Je suis très étonné de voir cela sur Fox...
Après l'étonnement je me pose des questions:
"pour quoi?" (en 2 mots)
C'est quoi le but de balancer ces infos?
Ce journaliste a eu une prise de conscience et a débordé la chaine?
Si c'est le cas, il va gicler dard dard. S'il reste en place sans se "repentir", c'est que cela fait parti d'une stratégie de manipulation, car c'est à cela que servent les médias...
Dans ce cas quelle serait l'objectif?
Une hypothèse : ce montage financier autour du CO² aurait été mis en place pour 2 raisons :
1°) faire du fric,
mais surtout en 2°) discréditer et faire capoter toute tentative de changer le système économique et industriel polluant et détruisant l'homme et son environnement.
A méditer...
Glenn Beck : carbone et gouvernement mondial S/T
jeudi 30 septembre 2010
* Le phénomène lady gaga
Lady Gaga et le sacrifice de Lina Morgana (Nenki)
Décryptage d'un clip de lady gaga
Lady Gaga debunké Part 1
Lady Gaga - débunké partie 2
mardi 28 septembre 2010
lundi 27 septembre 2010
vendredi 24 septembre 2010
jeudi 23 septembre 2010
* Etienne Chouard et le système
Le jeu de la démocratie est vicié : c'est le candidat le plus riche qui est élu.
Aujourd'hui les grands lobby (pharmaceutique, ogm, nucléaire, pétrole, armement, ...) sponsorisent tous les partis politiques, et ont indirectement les pleins pouvoirs après les élections
Un seul parti : l'UMPS représente les grandes entreprises privées, et les citoyens sponsorisent les "petits partis" qui n'accèdent pas ou très peu aux grands médias (qui appartiennent aux 2/3 aux lobby de l'armement)
Aujourd'hui les grands lobby (pharmaceutique, ogm, nucléaire, pétrole, armement, ...) sponsorisent tous les partis politiques, et ont indirectement les pleins pouvoirs après les élections
Un seul parti : l'UMPS représente les grandes entreprises privées, et les citoyens sponsorisent les "petits partis" qui n'accèdent pas ou très peu aux grands médias (qui appartiennent aux 2/3 aux lobby de l'armement)
mercredi 22 septembre 2010
* La force de la volonté
Il était une fois le jeune Ben Davis. Avec les années, Ben a pris du poid, beaucoup de poid, jusqu'a devenir obèse. Son surpoid a alors pesé sur son moral, il est entré en dépression et s'est progressivement coupé des autres.
Mais en janvier 2009 Ben a une inspiration... et un matin il se met à courir...
Le 13 septembre 2010, soit 19 mois plus tard, il a posté cette vidéo sur Youtube.
Découvrez le avec près de 55 kilos en moins.
Il raconte quotidiennement son incroyable parcours sur son blog :
http://bendoeslife.tumblr.com/
Titre original : "My 120 pound journey" http://www.youtube.com/watch?v=8SbXgQqbOoU
La musique c'est "Fix you" de Coldplay
Mais en janvier 2009 Ben a une inspiration... et un matin il se met à courir...
Le 13 septembre 2010, soit 19 mois plus tard, il a posté cette vidéo sur Youtube.
Découvrez le avec près de 55 kilos en moins.
Il raconte quotidiennement son incroyable parcours sur son blog :
http://bendoeslife.tumblr.com/
Titre original : "My 120 pound journey" http://www.youtube.com/watch?v=8SbXgQqbOoU
La musique c'est "Fix you" de Coldplay
mardi 21 septembre 2010
* Des médicaments inefficaces.
Les médicaments nous affaiblissent
Heureusement il y a et il y a toujours eu (avant l'arrivée des antibiotiques) l'argent colloïdal, le BS33, le charbon végétal actif, l'extrait de pépins de pamplemousse, etc... que du naturel!
* "Let's make money"
Un réquisitoire strident contre la finance mondiale.
Les banques introduisent notre argent dans le circuit monétaire international, si bien que toute personne ayant un compte bancaire participe, sans le savoir, au système financier mondial.
A travers les témoignages des différents acteurs de ce système, le réalisateur nous révèle les dérives d'une économie sans garde-fou : paradis fiscaux, chantage économique, investissements fictifs, etc.
Ce film impressionnant montre les dérives du système libéral et des conséquences humaines, démographiques et écologiques.
Wagenhofer confronte deux mondes inconciliables : celui des infâmes profiteurs du capitalisme (une infime minorité) et celui des victimes injustes du système (tous les autres).
Le procédé, s’il évacue toute ambiguïté, a le mérite de la clarté.
À une séquence sur des travailleurs ghanéens extrayant difficilement de l’or brut succède ainsi une scène sur le transit du précieux minerai par la Suisse, où il sera transformé en lingots.
Sentence implacable : 3 % de la richesse produite va à l’Afrique, le reste au monde occidental.
Tout le film est à l’avenant.
Let’s Make Money s’apparente à un cours magistral sur les causes de la crise financière dont il ressort une impression révoltante d’injustice et un profond dégoût.
L'ambition affichée du documentariste autrichien Erwin Wagenhofer est de tirer le portrait de la planète sous le joug de la finance internationale.
Découpé en longues séquences, Let's Make Money passe de personnages en situations, de plaidoyers en reportages.
