d’après Edouard Demachy, c’est un détachement
d’insurgés qui gardait l’Hôtel particulier des Rothschild
à Paris durant la Commune. Il serait aujourd’hui très
intéressant d’étudier les liens éventuels entre le
nouveau parti d’O. Besancenot et les Rothschild…
La guerre est le moyen par lequel les banquiers
internationaux avancent vers leur objectif d’un
gouvernement mondial totalitaire. Rakovsky dit que
Trotsky était derrière le meurtre de l’archiduc Ferdinand
(qui a déclenché la Première Guerre mondiale). Il
rappelle la phrase prononcée par la mère des cinq
frères Rothschild : « ‘‘Si mes fils le veulent, alors il n’y
aura aucune guerre en Europe’’. Cela veut dire qu’ils
étaient les arbitres, les maîtres de la paix et de la
guerre, mais pas les empereurs », conclut Rakovsky.
Ces éléments historiques ne sont-ils pas suffisants pour
juger de l’importance du cartel bancaire, chapeauté par
les Rothschild, au-delà des pions politiques façonnant
la prochaine architecture financière mondiale ?
Au cours de la première semaine de novembre 2008, le
Premier ministre britannique G. Brown s’est rendu en
Arabie saoudite pour demander aux Saoudiens de
contribuer au renflouement du Fonds monétaire
international. Traduisons : les banquiers internationaux
ont l’intention d’utiliser cette institution supranationale
dans le grand sauvetage du système bancaire et
monétaire, déjà en quasi-banqueroute.
Le 6 novembre, G. Brown, entouré d’une myriade de
chefs d’entreprise, de conseillers en communication,
était à Dubaï pour « négocier » avec les Arabes. Ce
jour-là, comme par hasard, le Baron David de
Rothschild était également présent9. Dans une courte
interview, D. de Rothschild a implicitement avoué être
derrière le Plan promu par Londres et, par ricochet, par
le président de l’Eurogroup. En effet, il a loué « l’action
spectaculaire de politiciens tels que G. Brown et N.
Sarkozy qui ont sauvé le système bancaire d’une
banqueroute systémique ! » Il a aussi affirmé : « Il y
aura une gouvernance globale ».
Bien sûr, le Baron David de Rothschild a cherché à
minimiser l’influence de son groupe financier. Selon ses
dires, il n’est plus le même qu’auparavant…
Selon LIESI, D. de Rothschild se trouvait à Dubaï pour
préparer le nouveau système monétaire international.
Depuis 2006, les Rothschild ont investi à Dubaï afin de
diversifier leurs avoirs, essentiellement concentrés en
Europe. Ils ont aussi l’intention de se développer aux
Etats-Unis, profitant des faillites bancaires et
industrielles qui surviendront au cours des deux
prochaines années.
« Dans les années 1820, les Rothschild étaient
personnellement intervenus auprès de la Banque
d’Angleterre afin d’éviter une crise de liquidités. Depuis
le XIX° siècle, écrit Rupert Wright, les Rothschild ont
dirigé un empire financier avec le soutien de grosses
banques d’affaires comme Merrill Lynch, JP Morgan,
Morgan Stanley et sans doute Goldman Sachs, ainsi
que la Banque de Chine10 aujourd’hui » !
Voilà pourquoi les autorités communistes chinoises
n’ont JAMAIS paniqué face à la décrue du dollar
US. Elles n’ont, en effet, nullement procédé à de ventes
paniques de la devise américaine. Comme s’ils
savaient qu’une reprise artificielle du dollar US serait
organisée afin d’arbitrer une partie de leurs réserves
contre de l’or physique. Cela prouve sans ambiguïté
qu’un accord a été conclu à un niveau qui dépasse les
simples administrations américaine et chinoise. Cela se
situe à un niveau occulte.
Face à la réaction russe le groupe
anglo-hollandais provoquera t-il
une autre guerre mondiale ?
Dans l’interrogatoire de C. Rakovsky, ce dernier entend
montrer à Staline que les commanditaires de la
révolution russe contrôlent le monde et que la guerre
mondiale qui sévit s’inscrit dans le cadre d’un vaste
« Mouvement Révolutionnaire ». « L’argent est à la
base du pouvoir », dit Rakovsky, et les Rothschild le
fabriquent grâce au système bancaire. Le « Mouvement
Révolutionnaire » était déjà une tentative engagée par
Mayer Rothschild et ses alliés de protéger et d’étendre
ce monopole en établissant un Nouvel Ordre Mondial
totalitaire. Toujours selon Rakovsky, « les Rothschild
n’étaient pas les trésoriers, mais les chefs de ce
premier communisme secret… Marx et les plus hauts
chefs de la première Internationale… étaient contrôlés
par le baron Lionel Rothschild (1808-1878) dont le
portrait de révolutionnaire fut réalisé par le Premier
ministre anglais Disraeli, qui était aussi sa créature, et
nous a été laissé [dans Coningsby, roman à clés de
Disraeli] »11
Nathaniel Rothschild (1840-1915), le fils de Lionel,
voulait renverser la dynastie chrétienne (orthodoxe) des
Romanov. A l’aide de ses agents Jacob Schiff et les
frères Warburg, il finança la partie japonaise dans la
guerre russo-japonaise, et une insurrection infructueuse
à Moscou en 1905. Puis il fut à l’origine de la Première
Guerre mondiale (Trotsky était, répétons-le, derrière le
meurtre de l’archiduc Ferdinand) et finança la
Révolution bolchevique de 1917. Selon Rakovsky, il fut
personnellement impliqué dans le transfert de fonds à
Stockholm12. Rakovsky explique encore que le
mouvement ouvrier juif (le Bund) était un instrument
des Rothschild. La « faction secrète » du Bund infiltra
tous les partis socialistes en Russie et fournit les
dirigeants pour la révolution russe. Alexandre
Kerensky, le Premier ministre Menchevik en était un
membre secret13. Leon Trotsky était censé devenir le
leader de l’URSS. Trotsky, un juif, épousa la fille d’un
des plus proches associés de Rothschild, le banquier
Abram Zhivotovsky et intégra « le clan ».
Malheureusement, des communistes « nationaux »
comme Lénine croisèrent sa route. Lénine rejeta
Trotsky et fit la paix avec l’Allemagne (traité de Brest-
Litovsk en 1918). Ce n’était pas le plan des Rothschild.
La Première Guerre mondiale était censée se terminer
comme se termina la seconde. La Russie était censée
envahir l’Allemagne en 1918 et aider les
révolutionnaires locaux à établir une république
populaire. Trotsky fut responsable d’une tentative
d’assassinat de Lénine en 1918, mais Lénine survécut.
Quand Lénine eut une attaque, en 1922, Trotsky le fit
achever par Lévine, le médecin juif de Lénine. A ce
moment critique, l’inattendu se produisit. Trotsky
tomba malade et Staline resta seul en position de
prendre le pouvoir. Dans ces circonstances cruciales,
les trotskystes prétendirent soutenir Staline et ils
infiltrèrent son régime en vue de le saboter.
Rakovsky définit Staline comme un « bonapartiste », un
nationaliste, par opposition à un international
communiste comme Trotsky. « C’est un tueur de la
Révolution, il ne la sert pas, mais il s’en sert, il
représente l’impérialisme russe le plus ancien, juste
comme Napoléon s’identifiait avec les Gaulois… » 14
Aussi, pour contrôler Staline, la finance internationale
fut amenée à créer Hitler et le Parti nazi. Rakovsky
confirma que des financiers juifs (khazars) américains
soutenaient bien Hitler, et que ce dernier ignorait leurs
motivations secrètes. Malheureusement pour les
banquiers du cartel bancaire, Hitler s’est lui aussi
montré rebelle. Il commença à imprimer sa propre
monnaie ! Hitler était ainsi devenu une menace plus
grande que Staline, lequel n’avait pas touché à la
monnaie. La mission de Rakovsky fut de convaincre
Staline de signer un pacte avec Hitler et de retourner
l’agression d’Hitler contre l’Ouest. L’objectif était de
faire que l’Allemagne et les nations occidentales
s’épuisent les unes les autres avant qu’un autre front
ne soit ouvert à l’Est.
Aujourd’hui, le cartel bancaire aura t-il encore des
difficultés à imposer une gouvernance mondiale à
la Russie ? Les hommes de l’ex-KGB parlent
ouvertement, via leur représentant, le Premier ministre
V. Poutine, d’indexer le rouble sur l’or. Les éminences
grises des services secrets russes entendent-elles
jouer la partition symphonique du groupe Rothschild et
de ses banquiers vassaux ? Pour LIESI, la réponse est
NIET ! Nous avons déjà connu un récent couac
entre la nébuleuse Rothschild et le pouvoir occulte
qui dirige la Russie au sein même des services
secrets russes. Il s’agit là d’un signal très clair de la
mésentente entre le cartel bancaire, le groupe anglohollandais
et la Russie.
De quel couac s’agit-il ? L’arrestation, par V. Poutine
(dont le grand-père fut cuisinier de la famille de Lénine,
puis de Staline), de Mikhail Khordordovsky, le patron
de Yukos, la plus grande compagnie pétrolière russe,
et l’homme le plus riche de Russie. Après cette
arrestation, fin 2003, Poutine annonça que la Russie
allait saisir les 12 milliards de dollars représentant
26% de ses parts dans la compagnie pétrolière, l’un
des nombreux actifs nationaux pillés dans la
réorganisation du communisme, il y a vingt ans. Or ces
parts avaient déjà été transférées vers Jacob
Rothschild dans le cadre d’un « accord inconnu
jusqu’alors », mais prévu pour une telle
circonstance. Jacob Rothschild et Mikhail
Khordordovsky se connaissaient depuis des années
« par leur amour commun des arts ». Mikhail
Khordordovsky n’était donc qu’un homme de paille,
comme le sont présentement de nombreux politiciens
qui agissent contre les intérêts de leur propre pays en
exécutant les étapes du plan de gouvernance mondiale
concocté par le cartel bancaire.
Depuis ce divorce entre le cartel bancaire et le
pouvoir moscovite, les pressions se multiplient
contre la Russie, jusqu’à l’événement géorgien dont
LIESI a mis en évidence le rapport ténu avec l’histoire
du Royaume de Khazarie… Pour la rédaction de LIESI,
le « Comité X » favorisera le jeu joué par la Russie aux
dépens de l’Ouest et du cartel bancaire.
