mercredi 30 septembre 2009

* Les technocrates européens jouissent de véritables retraites de nababs


Même les parlementaires qui, pourtant, bénéficient de la /Rolls/ des régimes spéciaux, ne reçoivent pas le tiers de ce qu'ils touchent... C'est dire !

Giovanni Buttarelli, qui occupe le poste de "contrôleur adjoint de la protection des données", aura acquis après seulement 1 an et 11 mois de service (en novembre 2010), une retraite de 1 515€ / mois. L'équivalent de ce que touche, en moyenne, un salarié français du secteur privé après une carrière complète (40 ans).

Son collègue, Peter Hustinx, vient de voir son contrat de cinq ans renouvelé. Après 10 années, lui aura droit à près de 9 000€ de retraite / mois.
C'est simple, plus personne ne leur demande des comptes et ils ont bien décidé d'en profiter. C'est comme si, pour leur retraite, on leur avait fait un chèque en blanc.
En plus, beaucoup d'autres technocrates profitent d'un tel privilège :

1. Roger Grass, greffier à la Cour de justice européenne, va toucher 12 500€ de retraite par mois;
2. Pernilla Lindh, juge au Tribunal de première instance, 12 900€ / mois;
3. Damaso Ruiz-Jarabo Colomer, avocat général, 14 000€ / mois.
4. Etc...

Pour eux, c'est le jackpot. En poste depuis le milieu des années 1990, ils sont assurés de valider une carrière complète et, donc, d'obtenir le maximum : 70 % du dernier salaire.
Car, c'est à peine croyable... Non seulement leurs pensions crèvent les plafonds mais il leur suffit de 15 années et demie pour valider une carrière complète alors que pour vous, comme pour moi, il faut se tuer à la tâche pendant 40 ans et, bientôt, 41 ans

Face à la faillite de nos systèmes de retraite, les technocrates de Bruxelles recommandent l'allongement des carrières : 37,5 ans, 40 ans, 41 ans (en 2012), 42 ans (en 2020), etc... Mais, pour eux, pas de problème, le taux plein c'est 15,5 ans... De qui se moque-t-on ?
A l'origine, ces retraites de nababs étaient réservées aux membres de la Commission européenne puis, au fil des années, elles ont également été accordées à d'autres fonctionnaires. Maintenant, ils sont toute une armée à en profiter : juges, magistrats, greffiers, contrôleurs, médiateur, etc... (Consultez la liste
http://www.kdo-mailing.com/redirect.asp?numlien76&numnews56&numabonneb286>).

Mais le pire, dans cette affaire, c'est qu'ils ne cotisent même pas pour leur super retraite. Pas un centime d'euro, tout est à la charge du contribuable...
Nous, nous cotisons plein pot toute notre vie et, au moindre retard de paiement, c'est la déferlante : rappels URSSAF, amendes, pénalités de retard, etc... Aucune pitié. Eux, ils (se) sont carrément exonérés. On croit rêver !

Rendez-vous compte, même les magistrats de la Cour des comptes européenne qui, pourtant, sont censés "/contrôler si les dépenses de l'Union européenne sont légales, faites au moindre coût et pour l'objectif auxquelles elles sont destinées.../ ", profitent du système et ne paient pas de cotisations.
Et, que dire de tous ces technocrates qui ne manquent pas une occasion de jouer les "gendarmes de Bruxelles" et ne cessent de donner des leçons d'orthodoxie budgétaire alors qu'ils ont les deux mains, jusqu'aux coudes, dans le pot de confiture ?

A l'heure où l'avenir de nos retraites est gravement compromis par la violence de la crise économique et la brutalité du choc démographique, les fonctionnaires européens bénéficient, à nos frais, de pensions de 12 500 à 14 000€ / mois, après seulement 15 ans de carrière et sans même cotiser... C'est une pure provocation !

Mon objectif est d'alerter tous les citoyens des Etats membres de l'Union Européenne. Ensemble nous pouvons créer un véritable raz de marée.
Il est hors de question que les technocrates européens continuent à jouir, à nos frais et en toute impunité, de telles retraites. Nous allons leur remettre les pieds sur terre.