On verra une mine d'or à ciel ouvert au Ghana, des paysans burkinabés cultivateurs de coton, le responsable de la section financière de la Neue Zürcher Zeitung, les chantiers immobiliers d'Andalousie, le député social-démocrate allemand Hermann Scheer.
A aucun moment on ne peut douter du propos d'Erwin Wagenhofer : l'argent est le véhicule de l'oppression.
Les paysans du Sahel produisent le meilleur coton du monde, mais les subventions américaines aux fermiers du Sud les empêchent d'accéder au marché mondial ; le journaliste suisse, membre de l'ultralibérale Société du Mont-Pèlerin défend le droit des habitants des pays riches à profiter des biens accumulés sans les partager avec le reste de l'humanité.
Et pourtant, au bout de ces cent sept minutes, rien n'apparaît de plus que ce collage d'histoires militantes.
Les séquences sont trop courtes pour que les personnages existent.
On dirait que Wagenhofer les a choisis en fonction de ce qu'il attendait d'eux, et que rien ne pourrait lui arriver de pire que d'être surpris.
Le patron autrichien d'une usine indienne sera donc un monstre à sang froid, le responsable burkinabé de l'exploitation cotonnière un défenseur des droits des opprimés.
A la décharge du cinéaste, l'histoire lui a joué un vilain tour.
Le film a été tourné avant que la crise financière ne bouleverse les théorèmes sur lesquels opèrent les acteurs du film.
Non que l'éclatement de la bulle financière ait changé la manière de voir d'un trader de Singapour.
Mais les questions auxquelles il doit répondre aujourd'hui ne sont plus celles que lui posaient Wagenhofer il y a trois ans.
Les banques introduisent notre argent dans le circuit monétaire international, si bien que toute personne ayant un compte bancaire participe, sans le savoir, au système financier mondial.
A travers les témoignages des différents acteurs de ce système, le réalisateur nous révèle les dérives d'une économie sans garde-fou : paradis fiscaux, chantage économique, investissements fictifs, etc.
Ce film impressionnant montre les dérives du système libéral et des conséquences humaines, démographiques et écologiques.
Wagenhofer confronte deux mondes inconciliables : celui des infâmes profiteurs du capitalisme (une infime minorité) et celui des victimes injustes du système (tous les autres).
Le procédé, s’il évacue toute ambiguïté, a le mérite de la clarté.
À une séquence sur des travailleurs ghanéens extrayant difficilement de l’or brut succède ainsi une scène sur le transit du précieux minerai par la Suisse, où il sera transformé en lingots.
Sentence implacable : 3 % de la richesse produite va à l’Afrique, le reste au monde occidental.
Tout le film est à l’avenant.
Let’s Make Money s’apparente à un cours magistral sur les causes de la crise financière dont il ressort une impression révoltante d’injustice et un profond dégoût.
L'ambition affichée du documentariste autrichien Erwin Wagenhofer est de tirer le portrait de la planète sous le joug de la finance internationale.
Découpé en longues séquences, Let's Make Money passe de personnages en situations, de plaidoyers en reportages.
On verra une mine d'or à ciel ouvert au Ghana, des paysans burkinabés cultivateurs de coton, le responsable de la section financière de la Neue Zürcher Zeitung, les chantiers immobiliers d'Andalousie, le député social-démocrate allemand Hermann Scheer.
A aucun moment on ne peut douter du propos d'Erwin Wagenhofer : l'argent est le véhicule de l'oppression.
Les paysans du Sahel produisent le meilleur coton du monde, mais les subventions américaines aux fermiers du Sud les empêchent d'accéder au marché mondial ; le journaliste suisse, membre de l'ultralibérale Société du Mont-Pèlerin défend le droit des habitants des pays riches à profiter des biens accumulés sans les partager avec le reste de l'humanité.
Et pourtant, au bout de ces cent sept minutes, rien n'apparaît de plus que ce collage d'histoires militantes.
Les séquences sont trop courtes pour que les personnages existent.
On dirait que Wagenhofer les a choisis en fonction de ce qu'il attendait d'eux, et que rien ne pourrait lui arriver de pire que d'être surpris.
Le patron autrichien d'une usine indienne sera donc un monstre à sang froid, le responsable burkinabé de l'exploitation cotonnière un défenseur des droits des opprimés.
A la décharge du cinéaste, l'histoire lui a joué un vilain tour.
Le film a été tourné avant que la crise financière ne bouleverse les théorèmes sur lesquels opèrent les acteurs du film.
Non que l'éclatement de la bulle financière ait changé la manière de voir d'un trader de Singapour.
Mais les questions auxquelles il doit répondre aujourd'hui ne sont plus celles que lui posaient Wagenhofer il y a trois ans.
lundi 20 septembre 2010
dimanche 19 septembre 2010
* Cholestérol, Mensonges et Propagande.
Présentation du livre "Cholestérol, Mensonges et Propagande" de Michel de Lorgeril.
Cholestérol, Mensonges et Propagande 1/3
Cholestérol, Mensonges et Propagande 1/3
* Chavez sur la chaine BBC.
Hugo Chavez est interviewé en Juillet 2010 par la chaine anglaise BBC, dans le programme "Hard Talk". Y sont abordés les thèmes de la situation intérieure du Venezuela, la lutte contre la corruption, les accusations de main mise du Président sur la justice, sa politique étrangère, ses relations avec l'Iran, sa place en Amérique latine.