2009 : les projets funestes
des marionnettistes d’Obama
Récemment, Joe Nocera, un journaliste du New York
Times, a incidemment assisté à une conférence très
privée entre banquiers de la pieuvre Rockefeller. Dans
un article publié le 25 octobre 2008, il dévoile que les
grosses banques choisies par le cartel bancaire n’ont
absolument pas l’intention d’utiliser les milliards
distribués par le Trésor américain, dans le cadre du
Plan Paulson, pour faciliter le développement du crédit
bancaire. Bien au contraire ! A propos de ces fonds
dont H. Paulson avait assuré qu’ils seraient utilisés
pour relancer les prêts, le directeur de JP Morgan a dit
que « …le volume des prêts va continuer à baisser, car
nous allons continuer à resserrer le crédit ». Il a
également été dit que les milliards distribués par le
secrétaire d’Etat au Trésor H. Paulson, serviraient à
racheter les banques mises en faillite.
Nocera cite un directeur de JP Morgan Chase15 :
« J’estime qu’après les acquisitions de Washington
Mutual et de Bear Stearns, l’environnement instable
actuel nous permettra de faire d’autres acquisitions
intéressantes ». C’est l’aveu d’un employé de premier
ordre du cartel bancaire ! Preuve que cette crise doit,
entre autres, permettre une concentration bancaire
sur le plan international. Une autre source, très
avertie, nous confiait : la quasi-totalité des banques
régionales seront avalées par les grands géants de la
Banque. Cette concentration doit être achevée au
moment où les banquiers internationaux autoriseront
les politiciens à parapher leur texte de réforme
monétaire internationale. Voilà pourquoi les bourses
mondiales vont BEAUCOUP baisser, malgré les petits
prétentieux qui illusionnent les naïfs sur les qualités des
équipes dirigeantes et sur les divers plans présentés.
Pour eux, déclencher une grande braderie en bourse
n’est qu’un jeu d’enfants. Il faudra donc attendre de
nombreux mois avant de toucher le bas, avec plusieurs
reprises « techniques » sans lendemain16. Le temps
que la concentration soit effective au niveau des
banques et du point de vue industriel. Le temps de
peaufiner la réforme monétaire internationale.
Une « bombinette » pour épauler
le programme d’Obama ?
Selon une source haut placée dans la communauté du
renseignement américain, l’on donne une forte
probabilité au scénario selon lequel une « attaque
terroriste d’envergure serait lancée contre les Etats-
Unis dans les six premiers mois de la nouvelle
présidence. Son principal but serait d’aggraver les
effets de la crise financière et de justifier le
« programme » concocté par le cartel bancaire à
l’intention de B. Obama et de son administration.
L’on se souviendra qu’en 1993, l’attentat contre le
World Trade Center de New York s’était produit dans
les premiers mois de la présidence Clinton. Et que dire
du 11 septembre 2001 où des attentats furent exécutés
moins de neuf mois après l’entrée en fonction de la
clique Bush/Cheney ?
Il est donc apparemment plus facile d’agir pendant la
période de transition présidentielle pour ce type
d’opération sale. Voilà pourquoi certaines voix
institutionnelles proposent que le secrétaire à la
Défense, le directeur du Renseignement national (DNI)
et le directeur de la CIA restent en poste un an de plus,
le temps de laisser s’installer la nouvelle équipe.
D’un point de vue stratégique, un événement de ce
genre pourrait justifier l’application d’un programme
déjà annoncé, ici ou là, par les ténors du cartel
bancaire. Il faut trouver des boucs émissaires à cette
crise qui doit s’amplifier démesurément au cours des
prochains mois.
Et que dire des curieux propos tenus par le colistier
d’Obama, Joseph Biden, dont LIESI a eu l’occasion de
parler dans le numéro 170. Peu de temps avant les
élections du 4 novembre, l’éventuel prochain président
des Etats-Unis en cas de disparition de B. Obama, a dit
lors d’un discours électoral à Seattle : « Croyez-moi,
avant six mois, le monde mettra à l’épreuve Barack
Obama, comme il le fit avec John Kennedy. […] Vous
verrez, nous aurons une crise internationale, une
crise provoquée, afin de prendre la mesure de ce
gars ».
Ces dernières semaines, plusieurs responsables
politiques américains ont confié avoir été « terrorisés »
pour voter le Plan Paulson. L’intimidation des élus est
un signe supplémentaire du danger de dictature qui
menace les Etats-Unis. Certaines personnes
occupant des postes de très haut niveau ont confié
qu’elles feraient tout pour quitter les Etats-Unis
prochainement car leur docilité est nécessaire pour
appliquer le programme des banquiers
internationaux. Elles cherchent un moyen de rompre
des « relations terrifiantes » ; elles craignent « d’être
tuées ou enfermées dans un camp de concentration ».
Le député démocrate Brad Sherman a confirmé cette
évaluation. Dans son discours précédant le deuxième
vote du 3 octobre 2008, il s’est exprimé comme suit :
« On a même dit à certains membres (du Congrès)
qu’on imposerait la loi martiale en Amérique si nous
votions non ». Lui n’a pas cédé à la menace. Quarantehuit
heures auparavant, dans une tribune du Seattle
Post-Intelligencer, Amy Goodman, de Democracy Now,
mettait en garde le 1er octobre contre une « force
militaire d’active qui puisse servir à supprimer les
protestations publiques », au moment où le système
financier s’effondre. On a récemment appris que le
Congrès avait discrètement autorisé le Département de
la Sécurité Intérieure à utiliser des satellites pour
obtenir des renseignements sur le sol américain…
Selon vous, que préparent-ils ?
Nouvel Ordre monétaire,
gouvernance mondiale
et religion mondiale
Le 25 juillet 2008, Barack Obama s’est rendu à Berlin
où il a tenu un discours d’« illuminé ». Prenant
l’exemple de ce qui s’était produit en Allemagne avec la
chute du Mur, il a appelé chrétiens, musulmans et juifs
à s’unir. Ce message n’est pas innocent ! Il cadre
parfaitement avec le projet de « gouvernance
mondiale » des banquiers synarchistes dont la
mystique consiste en la pratique de l’occulte. Comme
ces gens servent le diable, ils agissent avec perfidie et,
pour le moment, parlent de religion syncrétiste.
Cachant le culte qu’ils rendent à Lucifer, ils poussent en
avant les forces du syncrétisme religieux, tremplin de
l’introduction du culte antichristique. Comme l’exprimait
fort bien l’un de leurs agents, Rakovsky : « Le
communisme ne peut pas triompher, sauf s’il supprime
le christianisme encore en vie. En réalité, le
christianisme est notre seul véritable ennemi, depuis
tous les phénomènes politiques et économiques des
Etats bourgeois ». Ainsi s’explique le projet Megiddo
des services secrets américains, connu de nos anciens
abonnés. Il fut conçu à l’époque du Patriot Act et
prévoit l’arrestation, aux Etats-Unis, de toute personne
opposée à la religion syncrétiste, sans Jésus-Christ,
Fils de Dieu, qui a dit : « Qui n’est pas avec moi est
contre moi ».
Depuis l’époque de Rakovsky, le cartel bancaire a
réussi son Concile oecuménique et la gouvernance
mondiale s’échafaude avec son pendant religieux. Rien
ne semble entraver le plan. En 1926, l’initié Jean
Izoulet et ses disciples dévoilaient ce projet des
synarchistes : la fin du capitalisme arrivera avec la
gouvernance globale et le syncrétisme religieux (la
laïcité positive). Que voit-on aujourd’hui ? Après
l’horrible pandémonium d’Assise organisé par le khazar
Karol Katz Wojtyla, c’est le couple Benoît XVI/Sarkozy
qui promeut le projet de la religion unique. Les foules
endoctrinées à l’humanisme et aux cultes païens, ont
apostasié la foi de leurs pères. Il y a 82 ans, l’initié
Izoulet et ses disciples dévoilaient le plan religieux de la
synarchie, exécuté par Rome et Paris pour une époque
caractérisée par la fin du capitalisme dans l’ouvrage
« Paris, capitale des religions ». Malgré tant de traits
d’évidence, d’aucuns se refusent toujours à voir le
drame qui va secouer les nations car, comme en avertit
saint Paul : « De Dieu on ne se moque pas
impunément. Ce que l’homme sème, il le moissonnera
aussi ».
1 « Le Groupe Bilderberg choisit Barack Obama », 8 €.
2 Sur un autre front, le lobby de la légalisation des drogues –
qui jouit aussi des largesses de George Soros – attend
beaucoup de Barack Obama. Ethan Nadelmann, directeur
exécutif de la Drug Policy Alliance, a diffusé, au lendemain de
l’élection présidentielle, une lettre sur la nécessité de mettre
fin à la « désastreuse guerre à la drogue », notant que le
sénateur de l’Illinois a « dit que l’Amérique devrait traiter la
consommation de la drogue comme un problème de santé et
non de justice pénale ».
3 On ne connaît aucun « Sydney Warburg », mais l’évidence
suggère que l’auteur pourrait être James P. Warburg, le fils du
fondateur de la Federal Reserve, Paul Warburg. Le général
Ludendorff attesta au procès de Nuremberg que James P.
Warburg était le canal à travers lequel 34 millions de dollars
furent finalement transférés de Wall Street aux nazis.
4 Il fut publié en anglais en 1983 sous le titre « Hitler’s Secret
Backers ».
5 Source : Henry Makow Ph.D.
6 Exactement selon les modalités du Plan Pike, dont certains
disent que c’est un faux, qui s’exécute pourtant avec une
précision chirurgicale !
7 Voir l’ouvrage de H.F. Freedman : « L’Histoire occultée des
faux Hébreux – Les Khazars » – 15 € (port offert).
