jeudi 28 octobre 2010

* SOS Education: La désinformation par l'Education Nationale

Conférence de Vincent Laarman (SOS Education), Catherine Rouvier, Christine Champion et du Professeur Serge Schweitzer sur la désinformation par l'Education Nationale, donnée à la 2ème Fête de la Liberté, le 16 septembre 2007 à Paris.


SOS Education: La désinformation par l'Education Nationale 1



SOS Education: La désinformation par l'Education Nationale 2



SOS Education: La désinformation par l'Education Nationale 3


SOS Education: La désinformation par l'Education Nationale 4



SOS Education: La désinformation par l'Education Nationale 5



Votre enfant sera-t-il une "racaille" ?
http://www.multiupload.com/583ZLEISVH

C'est sous ce titre volontairement provocateur que l'association SOS EDUCATION (80 000 adhérents) envoie une plaquette pour dénoncer les énormités de l'Education Nationale. On y lit des choses étonnantes.
"Alma D...songea à son père.
Pourquoi était-il allé fourrer sa queue dans la chatte de sa mère ? Pourquoi avoir craché sa sauce dedans ? Pourquoi sa mère avait-elle ouvert les jambes ? Pour l'avoir, elle ? mettre au monde une crève-la-faim ?"

Cet extrait du livre Le pied de mon père est tiré d'un roman écrit par la romancière cubaine Zoé Valdès et étudié en classe de seconde du lycée Simone Weil de Saint-Etienne, il a été sélectionné par le lycée Balzac de Tours dans l'opération "5 bonnes raisons de lire" et se trouve, à ce titre, promu par le site Internet de l'Académie d'Orléans-Tours.

Des enfants de 7 à 10 ans de l'école de Hambye (Manche) sont obligés de chanter en choeur la chanson Ma boulette de la rapeuse Diam's. Le titre fait référence aux boulettes de marijuana que les drogués font fondre avec un briquet pour confectionner des "joints" :
"Voilà de la boulette, Sortez les briquets il fait trop dark dans nos têtes".

L'incitation à la drogue ne cède le pas qu'à la politique vue par la rapeuse :
"Y'a comme un goût d'alcool dans les locaux de la police, Y'a comme un goût de démago dans la bouche de sarko, me demande pas ce qui les pousse à te casser les couilles, moi j'aime la rime et j'emmerde Marine..." avec ce refrain particulièrement éducatif : "Non, non, c'est pas l'école qui m'a dicté mes codes, non, non..."

Des parents se sont mobilisés pour faire cesser ce massacre. Aucune mesure, pas même un simple avertissement n'a été prise contre les institutrices responsables qui ont simplement demandé - et obtenu - d'être mutées dans une autre école. Leur nom n'ayant jamais été communiqué, elles appliquent aujourd'hui leurs néfastes méthodes envers d'autres enfants et les parents n'ont aucun moyen de le savoir.

A Nexon (Haute-Vienne), les enfants de CM2 sont obligés de chanter en classe la chanson de Boris Vian :
"Une bonne paire claques dans la gueule,
Et ça me consolerait ma chérie,
Des soirées où tu manoeuvrais le rouleau à pâtisserie !
Tiens ! Salope !

Pour l'éducation civique, on ne leur explique JAMAIS l'intérêt du travail, en revanche ils doivent apprendre la liste de toutes les allocations auxquelles "ils auront droit" très bientôt et comment se les procurer : allocation de parent isolé, RMI, RMA, CMU, Plan de Cohésion sociale, Sécu, Carte Vitale, HLM, Asedic etc...
Les chefs d'entreprises ne sont cités que dans le cas où un employeur licencie sa secrétaire par qu'elle est enceinte.

La revendication est enseignée méthodiquement. A Grasse (Alpes-Maritimes) des "éducateurs" organisent dans des écoles primaires des activités où l'on apprend à confectionner des banderoles, à scander des slogans en défilant dans la cour de récréation. Des petits de six ans sont incités à adhérer à un syndicat (fictif) de Revendications de l'enfant et à prendre leur carte de militant.

L'Education Nationale elle-même finance l'embrigadement des jeunes dans des organisations politisées et contrôlées en sous-main par les syndicats d'enseignants les plus radicaux en subventionnant les nouveaux "syndicats de lycéens" UNL, FIDL, SGL et Sud-Lycées.

Des gamins qui ont 14 à 16 ans se retrouvent impliqués dans les "négociations" avec les pouvoirs publics où ils parlent au nom de millions d'élèves dont les parents ne leur ont rien demandé.

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