Interview de Chavez sur la BBC 1/2
Interview de Chavez sur la BBC 2/2
Interview de Chavez sur la BBC 1/2
Interview de Chavez sur la BBC 2/2
* Cancer: La Thérapie Gerson.
Cette vidéo sur les résultats scientifiques de la thérapie de Gerson visites avec le Dr Tominaga, directrice de la Clinique de Loma Linda au Japon, le Dr Takaho Watayo, directeur de l'presegous Hosptial Toritsu Ohtsuka à Tokyo et le professeur Yoshihiko Hoshino.
Cancer: La Thérapie De Gerson
Cancer: La Thérapie De Gerson
* Additifs alimentaires, Asparthame = Danger!
Corine Gouget auteure de "Additifs alimentaires : danger" est interviewé sur la radio Ici et Maintenant.
ASPARTAME Corinne Gouget sur R.I.M 1sur5
ASPARTAME Corinne Gouget sur R.I.M 2sur5
ASPARTAME Corinne Gouget sur R.I.M 3sur5
ASPARTAME Corinne Gouget sur R.I.M 4sur5
ASPARTAME Corinne Gouget sur R.I.M 5sur5
ASPARTAME Corinne Gouget sur R.I.M 1sur5
ASPARTAME Corinne Gouget sur R.I.M 2sur5
ASPARTAME Corinne Gouget sur R.I.M 3sur5
ASPARTAME Corinne Gouget sur R.I.M 4sur5
ASPARTAME Corinne Gouget sur R.I.M 5sur5
* Les tabous de l'histoire - Nazisme et occultisme
Si les thèses nazies s'appuyaient sur un mythe exaltant « l'âge d'or » d'un passé germanique, elles plongeaient également leurs racines dans plusieurs mouvements occultistes.
Le plus célèbre d'entre eux demeure la société de Thulé, Thule Gesellschaft : un mouvement sectaire « aryeniste », faisant référence aux fantasmatiques « grands blonds » hyperboréens de l'Antiquité grecque.
Raciste et antisémite, la secte est formée en 1918 autour du baron Rudolf von Sebottendorf (1875-1945).
Pour ses adeptes, les origines « raciales » des Allemands se trouvent en Scandinavie.
Fascinés par le passé « nordique » ou « germanique » de la préhistoire allemande, plusieurs dirigeants nazis sont membres de cette société.
On y croise l'idéologue Alfred Rosenberg, ou encore Rudolf Hess et Hans Franck.
Selon eux, c'est dans ce passé « nordique » qu'ont pris naissance toutes les grandes inventions de l'humanité.
A l'image de l'écriture.
Invention « européenne » par essence, elle est née des « runes » et ne peut être d'origine sémitique !
Contrairement à la légende, Hitler n'a jamais adhéré à cette société occultiste, - qu'il ne se prive pas de railler en privé - mais il savait à quel point elle servait sa politique.
Certains de ses adhérents s'investiront d'ailleurs dans des recherches tout à fait fantaisistes.
Celle du « trésor des Goths », en Crimée, ou bien « l'expédition Schäffer », au Tibet, tant ils sont convaincus des origines germaniques des Tibétains !
La société de Thulé utilisera le svastika, la croix gammée, un symbole sacré de l'Inde, associé à un glaive.
Le signe est inversé pour devenir l'emblème du parti nazi.
En réalité, il s'agit d'un des plus anciens symboles de l'humanité.
Rencontré dès 5000 ans avant J .-C ., ce signe, aujourd'hui complètement tabou en Occident, est l'un des 65 signes de bon augure figurant sur l'empreinte du pied de Bouddha.
Le plus célèbre d'entre eux demeure la société de Thulé, Thule Gesellschaft : un mouvement sectaire « aryeniste », faisant référence aux fantasmatiques « grands blonds » hyperboréens de l'Antiquité grecque.
Raciste et antisémite, la secte est formée en 1918 autour du baron Rudolf von Sebottendorf (1875-1945).
Pour ses adeptes, les origines « raciales » des Allemands se trouvent en Scandinavie.
Fascinés par le passé « nordique » ou « germanique » de la préhistoire allemande, plusieurs dirigeants nazis sont membres de cette société.
On y croise l'idéologue Alfred Rosenberg, ou encore Rudolf Hess et Hans Franck.
Selon eux, c'est dans ce passé « nordique » qu'ont pris naissance toutes les grandes inventions de l'humanité.
A l'image de l'écriture.
Invention « européenne » par essence, elle est née des « runes » et ne peut être d'origine sémitique !
Contrairement à la légende, Hitler n'a jamais adhéré à cette société occultiste, - qu'il ne se prive pas de railler en privé - mais il savait à quel point elle servait sa politique.
Certains de ses adhérents s'investiront d'ailleurs dans des recherches tout à fait fantaisistes.
Celle du « trésor des Goths », en Crimée, ou bien « l'expédition Schäffer », au Tibet, tant ils sont convaincus des origines germaniques des Tibétains !
La société de Thulé utilisera le svastika, la croix gammée, un symbole sacré de l'Inde, associé à un glaive.
Le signe est inversé pour devenir l'emblème du parti nazi.