8 Christian Rakovsky était un ancien initié communiste. Né
Chaim Rakeover en 1873, il étudia la médecine en France
avant de devenir révolutionnaire. C’était le leader d’un groupe
terroriste qui attaquait les officiels gouvernementaux. En 1919,
Lénine le chargea du gouvernement soviet de l’Ukraine. Il
accomplit la mission des bolcheviks avec succès pendant la
guerre civile et Staline le nomma ambassadeur d’URSS à
Paris, en 1925. Plus précisément, Rakovsky appartenait à la
puissante faction trotskyste qui prenait ses ordres auprès
des leaders des financiers de la Révolution russe, les
Rothschild. Plusieurs membres de ce groupe furent liquidés
par Staline lorsque ce dernier prit le pouvoir, après la mort de
Lénine. Staline n’étant pas un pion des financiers du
groupe anglo-hollandais, il décida de purger le réseau
bolchévique de ses éléments trotskystes. C’est ainsi que
Rakovsky fut mis en prison et interrogé. Le texte de cet
interrogatoire, si éclairant sur les menées d’un Pouvoir occulte
qui transparaît lumineusement derrière ses propos, fut copié
secrètement par le Dr Joseph Landowsky à l’insu des autorités
soviétiques. Le père du Dr Joseph Landowsky, un colonel
tsariste, avait été tué par les Bolcheviks au cours de la
révolution de 1917. (Source : « Fourth Reich of the Rich », de
Des Griffin) Un volontaire espagnol de la légion Azul trouva le
manuscrit de l’interrogatoire sur le cadavre de Rakovsky, dans
une cabane, sur le front de Petrograd, pendant la Seconde
Guerre mondiale. Il le rapporta en Espagne où il fut publié. Cet
interrogatoire fut donc diffusé, à l’origine, en espagnol aux
Editions E.R.S.A. de Don Mauricio Carlavilla, à Madrid, à la fin
des années 60, sous le titre « Sinfonia in rojo major »
(Symphonie en rouge majeur). A sa lecture, l’on s’aperçoit, en
effet, que Rakovsky fut l’un des fondateurs du bolchevisme
soviétique. Ce document d’une grande importance
historique est reproduit dans l’ouvrage « COMPLOT
MONDIAL : mythe ou réalité » – 20 € (port offert).
9 En septembre 2007, les ministres des Finances des pays
membres du Conseil de Coopération du Golfe ont annoncé
leur projet d’aboutir le plus vite possible à une union monétaire
pouvant, dans un premier temps, accoucher d’une simple
devise. Le projet du cartel bancaire, selon nous chapeauté par
les Rothschild, consiste à créer une monnaie régionale pour
cette partie du globe. Cinq Etats islamiques du CCG se sont
fixés l’objectif de 2010 pour l’adoption d’une devise commune.
Ainsi, il apparaît de plus en plus, dans le nouvel ordre
monétaire en gestation, que le projet du cartel bancaire est de
contraindre les Etats à abandonner les monnaies nationales
pour une monnaie REGIONALE. De ce point de vue, les
Européens ont servi de cobbayes avec l’Euro et la Banque
centrale européenne. On voit donc que le nouveau système
monétaire se traduira par une énorme perte de pouvoir d’achat
des citoyens.
10 Selon le Guangzhou Daily, un journal chinois, la Banque
centrale de Chine envisagerait de multiplier presque par sept
ses réserves en or afin de diversifier les risques pour le pays.
La Banque centrale, à la tête des premières réserves de
change de la planète, porterait ainsi ses réserves du métal
précieux de 600 tonnes aujourd'hui à 4 000 tonnes. En
septembre, la Chine est devenue le premier détenteur de bons
du Trésor américain avec 585 milliards de dollars de bons. Fin
septembre, ses réserves de change se portaient à environ
1 900 milliards de dollars. NDLR.
11 Des Griffin : «Fourth Reich of the Rich »,p. 250.
12 Des Griffin : «Fourth Reich of the Rich »,pp. 251-252.
13 Des Griffin : «Fourth Reich of the Rich »,p. 253.
14 Des Griffin : «Fourth Reich of the Rich »,p. 257.
15 Pour information, le cartel anglo-hollandais cherche à couler
Citigroup au profit de Morgan Chase, une banque liée de
longue date aux Britanniques. Le groupe anglo-hollandais
souhaite qu’elle devienne la première banque d’Amérique à
l’issue de la crise.
16 Voyez ce qui arrive maintenant depuis la publication de nos
précédents numéros : les licenciements commencent à
pleuvoir en Europe par dizaines de milliers. Le drame dans
cette affaire, c’est que tout cela est le fruit d’un complot
synarchique, engagé par des dynasties financières avec la
complicité des gouvernements et des partis d’opposition. Les
gens sont aveuglés, ils ne veulent pas s’instruire et prennent
pour argent comptant les élucubrations des « experts » de la
télévision. S’ils avaient réfléchi et vu la réalité des choses en
face, beaucoup auraient évité de perdre les économies
d’années de labeur. N’est-il pas consternant, aujourd’hui, de
trouver encore des personnes pour penser que Ben Laden est
responsable de l’Opération 11-Septembre ? Ces gens-là
prouvent que la crédulité n’a pas de limite.
* Dieudonné invite Robert Faurisson au Zénith de Paris
Sous l'influence, voir même l'emprise, d'un modèle de pensée totalitaire, un frisson nous parcours face à l'action de Dieudonné : inviter Faurisson le "négationiste".
C'est la première réaction que nous avons, produite par de nombreuses années de conditionnement intellectuel (lavage de cerveau?).
Cependant un esprit critique éveillé veut en savoir plus, quelle est la démarche de Dieudonné? Est-ce seulement de la provocation? Qui est Faurisson? Qu'a-t-il vraiment écrit? Ses thèses sont-elles réellement ce que les médias et les gardiens de la pensée unique nous relatent?
En tout cas, sans jugement de valeur, l'action de Dieudonné nous amène (pour ceux qui le peuvent) à nous questionner.
Ci-dessous la vidéo (de médiocre qualité, filmé par un téléphone portable je suppose) de l'intervention de Faurisson sur la scène du Zénith lors du spectacle de Dieudonné le 26 Décembre 2008. Cette intervention est, en elle-même, de bien peu d'intéret, mais le fait de l'avoir inviter est bien plus lourd de sens.
Après la vidéo vous trouverez des interventions très documentées d'internautes sur le site d'alterinfo ainsi que des liens vers les écrits de Faurisson qui permettent d'avoir des éléments rares par ces temps de dictature intellectuelle.
Et comme le disait Voltaire : "Je ne suis pas d'accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu'à la mort pour que vous ayez le droit de le dire. »
Une maxime qui semble avoir été oubliée en ces temps obscures...
Posté par Mélanine le 27/12/2008 sur
http://www.alterinfo.net/26-12-08-Dieudonne-invite-Robert-Faurisson-au-Zenith-de-Paris_a27625.html
"A ceux qui diabolisent Faurisson, sans l'avoir lu, en affirmant que c'est un nazi. Je leur signale qu'il ne font rien d'autre que de s'asseoir sur leurs propres principes critiques, qui veut, je l'espère, qu'on prenne connaissance des arguments de la personne condamnée par d'autres.
Je ne vous en veux pas, j'étais comme vous... jusqu'à ce que je prenne connaissance de la collaboration des sionistes avec les nazis.
C'est alors que sur la base de cette histoire non dite, me sont apparu nettement une foule de contradiction dans l'histoire de "l'holocauste".
A commencer par celle-ci : comment les nazis aurai-il pu avoir pour dessein d'exterminer les juifs et collaborer en même temps avec les sionistes ? Sionistes qui organisèrent la déportation des juifs dans les camps de concentration par le biais des judenrat (conseiljuif). Hannah Arendt, in Eichman à Jérusalem dénonce cette collaboration nazisioniste.
Cette contradiction intenable m'a poussé à dépasser mes préjugés et à lire tout simplement Faurisson.( comme s'il s'agissait du diable en personne). Jusqu'ici, je n'avais pris connaissance que du point de vue des accusateurs...
J'ai compris alors le rôle joué par les images chargées d'horreur, auxquelles on associait ce qu'elles ne montrent pas. La charge de l'émotion est si forte qu'elle annihile toute idée de remise en cause, de recherche comparative et critique.
Je n'irais pas plus loin. Voci à présent une série de textes qui témoignent de cette histoire largement cachée. Et pour cause car elle permet de comprendre pourquoi les colons sionistes agissent avec tant de barbarie avec les Palestiniens depuis 1945.
COLLUSION ET COLLABORATION DU MOUVEMENT SIONISTE
AVEC LE NATIONAL-SOCIALISME HITLERIEN.
Fédération sioniste d'Allemagne, un mémorandum au parti nazi le 21 juin 1933 :
" Dans la fondation du nouvel État, qui a proclamé le principe de la race, nous souhaitons adapter notre communauté à ces nouvelles structures... notre reconnaissance de la nationalité juive nous permet d'établir des relations claires et sincères avec le peuple allemand et ses réalités nationales et raciales. Précisément parce que nous ne voulons pas sous-estimer ces principes fondamentaux, parce que nous aussi nous sommes contre les mariages mixtes, et pour le maintien de la pureté du groupe juif.. Les Juifs conscients de leur identité, au nom desquels nous parlons, peuvent trouver place dans la structure de l'État allemand, car ils sont libérés du ressentiment que les Juifs assimilés doivent éprouver ; ... nous croyons en la possibilité de relations loyales entre les Juifs conscients de leur communauté et l'État allemand.
Pour atteindre ses objectifs pratiques, le sionisme espère être capable de collaborer même avec un gouvernement fondamentalement hostile aux Juifs... La réalisation du sionisme n'est gênée que par le ressentiment des Juifs à l'extérieur, contre l'orientation allemande actuelle. La propagande pour le boycott actuellement dirigée contre l'Allemagne est, par essence, non sioniste... "
Source: Lucy Dawidowicz, A Holocaust reader, p. 155.
Le Mémorandum ajoutait :
" qu'au cas où les Allemands accepteraient cette coopération les sionistes s'efforceraient de détourner les Juifs, à l'étranger, d'appeler au boycott anti-allemand. "
Source: Lucy Dawidowicz, The war against Jews (1933 - 1945) Ed. Penguin books,1977, p.231- 232.
Ben Gourion ( premier dirigeant de l'État d'Israël ) le 7 décembre 1938, devant les dirigeants sionistes du "Labour" :
" Si je savais qu'il est possible de sauver tous les enfants d'Allemagne en les amenant en Angleterre, et seulement la moitié d'entre eux en les transportant en Eretz Israël, je choisirai la deuxième solution. Car nous devons tenir compte non seulement de la vie de ces enfants, mais aussi de l'histoire du peuple d'Israël. "
Source: Yvon Gelbner, "Zionist policy and the fate of European Jewry", dans Yad Vashem studies. Jerusalem. Vol. XII, P. 199.