Sauvegarde Retraites a réalisé une étude précise et très documentée qui prouve par "A+B" l'ampleur du scandale. Elle a deja été reprise par les médias
http://www.lepoint.fr/actualites-economie/2009-05-19/revelations-les-retraites-en-or-des-hauts-fonctionnaires-europeens/916/0/344867>.
Je vais continuer à la diffuser massivement auprès de tous les relais des vingt-sept pays de l'Union Européenne.

Par avance, merci de votre participation.
Cordialement,

Marie-Laure Dufrêche
Déléguée Générale

* V pour Vendetta

Scène d'anthologie du film "V pour Vendetta" des frères Wachowski (réalisateurs de Matrix)

* Que doit faire Ahmadinejad pour recevoir le prix Nobel?

SERIE « COMPRENDRE LE MONDE MUSULMAN » : L’IRAN

INTERVIEW DE MOHAMED HASSAN

PAR MICHEL COLLON ET GREGOIRE LALIEU

La menace iranienne gronde-t-elle aux portes de l’Occident? Les élections étaient-elles truquées? Quels en étaient les véritables enjeux? Pourquoi les Etats-Unis ont-ils soutenu le mouvement d’opposition? Pour notre dossier “Comprendre le monde musulman”, Mohamed Hassan répond à ces questions. Le spécialiste éclaire les différentes forces qui s’affrontent en Iran, pourquoi Ahmadinejad fait si souvent la une des journaux et comment la république islamique pèsera sur l’avenir de l’empire US, affaibli.


Les médias nous disent que l’Iran est une grande menace. A preuve les déclarations d’Ahmadinejad sur Israël et son programme nucléaire. L’Iran est-il réellement un pays dangereux ?

Tout d’abord, vous devez savoir que ce fameux programme nucléaire a débuté à l’époque du régime précédent, celui du Chah. Avec le soutien des Etats-Unis ! De plus, une campagne est menée par les opposants d’Ahmadinejad à l’intérieur et à l’extérieur du pays, prétendant que l’Iran veut entrer en guerre avec Israël. C’est faux. L’Iran ne veut entrer en confrontation avec personne. Il veut juste affirmer sa souveraineté nationale. L’enjeu nucléaire doit être abordé sous cet angle. Pour le peuple iranien, c’est une question de droit à l’auto-détermination.



Mais Israël se dit menacé. Car Ahmadinejad nie l’Holocauste, non ?

Non. Il a reconnu que l’Holocauste était un événement terrible mais il a surtout souligné le fait que les personnes qui ont commis ce génocide n’en ont pas payé le prix alors que les Palestiniens l’ont fait. Durant la Première Guerre mondiale, l’Allemagne a attaqué ses voisins et en a payé le prix. Par exemple, la Belgique a été dédommagée par l’Allemagne.

Quelle est la vraie position d’Ahmadinejad ? Il dit que pour établir quelles sont les personnes responsables de l’Holocauste et les faire payer, nous devons étudier cet événement tragique et rendre ce débat public. Cet élément essentiel est caché par la campagne anti-Ahmadinejad : certaines personnes lui posent des questions et puis sortent ses réponses de leur contexte. De plus, la question de la responsabilité dans l’Holocauste est devenue un tabou. Toute cette propagande contre Ahmadinejad vise à déstabiliser l’Iran.

Pourquoi ?

Noam Chomsky a expliqué dans son livre The Fateful Triangle comment Israël, à l’époque du Chah, voulait construire une alliance avec l’Iran, la Turquie et l’Ethiopie pour briser le nationalisme arabe dans la région. Aujourd’hui, Israël voudrait que l’Iran soit dirigé par un gouvernement complaisant. L’objectif immédiat de la campagne contre Ahmadinejad, c’est de faire cesser les relations entre l’Iran d’un côté, et le Hezbollah et le Hamas de l’autre. Cela consoliderait la position d’Israël sur deux points. D’abord, les pays pro-occidentaux de la région en bons termes avec Israël (comme l’Egypte ou la Jordanie) seraient renforcés. Ensuite, en Palestine, la position d’Abbas serait confortée et les éléments qui veulent résister à Israël seraient affaiblis. Voilà les raisons de la campagne israélienne contre Ahmadinejad.

La question palestinienne et le programme nucléaire n’ont-ils pas servi de prétextes électoraux à Ahmadinejad pour rallier la population autour de sentiments nationalistes ?