En réalité, il s'agit d'un des plus anciens symboles de l'humanité.
Rencontré dès 5000 ans avant J .-C ., ce signe, aujourd'hui complètement tabou en Occident, est l'un des 65 signes de bon augure figurant sur l'empreinte du pied de Bouddha.
* "Loic Le Ribault - Mandat d'arrêt contre un chercheur"
Documentaire sur Loic le Ribault, inventeur du G5, le Silicium organique.
vendredi 17 septembre 2010
"150 petites expériences de psychologie des médias"
150 petites expériences de psychologie des médias est un livre pour mieux comprendre comment on vous manipule.
Pourquoi zappons-nous en permanence devant notre télévision ?
Pourquoi lisons-nous la presse people ?
Pourquoi aime-t-on manger des chips en regardant un film d'angoisse ?
Pourquoi a-t-on peur de voir déferler la grippe aviaire lorsqu'on a regardé les informations ? Pourquoi retient-on plus facilement les publicités pour les grandes marques ?
Pourquoi ne supportez-vous pas que le journaliste coupe la parole à son invité ?
Tous les domaines de notre vie sont influencés par les médias : consommation, opinions politiques, croyances sur les risques biologiques ou la criminalité, le réchauffement climatique, etc.
Comment arriver à conserver son esprit critique et son libre arbitre dans un monde où l'on reçoit toujours un message cherchant à nous convaincre de quelque chose ?
Ce livre, en retraçant 150 expériences effectuées en laboratoire ou en conditions réelles, détaille les méthodes utilisées par la presse ou le petit écran pour façonner nos goûts, nos préférences, nos haines ou nos envies.
Une manipulation de masse, à la portée de chacun. Un livre salutaire... pour être moins dupe du discours médiatique !
Biographie de l'auteur
Sébastien Bohler : Docteur en neurobiologie, il est journaliste au magazine Cerveau et Psycho et chroniqueur à l'émission d'analyse des médias Arrêt sur images, anciennement sur France 5 et maintenant sur le site Internet arretsurimages.net.Extrait :
"Aujourd’hui, un Français passe en moyenne trois heures par jour devant sa télévision. Il entend la radio murmurer en permanence pendant son petit-déjeuner ou à sa pause de midi, ouvre le journal du soir en se posant dans le fauteuil du salon, lorsqu’il ne surfe pas sur Internet. En un mot, nous sommes gavés d’informations.
Sans doute cette situation ne s’est-elle jamais produite dans toute l’histoire de l’humanité. Prenez le cas d’un indi- vidu quelconque placé devant son poste de télévision lors des informations de 20 heures.
Successivement, il appren- dra la mort d’un enfant dans l’incendie d’une maison du Doubs, l’explosion d’une bombe à Bali, l’ouverture d’une clinique psychiatrique pour chiens dans un hôpital de Floride, l’échec de négociations israélo-palestiniennes, le résultat d’un match entre un club de football italien et un club de football français, le nouveau disque enregistré par une actrice à la mode, et les progrès de la médecine dans le traitement d’une maladie héréditaire.
Que dire de ce regard ?
Qu’il est périphérique. Il est comme omniscient. La télévision nous transporte dans n’importe quel coin du monde et collecte en quelques instants des données que jamais, en une vie consacrée à parcourir la surface du globe, nous ne pourrions rassembler par nos propres moyens. Et elle fait cela 24 heures sur 24.
Mais en même temps, ce regard n’est pas un regard déli- béré, choisi ou maîtrisé. Nous ne le tournons pas là où nous le voulons, il nous est imposé par les caméras. C’est en outre un regard déformé car les reportages accordent plus d’importance à certains thèmes qu’à d’autres, en fonction de modes, de disponibilité de l’information, de concertations dans les rédactions, de contrats publicitaires.
Crédulité, angoisse et paranoïa
Face à ce spectacle permanent et sur-rythmé, nous sommes modifiés de l’intérieur. D’abord, par unetotale crédulité.
Des expériences ont montré que lorsque l’information devient trop rapide, le cerveau humain tend à la considérer de plus en plus comme vraie, sans se poser la question de sa validité. Les médias surchargent notre cerveau d’informations, si bien que nous ne pouvons plus les remettre en question.
Ensuite, nous nous construisons du monde une image fantasmatique. Les psychologues ont appelé ce phénomène « syndrome du grand méchant monde » : comme les informations montrent en priorité les meurtres, les viols, les accidents, les guerres, les incendies, les attentats, les catastrophes naturelles, les grèves, les émeutes, il en résulte une représentation du monde plus noire que la réalité. Autre conclusion des recherches en psychologie : plus un citoyen fait une forte consommation de médias, plus il noircit son monde, acquérant la conviction que la Terre est un endroit fondamentalement dangereux.
Mais le phénomène est global. Les biais de perceptions, les distorsions et les illusions se multiplient, faisant de la scène médiatique une forme de rêve éveillé. Face à certaines informations, nous développons ainsi de fausses croyances. Celle que la grippe aviaire va bientôt éclater dans nos villes, par exemple lorsque nous avons vu trop de poulets incinérés aux images du 20 heures. Les mécanismes de ces amplifications de croyances sont aujourd’hui 150 petites expériences de psychologie des médias élucidés. Grâce en soit rendue à la psychologie, cette science concrète en progression.