La circulaire de la Wilhelmstrasse indique:
" les objectifs que s'est donnée cette catégorie (de Juifs qui s'opposent à l'assimilation et qui sont favorables à un regroupement de leurs coreligionnaires au sein d'un foyer national), au premier rang de laquelle se trouvent les sionistes, sont ceux qui s'écartent le moins des buts que poursuit en réalité la politique allemande à l'égard des Juifs ".
Source: Lettre circulaire de Bülow-Schwante à toutes les missions diplomatiques du Reich. N° 83, 28 février 1934.
" Il n'y a aucune raison, écrivait Bulow-Schwante au Ministère de l'Intérieur, d'entraver, par des mesures administratives, l'activité sioniste en Allemagne, car le sionisme n'est pas en contradiction avec le programme du national-socialisme dont l'objectif est de faire partir progressivement les Juifs d'Allemagne. "
Source: Lettre no Z U 83?21. 2818 du 13 avril 1935.
Reinhardt Heydrich, chef des Services de Sécurité S.S:
" Nous devons séparer les Juifs en deux catégories : les sionistes et les partisans de l'assimilation. Les sionistes professent une conception strictement raciale, et, par l'émigration en Palestine, ils aident à bâtir leur propre Etat juif... nos bons vœux et notre bonne volonté officielle sont avec eux. "
( 1935 Das Schwarze Korps, organe officiel de la S.S - ) Source: Hohne. Order of the Death'a Head, p. 333
Circulaire de la Gestapo de Bavière à la police, 28 janvier 1935 :
" les membres de l'organisation sioniste, en raison de leur activité orientée vers l'émigration en Palestine, ne doivent pas être traités avec la même rigueur qui est nécessaire pour les membres des organisations juives allemandes (assimilationistes) ".
Source: Kurt Grossmann, "Sionistes et non-sionistes sous la loi nazie dans les années 30" Yearbook. Vol. VI, p. 310.
Alfred Rosenberg, principal théoricien nazi, écrit :
" le sionisme doit être vigoureusement soutenu afin qu'un contingent annuel de Juifs allemands soient transportés en Palestine. "
Source: A. Rosenberg: Die Spur des Juden im Wandel der Zeiten, Munich 1937, p. 153.
Nota : Betar : groupe para-militaire sioniste.
" Le Betar allemand reçut un nouveau nom: Herzlia. Les activités du mouvement en Allemagne devaient obtenir bien sûr l'approbation de la Gestapo; en réalité, Herzlia agissait sous la protection de cette dernière. Un jour, un groupe de SS attaqua un camp d'été du Betar. Le chef du mouvement se plaignit alors auprès de la Gestapo et, quelques jours plus tard, la police secrète annonça que les SS en question avaient été punis. La Gestapo demanda au Betar quelle compensation lui semblait la plus adéquate. Le mouvement demanda que la récente interdiction qui leur avait été faite de porter des chemises brunes soit levée; la requête fut satisfaite. "
Source: Ben Yeruham, Le Livre de Betar, T. H, p. 350.
" L'organisation sioniste des juifs allemands avait une existence légale jusqu'en 1938, cinq ans après l'avènement d'Hitler... La Jüdische Rundschau (journal des sionistes allemands) parut jusqu'en 1938. "
Source: Leibowitz, Israël et Judaïsme. Éd. Desclée de Brouwer, 1993. p. 116
" Le sauvetage des juifs en Europe ne figurait pas en tête de liste des priorités de la classe dirigeante. C'est la fondation de l'état qui était primordiale à leur yeux. "
Source: Tom Segev. Le septième million. Éd. Liana Levi, Paris, 1993, p. 539
Memorandum du Comité de sauvetage de l'agence juive :
" Devons-nous aider tous ceux qui en ont besoin sans tenir compte des caractéristiques de chacun ? Ne devons nous pas donner à cette action un caractère national sioniste et tenter de sauver en priorité ceux qui peuvent être utiles à la Terre d'sraël et au judaïsme ? Je sais qu'il peut sembler cruel de poser la question de cette façon, mais nous devons malheureusement établir clairement que si nous sommes capables de sauver 10 000 personnes parmi les 50 000 personnes qui peuvent contribuer à la construction du pays et à la renaissance nationale ou bien un million de juifs qui deviendront pour nous un fardeau ou au mieux un poids mort, nous devons nous restreindre et sauver les 10 000 qui peuvent être sauvées ? malgré les accusations et les appels du million de laissés pour compte. "
Source: Memorandum du Comité de sauvetage de l'agence juive. 1943. Cité par Tom Segev. (op. cit)
Itzak Shamir ( futur premier ministre d'Israël ) et Abraham Stern, document remis à l'ambassade d'Allemagne à Ankara ( à cette époque les troupes du Maréchal Rommel était déjà en Egypte ) :
" En matière de conception nous nous identifiions à vous. Pourquoi donc ne pas collaborer l'un avec l'autre ? "Mémorandum de l'agent des services secrets nazis à Damas, Werner Otto Von Hentig, sur les pourparlers avec les émissaires de Stern et de Shamir : " la coopération entre le mouvement de libération d'Israël et le nouvel ordre en Europe sera conforme à l'un des discours du chancelier du IIIe Reich dans lequel Hitler soulignait la nécessité d'utiliser toute combinaison de coalition pour isoler et vaincre l'Angleterre ".
Nota : ces documents se trouvent au Mémorial de l'holocauste (Yad Vachem) à Jérusalem, classés sous le numéro E2M.
Israël Eldad, un des chefs historiques du groupe Stern confirme, dans un article publié dans le quotidien de Tel-Aviv, le Yediot Aharonoth, du 4 février 1983, l'authenticité de ces pourparlers entre son mouvement et les représentants officiels de l'Allemagne nazie -
Extraits :
"Principes de base de t'Organisation militaire nationale (NMO) en Palestine (Irgun Zevaï Leumi) concernant la solution de la question juive en Europe et la participation active du NMO à la guerre aux côtés de l'Allemagne. Il ressort des discours des dirigeants de l'État nationale-socialiste allemand qu'une solution radicale de la question juive implique une évacuation des masses juives de l'Europe. (Judenreines Europa).Cette évacuation des masses juives de l'Europe est la condition première de la solution du problème juif, mais cela n'est possible que par l'installation de ces masses en Palestine, dans un Etat juif, avec ses frontières historiques.Résoudre le problème juif de façon définitive, et libérer le peuple juif, c'est l'objectif de l'activité politique et des longues années de lutte du "mouvement pour la liberté d'Israël" (Lehi) et de son Organisation militaire nationale en Palestine (Irgun Zevaï Leumi).Le NMO, connaissant la position bienveillante du gouvernement du Reich envers l'activité sioniste à l'intérieur de l'Allemagne, et les plans sionistes d'émigration estime que:
1) Il pourrait exister des intérêts communs entre l'instauration, en Europe, d'un ordre nouveau, selon la conception allemande, et les véritables aspirations du peuple juif telles qu'elles sont incarnées par Lehi.
2) La coopération entre l'Allemagne nouvelle et une nation hébraïque rénovée (Vôlkisch Nationalen Hébräertum) serait possible.
3) L'établissement de l'État historique juif sur une base nationale et totalitaire, et lié par un traité au Reich allemand pourrait contribuer à maintenir et à renforcer, dans l'avenir, la position de l'Allemagne au Proche?Orient. A condition que soient reconnues, par le gouvernement allemand, les aspirations nationales du "Mouvement pour la liberté d'Israël"
"(Lehi), l'Organisation militaire nationale (NMO) offre de participer à la guerre aux côtés de l'Allemagne. La coopération du mouvement de libération d'Israël irait dans le sens des récents discours du Chancelier du Reich allemand, dans lesquels Monsieur Hitler soulignait que toute négociation et toute alliance devait contribuer à isoler l'Angleterre et à la battre. D'après sa structure et sa conception du monde, le NMO est étroitement lié avec les mouvements totalitaires européens."
Source: Le texte original, en allemand, " trouve, en Appendice no 11, dans le livre de David Yisraeli: Le problème palestinien dans la politique allemande, de 1889 à 1945, Bar Ilan University, Ramat Gan, Israël, 1974, p. 315-317.
Les pourparlers ont subi un coup d'arrêt lorsque les troupes alliées ont arrêté en juin 1941, l'émissaire d'Abraham Stern et Itzak Shamir, M. Naftali Loubentchik, au bureau même des services secrets nazis à Damas. D'autres membres du groupe ont poursuivi des contacts jusqu'à l'arrestation, par les autorités britanniques, de M. Itzak Shamir, en décembre 1941, pour "terrorisme et collaboration avec l'ennemi nazi."
Ben Gourion :
" Beghin appartient incontestablement au type hitlérien. C'est un raciste disposé à détruire tous les Arabes dans son rêve d'unification d'Israël, prêt, pour réaliser ce but sacré, à user de tous les moyens. "
Source: E. Haber, Menahem Beghin, the man and the legend Ed. Delle Book. New York, 1979,
p. 385.34151-8.
Politique-Info - Mars 2002 - Toute reproduction autorisée.
avid Ben Gourion : Octobre 1936 :
"Nous ne suggérons pas d'annoncer maintenant notre but final qui va très loin ? plus loin encore que les révisionnistes qui s'opposent à la partition. Je ne veux pas abandonner la grande vision, la vision finale qui est une composante organique, spirituelle et idéologique de mes (..) aspirations sionistes, "
(David ben Gourion, " mémoires " , volume trois, page 467).
"Les frontières des aspirations sionistes sont l'affaire du peuple juif et aucun facteur externe ne pourra les limiter. " (Ouvrage cité ci dessus, discours en 1937).
Ben Gourion, lettre à son fils (1936) :
"Un Etat juif partiel n'est pas une fin, mais seulement un commencement. Je suis convaincu que l'on ne peut nous empêcher de nous établir dans les autres parties du pays et de la région."
Ben Gourion, 1938 :
"Les frontières des aspirations sionistes, incluent le Liban-Sud, le sud de la Syrie, la Jordanie d'aujourd'hui, toute la Cisjordanie, et le Sinaï "
(Rapport au Conseil mondial de Poalei Zion ( futur Parti Travailliste ) à Tel-Aviv).