Quand la télé s’éteint, le cerveau s’allume
Pourquoi, dans ce cas, consultons-nous les médias ? Il se peut que nous en soyons dépendants. Que cette forme de discours trop rapide finisse par suractiver le système nerveux, lequel aurait alors besoin d’une dose régulière d’images et de sons compressés pour se sentir à l’aise.
C’est effectivement ce que suggèrent d’autres expériences. Mais il y a plus inquiétant : on sait que les personnes les plus grosses consommatrices de télévision se plantent devant leur poste pour ne pas penser à toutes les choses réelles qu’elles auraient à faire (régler une facture, laver la vaisselle, téléphoner à un ami, etc.).
La question peut se poser : les médias remplacent-ils la pensée ?
D’un point de vue cognitif, cette question est légitime :
lorsque nous nous livrons à des activités autonomes, notre cerveau suscite des images qui se succèdent selon un scénario qui nous est propre, destiné à résoudre un problème.
Par exemple, si je me demande comment je vais organiser la soirée d’anniversaire de mon meilleur ami, mon cerveau fabrique des images qui vont servir à planifier l’action. Il va imaginer la séance de courses et les produits à acheter, le temps mis pour rentrer à la maison, le nom des personnes à contacter, la décoration du salon, etc. Cette activité projective, nommée simulation mentale, structure chacune de nos
actions, et repose sur la sécrétion d’images mentales par le cerveau.
Or, lorsque nous regardons la télévision, les images mentales ne sont pas fabriquées par le cerveau. Elles sont proposées par un dispositif électronique et délivrées à grande échelle. Nous ne participons pas à leur élaboration. Nous ne faisons pas œuvre d’imagination. En outre, toutes ces images mentales sont les mêmes pour des millions de personnes. Notre être imaginal se dissout donc dans une passivité indifférenciée.
La lecture de la presse écrite est moins sujette à ces dérives car le cerveau crée des images mentales à partir de mots.
Quant à la radio, elle se situe à mi-chemin : le cerveau peut toujours susciter des images mentales à partir des mots entendus, mais ne peut pas choisir le rythme de production de ces images, qui est dicté par le rythme de l’élocution et par la programmation radiophonique.
C’est peut-être la raison pour laquelle Internet se développe actuellement si rapidement. Le modèle d’un média centralisé qui diffuse l’information pendant que les masses la reçoivent passivement pourrait avoir fait son temps. Les blogs, forums de discussion, émissions sur Internet, attirent
de plus en plus de personnes désireuses d’une information moins passive, plus participative.
Ce qu’il faut garder à l’esprit en abordant ce chapitre, c’est que la représentation de notre monde par la lucarne du poste de télévision, du transistor ou des titres de journaux est une construction humaine. Non pas une pièce de théâtre écrite à l’avance, mais un discours permanent et fluctuant sur le monde, empreint de peurs, d’angoisses et de névroses. Si ce discours était prononcé par un individu dans
notre salon, ce serait un discours à la fois décousu, très affirmatif, hyperactif, angoissant et considéré comme vrai par un maximum de personnes. De quoi se demander si nous serions prêts à accepter un tel interlocuteur dans notre vie quotidienne, et si oui, quel serait le meilleur moyen de restituer ses propos à leur bonne place."
Pour l'acheter cliquer ici
* La grande distribution
L'envers du décors de la grande distribution : Conférence de Christian Jacquiau
* "The Story of Cosmetics"
Vidéo par les auteurs de "Story of stuffs"
"The Story of Cosmetics" - Version Française
"The Story of Cosmetics" - Version originale
"The Story of Cosmetics" - Version Française
"The Story of Cosmetics" - Version originale
lundi 13 septembre 2010
* Sortir de l’Argent
L’argent est à l’intersection de tous les aspects de la vie moderne. La majorité d’entre nous prend le système monétaire comme acquis, pourtant il a une influence profonde et largement méconnu sur nos vies. Le documentaire américain “The Money fix”, de Alan Rosenblith, explore les relations de nos sociétés contemporaines et plus particulièrement nord-américaines avec l’argent et le dollar. Les liens entre la rareté de l’argent (imposé par notre système monétaire), la compétition générale entre les hommes, la religion de la croissance imposée et finalement l’exclusion de ceux qui ont des scrupules à écraser leurs voisins. Après une première partie expliquant l’histoire des notions et évolutions de la monnaie, du crédit et de la dette, la deuxième partie explore de nouveaux moyens pour améliorer l’économie au niveau local.
Pour aller plus loin :
- Les SEL en france (Selidaire).
- Le site de Bernard Lietaer (l'un des architectes de l'Ecu).
- Vers une richesse « au-delà de toute mesure », par Rajni Bakshi.
- Initiative internationale pour repenser l’économie.
- “L’Argent dette” de Paul Grignon.
Pour aller plus loin :
- Les SEL en france (Selidaire).
- Le site de Bernard Lietaer (l'un des architectes de l'Ecu).
- Vers une richesse « au-delà de toute mesure », par Rajni Bakshi.
- Initiative internationale pour repenser l’économie.
- “L’Argent dette” de Paul Grignon.
* Tailler un Arbre fruitier
Éric Petiot, paysagiste spécialiste des arbres, co-auteur de “Purin d'ortie et Compagnie” et auteur de “Les Soins naturels aux Arbres” nous explique comment tailler les arbres fruitiers.
dimanche 12 septembre 2010
samedi 11 septembre 2010
* Travailler MOINS pour gagner PLUS
Cette conférence, avec Franck LEPAGE et Gaël TANGUY, évoque le potentiel d’action collective que recèle de "droit du travail", entendu comme processus d’avancée historique continue de la propriété collective (les travailleurs) contre la propriété lucrative (le capital), symbolisé notamment dans la protection sociale, et de la nécessité d’un syndicalisme réinventé et réactivé. Le salaire n'est pas le prix d'un travail (version de droite) , mais un barême imposé par la lutte, (version de gauche) c'est à dire un rapport de forces par lequel nous obligeons un propiétaire à payer aussi du travail libre à d'autres que nous (retraites, chômage, maladie...et bientôt jeunesse ?. L'enjeu des retraites n'est pas financier (il n'y a aucun problème de financement des retraites) mais idéologique. Tout ceci inspiré par F.Friot (voir plus bas)
http://www.scoplepave.org/conf_incul_5.php
« Depuis le début des années 80, la part des salaires dans le PIB de la France a baissé de 9,3%. Qui sont partis dans la poche du Capital. Ces 9,3% équivalent à plus de 150 milliards d’€ : soit une douzaine de fois le trou de la Sécu ! Un hold-up géant, renouvelé chaque année, au détriment des salariés.
Ce chiffre, 9,3 %, suffit à contester toutes les « réformes » en cours : allongement de la durée de cotisations pour les retraites, salaires qui stagnent depuis vingt ans, mise en place de la franchise médicale... Car toutes ces mesures ont un dénominateur commun : gratter encore quelques avantages aux salariés. Tandis que la question du partage des richesses n’est jamais posée...
Remerciements : Pierre Concialdi, Jacky Fayolle, Michel Husson, tous trois économistes à l’IRES. Et à Stébar. »
---> http://www.la-bas.org/article.php3?id_article=1353
---> http://www.fakirpresse.info/articles/339/hold-up-geant-le-film.html
---> http://leweb2zero.tv/video/patatras_494c2d0102eaf11
L'enjeu des retraites - Bernard FRIOT - Vannes le 11/6/2010
envoyé par fsl56-org. - L'actualité du moment en vidéo.
http://www.scoplepave.org/conf_incul_5.php
« Depuis le début des années 80, la part des salaires dans le PIB de la France a baissé de 9,3%. Qui sont partis dans la poche du Capital. Ces 9,3% équivalent à plus de 150 milliards d’€ : soit une douzaine de fois le trou de la Sécu ! Un hold-up géant, renouvelé chaque année, au détriment des salariés.
Ce chiffre, 9,3 %, suffit à contester toutes les « réformes » en cours : allongement de la durée de cotisations pour les retraites, salaires qui stagnent depuis vingt ans, mise en place de la franchise médicale... Car toutes ces mesures ont un dénominateur commun : gratter encore quelques avantages aux salariés. Tandis que la question du partage des richesses n’est jamais posée...
Remerciements : Pierre Concialdi, Jacky Fayolle, Michel Husson, tous trois économistes à l’IRES. Et à Stébar. »
---> http://www.la-bas.org/article.php3?id_article=1353
---> http://www.fakirpresse.info/articles/339/hold-up-geant-le-film.html
---> http://leweb2zero.tv/video/patatras_494c2d0102eaf11
Intéressant ce Bernard Friot , envie d’aller plus loin ? Alors le voici dans une conférence où il répond à des questions fondamentales pour offrir une alternative sérieuse à la réforme programmée :
- Et si le problème démographique était une illusion ?
- Et si les pensions de retraite n’étaient pas un “revenu différé” mais un “salaire continué” lié à la qualification ?
L'enjeu des retraites - Bernard FRIOT - Vannes le 11/6/2010
envoyé par fsl56-org. - L'actualité du moment en vidéo.
* L’Attaque sur le Pentagone
Extrait d'une émission sur radio Ici et Maintenant, évoquant de nombreux témoignages contredisant la version officielle...
L’Attaque sur le Pentagone_9/9/2010_R.I.M
envoyé par tchels0o. - Rencontrez plus de personnalités du web.
L’Attaque sur le Pentagone_9/9/2010_R.I.M
envoyé par tchels0o. - Rencontrez plus de personnalités du web.
mardi 7 septembre 2010
dimanche 5 septembre 2010
* EDF , ATTENTION ARNAQUE !
LES TARIFS D’ÉLECTRICITÉ VONT AUGMENTER POUR PERMETTRE LA CONCURRENCE !
À TERME, L’USAGER PEUT S’ATTENDRE À DES HAUSSES SUBSTANTIELLES DE SA FACTURE, COMME CELA S’EST DEJA PRODUIT POUR LE GAZ.