Ben Gourion, discours de 1938 :
"Après être devenus une force importante grâce à la création de l'Etat, nous abolirons la partition et nous nous étendrons à toute la Palestine. L'Etat ne sera qu'une étape dans la réalisation du sionisme et sa tâche est de préparer le terrain à l'expansion. L'Etat devra préserver l'ordre non par le prêche mais par les mitrailleuses. ".
1940, Joseph Weitz, chef du Service de colonisation de l'Agence juive :
"Entre nous, il faut qu'il soit clair qu'il n'y a pas place pour les deux peuples dans le pays. Nous n'atteindrons pas notre but s'il y a des Arabes dans ce petit pays. Il n'y a pas d'autre issue que de transférer les Palestiniens d'ici dans les pays avoisinants, de les transférer tous. Il ne doit pas rester un seul village, une seule tribu. ".
Le même Joseph Weitz explicitait ce que signifiait pratiquement " rendre la Palestine "juive" " :
"Il y en a qui croient que la population non juive même en pourcentage élevé, à l'intérieur de nos frontières, sera plus facilement surveillée par nous ; et il y en a d'autres qui croient le contraire, c'est à dire qu'il est plus facile de surveiller les activités d'un voisin que celles d'un locataire. (Je) tends à soutenir ce deuxième point de vue et j'ai un argument supplémentaire : la nécessité de renforcer le caractère de l'État qui sera désormais juif ( .. ) avec une minorité non juive limitée à 15 %. J'étais déjà arrivé à cette conclusion fondamentale dès 1940 (et) je l'avais notée dans mon journal. ". " Nous devons utiliser la terreur, l'assassinat, l'intimidation, la confiscation des terres et la suppression de tous les services sociaux pour débarrasser la Galilée de sa population arabe. "
( Rapport Koenig - Al Hamishar ( journal israélien ), 7 septembre 1976.
1948 : fondation de l'état d'israel :
Ben Gourion, En mai 1948 :
"Nous devrions nous préparer à lancer l'offensive. Notre but c'est d'écraser le Liban, la Cisjordanie et la Syrie. Le point faible c'est le Liban, car le régime musulman y est artificiel et il nous sera facile de le miner. Nous y établirons un Etat chrétien, puis nous écraserons la Légion arabe, éliminerons la Cisjordanie ; la Syrie tombera dans nos mains. Nous bombardons alors et avançons pour prendre Port-Said, Alexandrie et le Sinaï. " (Recommandations devant l'Etat Major Suprême. "
Ben Gourion, une biographie ", par Michael Ben Zohar, NewYork : Delacorte, 1978).
Question du général Yigal Allon à Ben Gourion :
"Que ferons nous de la population de Lydda et Ramle ?" (environ 50 000 habitants )
Ben Gourion, selon son biographe, agita la main et dit "Chassez-les !"
(Juillet 1948- M. Ben Zohar).
Première visite de Ben Gourion à Nazareth.
" Ben Gourion regarda autour de lui avec étonnement et dit : "Pourquoi y a-t-il autant d'Arabes, pourquoi ne les avez vous pas chassés ?" "
( source, opus cité supra M. Ben Zohar )
Uri Lubrani, conseiller spécial aux Affaires arabes du Premier ministre israélien David Ben Gourion en 1960.
"Nous réduirons la population arabe à une communauté de bûcherons et de serviteurs. "
(Sabri Jiryis, " les arabes en Israel " ( the Arabs in israel - New York : Monthly Review Press, 1976 ).
Raphaël Eitan, chef d'état-major des Forces armées israéliennes :
"Nous déclarons ouvertement que les Arabes n'ont aucun droit à s'établir ne serait-ce que sur un centimètre d'Eretz Israël. Vous autres bonnes âmes et modérés devriez savoir que les chambres à gaz dAdolf Hitler seraient pour eux un palais de récréation... La force est la seule chose qu'ils comprennent et qu'ils comprendront jamais. Nous utiliserons la force extrême jusqu'à ce que les Palestiniens viennent à nos pieds en rampant. "
(Gad Becker, " Yediot Aharanot ", 13 Avril 1983, New York Times, 14 Avril 1983.).
Le même Eitan précisa:
"Lorsque nous aurons pacifié le pays, tout ce que les Arabes pourront faire ce sera de tourner en rond comme des cafards drogués dans une bouteille. " (Idem supra).
Heilbrun, président du Comité pour la réélection du général Sholom Lahat, le maire de Tel-Aviv :
"Nous devons tuer tous les Palestiniens à moins qu'ils se résignent à vivre ici comme des esclaves. "
(Octobre 1983)."
Posté par redk le 27/12/2008 sur http://www.alterinfo.net/26-12-08-Dieudonne-invite-Robert-Faurisson-au-Zenith-de-Paris_a27625.html
"SIONISTES COLLABORATION AVEC LES NAZIS
Cette stratégie d’enrôlement des ennemis virulents des juifs en Europe, et d’alignement sur les mouvements et régimes les plus pervers pour patronner financièrement et militairement une colonie sioniste en Palestine, n’excluait pas les nazis. La Fédération sioniste d’Allemagne envoya un mémorandum de soutien au parti nazi le 21juin 1933. La Fédération y notait " ... Une renaissance de la vie nationale telle que celle qui se produit dans la vie de l’Allemagne.., doit également se produire dans le groupe national juif. A partir de la fondation du nouvel Etat (nazi) qui a établi le principe de la race, nous souhaitons insérer notre communauté dans l’ensemble de cette strucure de façon à ce que pour nous aussi, dans la sphère qui nous est assignée, une activité fructueuse pour la mère patrie soit possible... " (81). Loin de dénoncer cette politique, le congrès de l’Organisation sioniste mondiale en 1933 repoussa une résolution appelant à l’action contre Hitler, par un vote de 240 contre 43.
Au moment même où se tenait ce congrès, Hitler annonçait la conclusion d’un accord commercial avec la Banque anglo-palestinienne de l’Organisation sioniste mondiale, qui rompait ainsi le boycott du régime nazi par les juifs à une époque où l’économie allemande était extrêmement vulnérable. On était en plein coeur de la grande dépression et les gens poussaient des brouettes de deutschmarks sans valeur. L’Organisation sioniste mondiale rompit le boycott juif et devint l’un des principaux distributeurs des marchandises nazies dans tout le Moyen-Orient et en Europe du Nord. Ils établirent le Ha’avara, qui était une banque en Palestine ayant pour but de recevoir l’argent de la bourgeoisie juive allemande, avec lequel les marchandises nazies étaient achetées en quantité substantielle.
L’ACCOLADE AUX NAZIS
Par voie de conséquence, les sionistes firent venir en Palestine le baron von Mildenstein du Service de Sécurité S.S. pour une visite de six mois de soutien au sionisme. Cette visite aboutit à un rapport en douze chapitres de Joseph Goebbels, ministre de la Propagande de Hitler, dans DerAngriff (L’Assaut) en 1934, rapport louangeur pour le sionisme. Goebbels commanda un médaillon frappé d’un côté avec la swastika et de l’autre avec l’étoile de David sioniste.
En mai 1935, Reinhardt Heydrich, chef du Service de Sécurité S.S., écrivit un article dans lequel il séparait les juifs en "deux catégories". Les juifs qu’il aimait étaient les sionistes " Nos bons voeux et notre bonne volonté leurs sont acquis. "
En 1937, la milice ouvrière "socialiste" sioniste, la Haganah (fondée par Jabotinsky) envoya un agent (Feivel Polkes) à Berlin, offrant d’espionner au compte du Service de Sécurité S.S. en échange du déblocage de richesses juives pour la colonisation sioniste. Adolf Eichmann fut invité en Palestine par les soins de la Haganah. Feivel Polkes informa Eichmann " Les cercles nationalistes juifs sont très satisfaits de la politique radicale de l’Allemagne, car la population juive en Palestine sera de ce fait tellement accrue que dans un futur proche les juifs pourraient compter sur une supériorité numérique face aux Arabes. "
La liste des actes de collaboration des sionistes avec les nazis est longue. Qu’est-ce qui peut expliquer cette volonté incroyable des dirigeants sionistes de trahir les juifs d’Europe ? Tout le raisonnement avancé par ses défenseurs pour justifier l’Etat d’Israèl était qu’il a été conçu comme un refuge pour les juifs persécutés. Les sionistes, en fait, considéraient tout effort pour sauver les juifs d’Europe non comme l’accomplissement de leur objectif politique mais comme une menace pour leur mouvement tout entier. Si les juifs d’Europe étaient sauvés, ils voudraient aller ailleurs et l’opération de secours n’aurait rien à voir avec le projet sioniste de conquête de la Palestine.
SACRIFIER LES JUIFS EUROPEENS
Le corollaire de ces actes de collaboration avec les nazis au cours des années 30 c’est le fait que lorsqu’on envisagea une modification des lois sur l’immigration aux Etats-Unis et en Europe occidentale pour fournir un refuge symbolique aux juifs persécutés d’Europe, ce furent les sionistes qui organisèrent activement l’arrêt de ces efforts. Bén Gourion s’adressant à un rassemblement de sionistes ouvriers de Grande-Bretagne en 1938 déclarait " Si je savais possible de sauver tous les enfants actuellement en Allemagne en les faisant venir en Angleterre et seulement la moitié d’entre eux en les transportant en Eretz Israél, eh bien j’opterais pour la seconde solution. "
Cette obsession de la colonisation de la Palestine et de l’écrasement des Arabes conduisit le mouvement sioniste à s’opposer à toute tentative de sauver les juifs face à l’extermination, parce que les possibilités de détourner vers la Palestine une main-d’oeuvre sélectionnée en auraient été entravées. De 1933 à 1935, l’Organisation sioniste mondiale refusa les deux tiers des juifs allemands qui sollicitèrent un certificat d’immigration.
Berel Katznelson, éditeur du journal sioniste ouvrier Davar, décrit ce " cruel critère du sionisme " " Les juifs allemands étaient trop vieux pour avoir des enfants en Palestine, n ’avaient pas les métiers nécessaires pour construire une colonie sioniste, ne parlaient pas hébreu et n ’étaient pas sionistes. A la place de ces juifs confrontés à l’extermination, l’O.S.M. fit venir en Palestine 6 000 jeunes sionistes entraînés en provenance des USA, d’Angleterre ou autres pays sans danger. Pire, l’O.S.M. non seulement ne chercha aucune alternative pour les juifs confrontés à l’holocauste, mais encore les dirigeants sionistes s’opposèrent-ils de façon belliqueuse à tous les efforts pour fournir un refuge aux juifs en fuite. "
En 1943 encore, alors que les juifs d’Europe étaient exterminés par millions, le Congrès US proposait de constituer une commission pour "étudier" le problème. Rabbi Stephen Wise, qui était le principal porte-parole américain du sionisme, vint à Washington pour déposer contre cette loi de sauvetage des juifs parce qu’elle détournerait l’attention de la colonisation de la Palestine.
C’est le même Rabbi Wise qui en 1938, en tant que dirigeant du Congrès juif américain, avait écrit une lettre dans laquelle il s’opposait à toute modification des lois sur l’immigration américaine visant àpermettre aux juifs de trouver un asile. Il expliquait " Cela vous intéressera peut-être de savoir qu’il y a quelques semaines les représentants de toutes les principales organisations juives se sont réunies en conférence... Il a été décidé qu’aucune organisation juive ne soutiendrait, pour l’instant, une loi qui modifierait d’une quelconque façon les lois sur l’immigration. "
SOURCE/ 51 Documents: Zionist Collaboration with the Nazis DE L'HISTORIEN JUIF LENNI BRENNER "
Pour ceux qui veulent se faire une véritable opinion et non plus répéter du "prêt à penser", voici les écrits de Faurisson en ligne sur le Net (note personnelle = en résumé ce que je retiens des thèses de Faurisson est qu'il n'y avait pas de plan d'extermination des juifs avec des chambres à gaz, les nazis, loin d'être idiots, préféraient utiliser les prisonniers juifs comme des esclaves, afin de produire des armes et autres matériels utiles à la guerre. Bien sûr cela se faisait sans aucune considération pour les prisonniers, les exploitant jusqu'à épuisement, dans des conditions effroyables, d'où le nombre important de morts. Faurisson remet en cause la thèse d'une volonté de extermination systèmatique à l'aide de chambre à gaz mais ne nie pas le grand nombre de juifs (mais aussi homosexuels, communistes, tziganes, etc...) morts dans les camps de travail.) :
http://www.scribd.com/search?previous_query=faurrisson&query=faurisson&x=38&y=21
C'est la première réaction que nous avons, produite par de nombreuses années de conditionnement intellectuel (lavage de cerveau?).
Cependant un esprit critique éveillé veut en savoir plus, quelle est la démarche de Dieudonné? Est-ce seulement de la provocation? Qui est Faurisson? Qu'a-t-il vraiment écrit? Ses thèses sont-elles réellement ce que les médias et les gardiens de la pensée unique nous relatent?
En tout cas, sans jugement de valeur, l'action de Dieudonné nous amène (pour ceux qui le peuvent) à nous questionner.
Ci-dessous la vidéo (de médiocre qualité, filmé par un téléphone portable je suppose) de l'intervention de Faurisson sur la scène du Zénith lors du spectacle de Dieudonné le 26 Décembre 2008. Cette intervention est, en elle-même, de bien peu d'intéret, mais le fait de l'avoir inviter est bien plus lourd de sens.
Après la vidéo vous trouverez des interventions très documentées d'internautes sur le site d'alterinfo ainsi que des liens vers les écrits de Faurisson qui permettent d'avoir des éléments rares par ces temps de dictature intellectuelle.
Et comme le disait Voltaire : "Je ne suis pas d'accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu'à la mort pour que vous ayez le droit de le dire. »
Une maxime qui semble avoir été oubliée en ces temps obscures...
Posté par Mélanine le 27/12/2008 sur
http://www.alterinfo.net/26-12-08-Dieudonne-invite-Robert-Faurisson-au-Zenith-de-Paris_a27625.html
"A ceux qui diabolisent Faurisson, sans l'avoir lu, en affirmant que c'est un nazi. Je leur signale qu'il ne font rien d'autre que de s'asseoir sur leurs propres principes critiques, qui veut, je l'espère, qu'on prenne connaissance des arguments de la personne condamnée par d'autres.
Je ne vous en veux pas, j'étais comme vous... jusqu'à ce que je prenne connaissance de la collaboration des sionistes avec les nazis.
C'est alors que sur la base de cette histoire non dite, me sont apparu nettement une foule de contradiction dans l'histoire de "l'holocauste".
A commencer par celle-ci : comment les nazis aurai-il pu avoir pour dessein d'exterminer les juifs et collaborer en même temps avec les sionistes ? Sionistes qui organisèrent la déportation des juifs dans les camps de concentration par le biais des judenrat (conseiljuif). Hannah Arendt, in Eichman à Jérusalem dénonce cette collaboration nazisioniste.
Cette contradiction intenable m'a poussé à dépasser mes préjugés et à lire tout simplement Faurisson.( comme s'il s'agissait du diable en personne). Jusqu'ici, je n'avais pris connaissance que du point de vue des accusateurs...
J'ai compris alors le rôle joué par les images chargées d'horreur, auxquelles on associait ce qu'elles ne montrent pas. La charge de l'émotion est si forte qu'elle annihile toute idée de remise en cause, de recherche comparative et critique.
Je n'irais pas plus loin. Voci à présent une série de textes qui témoignent de cette histoire largement cachée. Et pour cause car elle permet de comprendre pourquoi les colons sionistes agissent avec tant de barbarie avec les Palestiniens depuis 1945.
COLLUSION ET COLLABORATION DU MOUVEMENT SIONISTE
AVEC LE NATIONAL-SOCIALISME HITLERIEN.
Fédération sioniste d'Allemagne, un mémorandum au parti nazi le 21 juin 1933 :
" Dans la fondation du nouvel État, qui a proclamé le principe de la race, nous souhaitons adapter notre communauté à ces nouvelles structures... notre reconnaissance de la nationalité juive nous permet d'établir des relations claires et sincères avec le peuple allemand et ses réalités nationales et raciales. Précisément parce que nous ne voulons pas sous-estimer ces principes fondamentaux, parce que nous aussi nous sommes contre les mariages mixtes, et pour le maintien de la pureté du groupe juif.. Les Juifs conscients de leur identité, au nom desquels nous parlons, peuvent trouver place dans la structure de l'État allemand, car ils sont libérés du ressentiment que les Juifs assimilés doivent éprouver ; ... nous croyons en la possibilité de relations loyales entre les Juifs conscients de leur communauté et l'État allemand.
Pour atteindre ses objectifs pratiques, le sionisme espère être capable de collaborer même avec un gouvernement fondamentalement hostile aux Juifs... La réalisation du sionisme n'est gênée que par le ressentiment des Juifs à l'extérieur, contre l'orientation allemande actuelle. La propagande pour le boycott actuellement dirigée contre l'Allemagne est, par essence, non sioniste... "
Source: Lucy Dawidowicz, A Holocaust reader, p. 155.
Le Mémorandum ajoutait :
" qu'au cas où les Allemands accepteraient cette coopération les sionistes s'efforceraient de détourner les Juifs, à l'étranger, d'appeler au boycott anti-allemand. "
Source: Lucy Dawidowicz, The war against Jews (1933 - 1945) Ed. Penguin books,1977, p.231- 232.
Ben Gourion ( premier dirigeant de l'État d'Israël ) le 7 décembre 1938, devant les dirigeants sionistes du "Labour" :
" Si je savais qu'il est possible de sauver tous les enfants d'Allemagne en les amenant en Angleterre, et seulement la moitié d'entre eux en les transportant en Eretz Israël, je choisirai la deuxième solution. Car nous devons tenir compte non seulement de la vie de ces enfants, mais aussi de l'histoire du peuple d'Israël. "
Source: Yvon Gelbner, "Zionist policy and the fate of European Jewry", dans Yad Vashem studies. Jerusalem. Vol. XII, P. 199.
La circulaire de la Wilhelmstrasse indique:
" les objectifs que s'est donnée cette catégorie (de Juifs qui s'opposent à l'assimilation et qui sont favorables à un regroupement de leurs coreligionnaires au sein d'un foyer national), au premier rang de laquelle se trouvent les sionistes, sont ceux qui s'écartent le moins des buts que poursuit en réalité la politique allemande à l'égard des Juifs ".
Source: Lettre circulaire de Bülow-Schwante à toutes les missions diplomatiques du Reich. N° 83, 28 février 1934.
" Il n'y a aucune raison, écrivait Bulow-Schwante au Ministère de l'Intérieur, d'entraver, par des mesures administratives, l'activité sioniste en Allemagne, car le sionisme n'est pas en contradiction avec le programme du national-socialisme dont l'objectif est de faire partir progressivement les Juifs d'Allemagne. "
Source: Lettre no Z U 83?21. 2818 du 13 avril 1935.
Reinhardt Heydrich, chef des Services de Sécurité S.S:
" Nous devons séparer les Juifs en deux catégories : les sionistes et les partisans de l'assimilation. Les sionistes professent une conception strictement raciale, et, par l'émigration en Palestine, ils aident à bâtir leur propre Etat juif... nos bons vœux et notre bonne volonté officielle sont avec eux. "
( 1935 Das Schwarze Korps, organe officiel de la S.S - ) Source: Hohne. Order of the Death'a Head, p. 333
Circulaire de la Gestapo de Bavière à la police, 28 janvier 1935 :
" les membres de l'organisation sioniste, en raison de leur activité orientée vers l'émigration en Palestine, ne doivent pas être traités avec la même rigueur qui est nécessaire pour les membres des organisations juives allemandes (assimilationistes) ".
Source: Kurt Grossmann, "Sionistes et non-sionistes sous la loi nazie dans les années 30" Yearbook. Vol. VI, p. 310.
Alfred Rosenberg, principal théoricien nazi, écrit :
" le sionisme doit être vigoureusement soutenu afin qu'un contingent annuel de Juifs allemands soient transportés en Palestine. "
Source: A. Rosenberg: Die Spur des Juden im Wandel der Zeiten, Munich 1937, p. 153.
Nota : Betar : groupe para-militaire sioniste.