Nouveaux compteurs EDF obligatoires : 230 € par abonné !
http://www.leparisien.fr/economie/nouveaux-compteurs-edf-obligatoires-230-eur-par-abonne-08-06-2010-955222.php
Bruxelles impose à la France de s’équiper de nouveaux compteurs électriques. Mais leur coût pourrait passer de 4 à 8milliards pour équiper les 35 millions de foyers. Or, le système accuse déjà de sérieux ratés
Début juin 2010, les parlementaires auront entre les mains l’avenir du service public de l’électricité. En effet, débutera dans l’hémicycle de l’Assemblée nationale l’examen du projet de loi Nome, soit la Nouvelle Organisation du Marché de l’Electricité, concoctée par le gouvernement.
Le principe en est simple : constatant que la concurrence ne fonctionne pas - plus de 96 % des Français restent fidèles à l’opérateur historique (EDF) -, le gouvernement a décidé de la créer… artificiellement.
Si la loi passe, à partir du 1er janvier 2011, EDF aura obligation de revendre à ses concurrents jusqu’à 25 % de sa production d’électricité.
Un véritable hold-up ! Les fournisseurs d‘électricité vont se voir offrir un quart de la production, que les Français ont déjà payé avec leur facture, pour qu’ils puissent réaliser des profits, au seul bénéfice de leurs actionnaires.
C’est une première que d’obliger une entreprise, dans le monde de la "concurrence libre et non faussée", à céder une partie de ses atouts à des concurrents qui produisent peu ou pas du tout d’électricité.
http://www.poursavoir.fr
http://www.monde-diplomatique.fr/2004/06/ANTOINE/11276 (article de 2004 )
et d’autres exemples de privatisations :
http://www.sudptt44.org/e107_files/public/1217412610_1_FT0_page3.pdf
http://www.europe-solidaire.org/spip.php?article7886
http://www.partagedeseaux.info/article300.html
Une fois livré à la concurrence et surtout au " privé " ce sera trop tard. Le prix de l'électricité sera fixé par des groupes privés qui en fait seront des filiales d'un seul et unique groupe !
Vous n'y croyez pas ?
Alors remettez vous dans le contexte de nos chères autoroutes Françaises que nos parents et grands parents ont payées avec leurs impôts et qui ont été vendues et bradés à de grands groupes privés...
Cela profite à qui ? Et le prix à payer pour y circuler ? N'est-ce pas scandaleux ?
Mais c'est trop tard, car ce réseau routier n'appartient plus en totalité à l'état ! Et pour le reste ce sera pareil ! Aujourd'hui le service public coûte cher, mais ce n'est rien face à ce qui nous attend si nous le bradons à des groupes privés !
Comme quoi le "libéralisme" a plus d'un tour dans son sac !
source http://novusordoseclorum.discutforum.com/edf-attention-arnaque-n5192.htm
Ces fameux compteurs qui devraient être installés bientôt et qui devraient nous être facturés au prix très très fort : vers les 300 €, et qui, de surcroît, ne seraient pas fiables : il ne faudra rien signer. On ne peut pas refuser à EDF d’accéder aux compteurs, et de les changer : par contre comme nous n’avons rien demandé, nous n’avons aucune obligation de signer quelque document que ce soit, et, du moment que nous n’aurons rien signé, EDF ne pourra pas nous obliger à payer ces compteurs… attention aux signatures : aucune, même pour la réception de travaux, etc.
À TERME, L’USAGER PEUT S’ATTENDRE À DES HAUSSES SUBSTANTIELLES DE SA FACTURE, COMME CELA S’EST DEJA PRODUIT POUR LE GAZ.
Nouveaux compteurs EDF obligatoires : 230 € par abonné !
http://www.leparisien.fr/economie/nouveaux-compteurs-edf-obligatoires-230-eur-par-abonne-08-06-2010-955222.php
Bruxelles impose à la France de s’équiper de nouveaux compteurs électriques. Mais leur coût pourrait passer de 4 à 8milliards pour équiper les 35 millions de foyers. Or, le système accuse déjà de sérieux ratés
Début juin 2010, les parlementaires auront entre les mains l’avenir du service public de l’électricité. En effet, débutera dans l’hémicycle de l’Assemblée nationale l’examen du projet de loi Nome, soit la Nouvelle Organisation du Marché de l’Electricité, concoctée par le gouvernement.
Le principe en est simple : constatant que la concurrence ne fonctionne pas - plus de 96 % des Français restent fidèles à l’opérateur historique (EDF) -, le gouvernement a décidé de la créer… artificiellement.
Si la loi passe, à partir du 1er janvier 2011, EDF aura obligation de revendre à ses concurrents jusqu’à 25 % de sa production d’électricité.
Un véritable hold-up ! Les fournisseurs d‘électricité vont se voir offrir un quart de la production, que les Français ont déjà payé avec leur facture, pour qu’ils puissent réaliser des profits, au seul bénéfice de leurs actionnaires.
C’est une première que d’obliger une entreprise, dans le monde de la "concurrence libre et non faussée", à céder une partie de ses atouts à des concurrents qui produisent peu ou pas du tout d’électricité.
http://www.poursavoir.fr
http://www.monde-diplomatique.fr/2004/06/ANTOINE/11276 (article de 2004 )
et d’autres exemples de privatisations :
http://www.sudptt44.org/e107_files/public/1217412610_1_FT0_page3.pdf
http://www.europe-solidaire.org/spip.php?article7886
http://www.partagedeseaux.info/article300.html
Une fois livré à la concurrence et surtout au " privé " ce sera trop tard. Le prix de l'électricité sera fixé par des groupes privés qui en fait seront des filiales d'un seul et unique groupe !
Vous n'y croyez pas ?
Alors remettez vous dans le contexte de nos chères autoroutes Françaises que nos parents et grands parents ont payées avec leurs impôts et qui ont été vendues et bradés à de grands groupes privés...
Cela profite à qui ? Et le prix à payer pour y circuler ? N'est-ce pas scandaleux ?
Mais c'est trop tard, car ce réseau routier n'appartient plus en totalité à l'état ! Et pour le reste ce sera pareil ! Aujourd'hui le service public coûte cher, mais ce n'est rien face à ce qui nous attend si nous le bradons à des groupes privés !
Comme quoi le "libéralisme" a plus d'un tour dans son sac !
source http://novusordoseclorum.discutforum.com/edf-attention-arnaque-n5192.htm
Ces fameux compteurs qui devraient être installés bientôt et qui devraient nous être facturés au prix très très fort : vers les 300 €, et qui, de surcroît, ne seraient pas fiables : il ne faudra rien signer. On ne peut pas refuser à EDF d’accéder aux compteurs, et de les changer : par contre comme nous n’avons rien demandé, nous n’avons aucune obligation de signer quelque document que ce soit, et, du moment que nous n’aurons rien signé, EDF ne pourra pas nous obliger à payer ces compteurs… attention aux signatures : aucune, même pour la réception de travaux, etc.
* Le plan de l'oligarchie
Voilà! on commence à préparer psychologiquement la masse à voter DSK...
Mais qui est-il?
Voter ou Prendre les " armes " avec la Rage du juste ??
envoyé par Darwin_Kayser. - Regardez les dernières vidéos d'actu.
Mais qui est-il?
Voter ou Prendre les " armes " avec la Rage du juste ??
envoyé par Darwin_Kayser. - Regardez les dernières vidéos d'actu.
vendredi 3 septembre 2010
* Analyse de l'Effondrement du WTC par un professeur de Physique : David Chandler
Dans cette vidéo, le professeur de Physique David Chandler analyse les images de l’effondrement de la Tour Nord du WTC, en s’intéressant tout particulièrement aux nombreuses éjections « explosives » de matériaux produites lors de l’effondrement.
L’observation est le point de départ de la science. Or, les rapports officiels - qui concluent à un effondrement en pile d’assiettes suite aux dommages occasionnés par l’impact des avions et des incendies - ignorent tout de ces éjections « explosives » de matériaux que l’on peut pourtant facilement observer sur les images filmées de l’effondrement du WTC.
Les images montrent également des poutrelles pesant jusqu'à 20 tonnes projetées horizontalement sur plus de 200 mètres, et ce, à des vitesses atteignant parfois les 110km/h. Ce phénomène fut également ignoré par les rapports officiels.
David Chandler : « Tout ce qui s’est produit pendant l’effondrement même - les preuves ou indices que nous avons pu voir ici – a été très clairement écarté de l’enquête [officielle du NIST]. Tout modèle d’analyse de l’effondrement […] est un mauvais modèle et de la mauvaise science s’il ne prend pas en compte tous les éléments disponibles pour expliquer les observations réelles. »
L’hypothèse d'une destruction volontaire est étayée par plusieurs études scientifiques qui concluent à la présence d’explosifs dans les décombres du WTC, dont une étude internationale écrite par 9 chercheurs et publiée en 2009 dans la revue scientifique à comité de lecture "Open Chemical Physics Journal". Regardez absolument l'interview édifiante du scientifique Niels Harrit, co-auteur de cette étude, par la chaîne danoise TV2 le 6 avril 2009.
Analyse de l'Effondrement du WTC (11 septembre 2001)
envoyé par ReOpen911. - Vidéos des dernières découvertes scientifiques.
L’observation est le point de départ de la science. Or, les rapports officiels - qui concluent à un effondrement en pile d’assiettes suite aux dommages occasionnés par l’impact des avions et des incendies - ignorent tout de ces éjections « explosives » de matériaux que l’on peut pourtant facilement observer sur les images filmées de l’effondrement du WTC.
Les images montrent également des poutrelles pesant jusqu'à 20 tonnes projetées horizontalement sur plus de 200 mètres, et ce, à des vitesses atteignant parfois les 110km/h. Ce phénomène fut également ignoré par les rapports officiels.
David Chandler : « Tout ce qui s’est produit pendant l’effondrement même - les preuves ou indices que nous avons pu voir ici – a été très clairement écarté de l’enquête [officielle du NIST]. Tout modèle d’analyse de l’effondrement […] est un mauvais modèle et de la mauvaise science s’il ne prend pas en compte tous les éléments disponibles pour expliquer les observations réelles. »
L’hypothèse d'une destruction volontaire est étayée par plusieurs études scientifiques qui concluent à la présence d’explosifs dans les décombres du WTC, dont une étude internationale écrite par 9 chercheurs et publiée en 2009 dans la revue scientifique à comité de lecture "Open Chemical Physics Journal". Regardez absolument l'interview édifiante du scientifique Niels Harrit, co-auteur de cette étude, par la chaîne danoise TV2 le 6 avril 2009.
Analyse de l'Effondrement du WTC (11 septembre 2001)
envoyé par ReOpen911. - Vidéos des dernières découvertes scientifiques.
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