" Le Betar allemand reçut un nouveau nom: Herzlia. Les activités du mouvement en Allemagne devaient obtenir bien sûr l'approbation de la Gestapo; en réalité, Herzlia agissait sous la protection de cette dernière. Un jour, un groupe de SS attaqua un camp d'été du Betar. Le chef du mouvement se plaignit alors auprès de la Gestapo et, quelques jours plus tard, la police secrète annonça que les SS en question avaient été punis. La Gestapo demanda au Betar quelle compensation lui semblait la plus adéquate. Le mouvement demanda que la récente interdiction qui leur avait été faite de porter des chemises brunes soit levée; la requête fut satisfaite. "
Source: Ben Yeruham, Le Livre de Betar, T. H, p. 350.
" L'organisation sioniste des juifs allemands avait une existence légale jusqu'en 1938, cinq ans après l'avènement d'Hitler... La Jüdische Rundschau (journal des sionistes allemands) parut jusqu'en 1938. "
Source: Leibowitz, Israël et Judaïsme. Éd. Desclée de Brouwer, 1993. p. 116
" Le sauvetage des juifs en Europe ne figurait pas en tête de liste des priorités de la classe dirigeante. C'est la fondation de l'état qui était primordiale à leur yeux. "
Source: Tom Segev. Le septième million. Éd. Liana Levi, Paris, 1993, p. 539
Memorandum du Comité de sauvetage de l'agence juive :
" Devons-nous aider tous ceux qui en ont besoin sans tenir compte des caractéristiques de chacun ? Ne devons nous pas donner à cette action un caractère national sioniste et tenter de sauver en priorité ceux qui peuvent être utiles à la Terre d'sraël et au judaïsme ? Je sais qu'il peut sembler cruel de poser la question de cette façon, mais nous devons malheureusement établir clairement que si nous sommes capables de sauver 10 000 personnes parmi les 50 000 personnes qui peuvent contribuer à la construction du pays et à la renaissance nationale ou bien un million de juifs qui deviendront pour nous un fardeau ou au mieux un poids mort, nous devons nous restreindre et sauver les 10 000 qui peuvent être sauvées ? malgré les accusations et les appels du million de laissés pour compte. "
Source: Memorandum du Comité de sauvetage de l'agence juive. 1943. Cité par Tom Segev. (op. cit)
Itzak Shamir ( futur premier ministre d'Israël ) et Abraham Stern, document remis à l'ambassade d'Allemagne à Ankara ( à cette époque les troupes du Maréchal Rommel était déjà en Egypte ) :
" En matière de conception nous nous identifiions à vous. Pourquoi donc ne pas collaborer l'un avec l'autre ? "Mémorandum de l'agent des services secrets nazis à Damas, Werner Otto Von Hentig, sur les pourparlers avec les émissaires de Stern et de Shamir : " la coopération entre le mouvement de libération d'Israël et le nouvel ordre en Europe sera conforme à l'un des discours du chancelier du IIIe Reich dans lequel Hitler soulignait la nécessité d'utiliser toute combinaison de coalition pour isoler et vaincre l'Angleterre ".
Nota : ces documents se trouvent au Mémorial de l'holocauste (Yad Vachem) à Jérusalem, classés sous le numéro E2M.
Israël Eldad, un des chefs historiques du groupe Stern confirme, dans un article publié dans le quotidien de Tel-Aviv, le Yediot Aharonoth, du 4 février 1983, l'authenticité de ces pourparlers entre son mouvement et les représentants officiels de l'Allemagne nazie -
Extraits :
"Principes de base de t'Organisation militaire nationale (NMO) en Palestine (Irgun Zevaï Leumi) concernant la solution de la question juive en Europe et la participation active du NMO à la guerre aux côtés de l'Allemagne. Il ressort des discours des dirigeants de l'État nationale-socialiste allemand qu'une solution radicale de la question juive implique une évacuation des masses juives de l'Europe. (Judenreines Europa).Cette évacuation des masses juives de l'Europe est la condition première de la solution du problème juif, mais cela n'est possible que par l'installation de ces masses en Palestine, dans un Etat juif, avec ses frontières historiques.Résoudre le problème juif de façon définitive, et libérer le peuple juif, c'est l'objectif de l'activité politique et des longues années de lutte du "mouvement pour la liberté d'Israël" (Lehi) et de son Organisation militaire nationale en Palestine (Irgun Zevaï Leumi).Le NMO, connaissant la position bienveillante du gouvernement du Reich envers l'activité sioniste à l'intérieur de l'Allemagne, et les plans sionistes d'émigration estime que:
1) Il pourrait exister des intérêts communs entre l'instauration, en Europe, d'un ordre nouveau, selon la conception allemande, et les véritables aspirations du peuple juif telles qu'elles sont incarnées par Lehi.
2) La coopération entre l'Allemagne nouvelle et une nation hébraïque rénovée (Vôlkisch Nationalen Hébräertum) serait possible.
3) L'établissement de l'État historique juif sur une base nationale et totalitaire, et lié par un traité au Reich allemand pourrait contribuer à maintenir et à renforcer, dans l'avenir, la position de l'Allemagne au Proche?Orient. A condition que soient reconnues, par le gouvernement allemand, les aspirations nationales du "Mouvement pour la liberté d'Israël"
"(Lehi), l'Organisation militaire nationale (NMO) offre de participer à la guerre aux côtés de l'Allemagne. La coopération du mouvement de libération d'Israël irait dans le sens des récents discours du Chancelier du Reich allemand, dans lesquels Monsieur Hitler soulignait que toute négociation et toute alliance devait contribuer à isoler l'Angleterre et à la battre. D'après sa structure et sa conception du monde, le NMO est étroitement lié avec les mouvements totalitaires européens."
Source: Le texte original, en allemand, " trouve, en Appendice no 11, dans le livre de David Yisraeli: Le problème palestinien dans la politique allemande, de 1889 à 1945, Bar Ilan University, Ramat Gan, Israël, 1974, p. 315-317.
Les pourparlers ont subi un coup d'arrêt lorsque les troupes alliées ont arrêté en juin 1941, l'émissaire d'Abraham Stern et Itzak Shamir, M. Naftali Loubentchik, au bureau même des services secrets nazis à Damas. D'autres membres du groupe ont poursuivi des contacts jusqu'à l'arrestation, par les autorités britanniques, de M. Itzak Shamir, en décembre 1941, pour "terrorisme et collaboration avec l'ennemi nazi."
Ben Gourion :
" Beghin appartient incontestablement au type hitlérien. C'est un raciste disposé à détruire tous les Arabes dans son rêve d'unification d'Israël, prêt, pour réaliser ce but sacré, à user de tous les moyens. "
Source: E. Haber, Menahem Beghin, the man and the legend Ed. Delle Book. New York, 1979,
p. 385.34151-8.
Politique-Info - Mars 2002 - Toute reproduction autorisée.
avid Ben Gourion : Octobre 1936 :
"Nous ne suggérons pas d'annoncer maintenant notre but final qui va très loin ? plus loin encore que les révisionnistes qui s'opposent à la partition. Je ne veux pas abandonner la grande vision, la vision finale qui est une composante organique, spirituelle et idéologique de mes (..) aspirations sionistes, "
(David ben Gourion, " mémoires " , volume trois, page 467).
"Les frontières des aspirations sionistes sont l'affaire du peuple juif et aucun facteur externe ne pourra les limiter. " (Ouvrage cité ci dessus, discours en 1937).
Ben Gourion, lettre à son fils (1936) :
"Un Etat juif partiel n'est pas une fin, mais seulement un commencement. Je suis convaincu que l'on ne peut nous empêcher de nous établir dans les autres parties du pays et de la région."
Ben Gourion, 1938 :
"Les frontières des aspirations sionistes, incluent le Liban-Sud, le sud de la Syrie, la Jordanie d'aujourd'hui, toute la Cisjordanie, et le Sinaï "
(Rapport au Conseil mondial de Poalei Zion ( futur Parti Travailliste ) à Tel-Aviv).
Ben Gourion, discours de 1938 :
"Après être devenus une force importante grâce à la création de l'Etat, nous abolirons la partition et nous nous étendrons à toute la Palestine. L'Etat ne sera qu'une étape dans la réalisation du sionisme et sa tâche est de préparer le terrain à l'expansion. L'Etat devra préserver l'ordre non par le prêche mais par les mitrailleuses. ".
1940, Joseph Weitz, chef du Service de colonisation de l'Agence juive :
"Entre nous, il faut qu'il soit clair qu'il n'y a pas place pour les deux peuples dans le pays. Nous n'atteindrons pas notre but s'il y a des Arabes dans ce petit pays. Il n'y a pas d'autre issue que de transférer les Palestiniens d'ici dans les pays avoisinants, de les transférer tous. Il ne doit pas rester un seul village, une seule tribu. ".
Le même Joseph Weitz explicitait ce que signifiait pratiquement " rendre la Palestine "juive" " :
"Il y en a qui croient que la population non juive même en pourcentage élevé, à l'intérieur de nos frontières, sera plus facilement surveillée par nous ; et il y en a d'autres qui croient le contraire, c'est à dire qu'il est plus facile de surveiller les activités d'un voisin que celles d'un locataire. (Je) tends à soutenir ce deuxième point de vue et j'ai un argument supplémentaire : la nécessité de renforcer le caractère de l'État qui sera désormais juif ( .. ) avec une minorité non juive limitée à 15 %. J'étais déjà arrivé à cette conclusion fondamentale dès 1940 (et) je l'avais notée dans mon journal. ". " Nous devons utiliser la terreur, l'assassinat, l'intimidation, la confiscation des terres et la suppression de tous les services sociaux pour débarrasser la Galilée de sa population arabe. "
( Rapport Koenig - Al Hamishar ( journal israélien ), 7 septembre 1976.
1948 : fondation de l'état d'israel :
Ben Gourion, En mai 1948 :
"Nous devrions nous préparer à lancer l'offensive. Notre but c'est d'écraser le Liban, la Cisjordanie et la Syrie. Le point faible c'est le Liban, car le régime musulman y est artificiel et il nous sera facile de le miner. Nous y établirons un Etat chrétien, puis nous écraserons la Légion arabe, éliminerons la Cisjordanie ; la Syrie tombera dans nos mains. Nous bombardons alors et avançons pour prendre Port-Said, Alexandrie et le Sinaï. " (Recommandations devant l'Etat Major Suprême. "
Ben Gourion, une biographie ", par Michael Ben Zohar, NewYork : Delacorte, 1978).
Question du général Yigal Allon à Ben Gourion :
"Que ferons nous de la population de Lydda et Ramle ?" (environ 50 000 habitants )
Ben Gourion, selon son biographe, agita la main et dit "Chassez-les !"
(Juillet 1948- M. Ben Zohar).
Première visite de Ben Gourion à Nazareth.
" Ben Gourion regarda autour de lui avec étonnement et dit : "Pourquoi y a-t-il autant d'Arabes, pourquoi ne les avez vous pas chassés ?" "
( source, opus cité supra M. Ben Zohar )
Uri Lubrani, conseiller spécial aux Affaires arabes du Premier ministre israélien David Ben Gourion en 1960.
"Nous réduirons la population arabe à une communauté de bûcherons et de serviteurs. "
(Sabri Jiryis, " les arabes en Israel " ( the Arabs in israel - New York : Monthly Review Press, 1976 ).
Raphaël Eitan, chef d'état-major des Forces armées israéliennes :
"Nous déclarons ouvertement que les Arabes n'ont aucun droit à s'établir ne serait-ce que sur un centimètre d'Eretz Israël. Vous autres bonnes âmes et modérés devriez savoir que les chambres à gaz dAdolf Hitler seraient pour eux un palais de récréation... La force est la seule chose qu'ils comprennent et qu'ils comprendront jamais. Nous utiliserons la force extrême jusqu'à ce que les Palestiniens viennent à nos pieds en rampant. "
(Gad Becker, " Yediot Aharanot ", 13 Avril 1983, New York Times, 14 Avril 1983.).
Le même Eitan précisa:
"Lorsque nous aurons pacifié le pays, tout ce que les Arabes pourront faire ce sera de tourner en rond comme des cafards drogués dans une bouteille. " (Idem supra).
Heilbrun, président du Comité pour la réélection du général Sholom Lahat, le maire de Tel-Aviv :
"Nous devons tuer tous les Palestiniens à moins qu'ils se résignent à vivre ici comme des esclaves. "
(Octobre 1983)."
Posté par redk le 27/12/2008 sur http://www.alterinfo.net/26-12-08-Dieudonne-invite-Robert-Faurisson-au-Zenith-de-Paris_a27625.html
"SIONISTES COLLABORATION AVEC LES NAZIS
Cette stratégie d’enrôlement des ennemis virulents des juifs en Europe, et d’alignement sur les mouvements et régimes les plus pervers pour patronner financièrement et militairement une colonie sioniste en Palestine, n’excluait pas les nazis. La Fédération sioniste d’Allemagne envoya un mémorandum de soutien au parti nazi le 21juin 1933. La Fédération y notait " ... Une renaissance de la vie nationale telle que celle qui se produit dans la vie de l’Allemagne.., doit également se produire dans le groupe national juif. A partir de la fondation du nouvel Etat (nazi) qui a établi le principe de la race, nous souhaitons insérer notre communauté dans l’ensemble de cette strucure de façon à ce que pour nous aussi, dans la sphère qui nous est assignée, une activité fructueuse pour la mère patrie soit possible... " (81). Loin de dénoncer cette politique, le congrès de l’Organisation sioniste mondiale en 1933 repoussa une résolution appelant à l’action contre Hitler, par un vote de 240 contre 43.
Au moment même où se tenait ce congrès, Hitler annonçait la conclusion d’un accord commercial avec la Banque anglo-palestinienne de l’Organisation sioniste mondiale, qui rompait ainsi le boycott du régime nazi par les juifs à une époque où l’économie allemande était extrêmement vulnérable. On était en plein coeur de la grande dépression et les gens poussaient des brouettes de deutschmarks sans valeur. L’Organisation sioniste mondiale rompit le boycott juif et devint l’un des principaux distributeurs des marchandises nazies dans tout le Moyen-Orient et en Europe du Nord. Ils établirent le Ha’avara, qui était une banque en Palestine ayant pour but de recevoir l’argent de la bourgeoisie juive allemande, avec lequel les marchandises nazies étaient achetées en quantité substantielle.
L’ACCOLADE AUX NAZIS
Par voie de conséquence, les sionistes firent venir en Palestine le baron von Mildenstein du Service de Sécurité S.S. pour une visite de six mois de soutien au sionisme. Cette visite aboutit à un rapport en douze chapitres de Joseph Goebbels, ministre de la Propagande de Hitler, dans DerAngriff (L’Assaut) en 1934, rapport louangeur pour le sionisme. Goebbels commanda un médaillon frappé d’un côté avec la swastika et de l’autre avec l’étoile de David sioniste.
En mai 1935, Reinhardt Heydrich, chef du Service de Sécurité S.S., écrivit un article dans lequel il séparait les juifs en "deux catégories". Les juifs qu’il aimait étaient les sionistes " Nos bons voeux et notre bonne volonté leurs sont acquis. "
En 1937, la milice ouvrière "socialiste" sioniste, la Haganah (fondée par Jabotinsky) envoya un agent (Feivel Polkes) à Berlin, offrant d’espionner au compte du Service de Sécurité S.S. en échange du déblocage de richesses juives pour la colonisation sioniste. Adolf Eichmann fut invité en Palestine par les soins de la Haganah. Feivel Polkes informa Eichmann " Les cercles nationalistes juifs sont très satisfaits de la politique radicale de l’Allemagne, car la population juive en Palestine sera de ce fait tellement accrue que dans un futur proche les juifs pourraient compter sur une supériorité numérique face aux Arabes. "
La liste des actes de collaboration des sionistes avec les nazis est longue. Qu’est-ce qui peut expliquer cette volonté incroyable des dirigeants sionistes de trahir les juifs d’Europe ? Tout le raisonnement avancé par ses défenseurs pour justifier l’Etat d’Israèl était qu’il a été conçu comme un refuge pour les juifs persécutés. Les sionistes, en fait, considéraient tout effort pour sauver les juifs d’Europe non comme l’accomplissement de leur objectif politique mais comme une menace pour leur mouvement tout entier. Si les juifs d’Europe étaient sauvés, ils voudraient aller ailleurs et l’opération de secours n’aurait rien à voir avec le projet sioniste de conquête de la Palestine.
SACRIFIER LES JUIFS EUROPEENS
Le corollaire de ces actes de collaboration avec les nazis au cours des années 30 c’est le fait que lorsqu’on envisagea une modification des lois sur l’immigration aux Etats-Unis et en Europe occidentale pour fournir un refuge symbolique aux juifs persécutés d’Europe, ce furent les sionistes qui organisèrent activement l’arrêt de ces efforts. Bén Gourion s’adressant à un rassemblement de sionistes ouvriers de Grande-Bretagne en 1938 déclarait " Si je savais possible de sauver tous les enfants actuellement en Allemagne en les faisant venir en Angleterre et seulement la moitié d’entre eux en les transportant en Eretz Israél, eh bien j’opterais pour la seconde solution. "
Cette obsession de la colonisation de la Palestine et de l’écrasement des Arabes conduisit le mouvement sioniste à s’opposer à toute tentative de sauver les juifs face à l’extermination, parce que les possibilités de détourner vers la Palestine une main-d’oeuvre sélectionnée en auraient été entravées. De 1933 à 1935, l’Organisation sioniste mondiale refusa les deux tiers des juifs allemands qui sollicitèrent un certificat d’immigration.
Berel Katznelson, éditeur du journal sioniste ouvrier Davar, décrit ce " cruel critère du sionisme " " Les juifs allemands étaient trop vieux pour avoir des enfants en Palestine, n ’avaient pas les métiers nécessaires pour construire une colonie sioniste, ne parlaient pas hébreu et n ’étaient pas sionistes. A la place de ces juifs confrontés à l’extermination, l’O.S.M. fit venir en Palestine 6 000 jeunes sionistes entraînés en provenance des USA, d’Angleterre ou autres pays sans danger. Pire, l’O.S.M. non seulement ne chercha aucune alternative pour les juifs confrontés à l’holocauste, mais encore les dirigeants sionistes s’opposèrent-ils de façon belliqueuse à tous les efforts pour fournir un refuge aux juifs en fuite. "
En 1943 encore, alors que les juifs d’Europe étaient exterminés par millions, le Congrès US proposait de constituer une commission pour "étudier" le problème. Rabbi Stephen Wise, qui était le principal porte-parole américain du sionisme, vint à Washington pour déposer contre cette loi de sauvetage des juifs parce qu’elle détournerait l’attention de la colonisation de la Palestine.
C’est le même Rabbi Wise qui en 1938, en tant que dirigeant du Congrès juif américain, avait écrit une lettre dans laquelle il s’opposait à toute modification des lois sur l’immigration américaine visant àpermettre aux juifs de trouver un asile. Il expliquait " Cela vous intéressera peut-être de savoir qu’il y a quelques semaines les représentants de toutes les principales organisations juives se sont réunies en conférence... Il a été décidé qu’aucune organisation juive ne soutiendrait, pour l’instant, une loi qui modifierait d’une quelconque façon les lois sur l’immigration. "
SOURCE/ 51 Documents: Zionist Collaboration with the Nazis DE L'HISTORIEN JUIF LENNI BRENNER "
Pour ceux qui veulent se faire une véritable opinion et non plus répéter du "prêt à penser", voici les écrits de Faurisson en ligne sur le Net (note personnelle = en résumé ce que je retiens des thèses de Faurisson est qu'il n'y avait pas de plan d'extermination des juifs avec des chambres à gaz, les nazis, loin d'être idiots, préféraient utiliser les prisonniers juifs comme des esclaves, afin de produire des armes et autres matériels utiles à la guerre. Bien sûr cela se faisait sans aucune considération pour les prisonniers, les exploitant jusqu'à épuisement, dans des conditions effroyables, d'où le nombre important de morts. Faurisson remet en cause la thèse d'une volonté de extermination systèmatique à l'aide de chambre à gaz mais ne nie pas le grand nombre de juifs (mais aussi homosexuels, communistes, tziganes, etc...) morts dans les camps de travail.) :
http://www.scribd.com/search?previous_query=faurrisson&query=faurisson&x=38&y=21
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