C’est ce qu’ont aussi prétendu certains opposants d’Ahmadinejad durant la campagne. Bien sûr, le peuple iranien, qui a connu les privations avec le Chah, a de la solidarité pour les Palestiniens. Mais ça ne pouvait être un élément crucial pour déterminer le résultat des élections : ce n’est pas la Palestine qui va donner du travail et à manger aux Iraniens. En fait, la vision politique d’Ahmadinejad porte sur l’Etat : pour lui, il doit tout contrôler. C’est pour cela qu’il a été élu par les travailleurs, les paysans et les ouvriers des villes : ces personnes bénéficient de l’intervention de l’Etat et de sa politique économique. Par contre, les réformistes comme Moussavi (qui était soutenu par l’Occident) ne sont pas d’accord avec cette vision.


Brigade anti-prolifération
- Ça suffit Vanunu* ! Tu vois pas qu'on est occupé ?
- Ça ? Ce sont des saucisses kasher géantes

*Ingénieur israëlien qui a dénoncé l'existence d'armes nucléaires dans son pays, condamné à 18 ans de prison.

Quelle est leur position ?

Ces réformistes proviennent de ce qu’on appelle la « bourgeoisie du Bazar », une bourgeoisie qui existe depuis très longtemps dans les pays islamiques. Elle est composée des producteurs artisans associés à la paysannerie. A l’époque du Chah, la bourgeoisie du Bazar n’était pas si importante. Car le pays était dominé par la bourgeoisie compradore, qui utilisait l’appareil d’Etat et les finances du gouvernement pour commercer avec les pays impérialistes à travers l’import-export. Les compradores ne produisaient rien, ils ne faisaient que vendre des produits. C’est pourquoi l’économie iranienne était très dépendante des forces étrangères.

A cette époque, la bourgeoisie du Bazar n’était pas soutenue par les compradores, si bien qu’elle manquait de capitaux et de technologies. C’est pourquoi elle a soutenu Khomeiny durant la révolution islamique de 1979. Le système économique iranien fut ainsi transformé et avec le développement de la bourgeoisie du Bazar au détriment de celle des compradores, le pays passa d’un statut néocolonial à un modèle indépendant.

Les gens issus de la bourgeoisie du Bazar virent dans la révolution une opportunité d’utiliser le capital de l’Etat pour se faire beaucoup d’argent. Et aujourd’hui, certains d’entre eux sont milliardaires ! Les réformistes tels Moussavi, Rafsandjani ou Khatami proviennent de ce groupe. On les appelle « réformistes » non parce qu’ils ont des idées progressistes mais parce qu’ils veulent changer le système économique actuel, avec moins d’intervention de l’Etat et plus de privatisations. Cela permettrait à certains d’entre eux de devenir encore plus riches, l’Iran représentant un énorme marché. Tel était l’enjeu principal des dernières élections et comme je l’ai dit, la plupart des Iraniens, qui bénéficient de l’intervention de l’Etat, ont choisi Ahmadinejad au lieu du « réformiste » Moussavi.

Selon vous, ces élections n’ont pas été manipulées ?

Bien sûr que non. L’idée qu’elles ont été truquées vient de la propagande menée pour marginaliser Ahmadinejad et placer en Iran un gouvernement pro-occidental. Il suffit d’analyser certains éléments pour voir que cette idée de fraude n’est pas sérieuse. Tout d’abord, la Fondation Rockefeller a financé une ONG pour réaliser un sondage d’opinion deux semaines avant les élections : Ahmadinejad était donné vainqueur à trois contre un. Deuxièmement, nos médias n’ont jamais montré les débats qui ont été organisés durant la campagne en Iran : n’importe qui aurait pu voir qu’il s’agissait de débats très ouverts et aurait pu mieux comprendre pourquoi Ahmadinejad a été élu par les travailleurs. Troisièmement, nous pourrions demander: qui sont ceux qui prétendent qu’il y a eu une fraude en Iran ? Pourquoi les Etats-Unis ne s’intéressent-ils pas à la démocratie dans les Emirats ? Pourquoi n’y a-t-il pas de campagne contre l’Afghanistan où les élections ont été manifestement truquées ? Etc.

Pour répondre à ces questions, nous devons comprendre que selon les intérêts impérialistes, des certificats sont donnés pour définir où sont les bonnes élections et où sont les mauvaises. Enfin, le peuple iranien a vu ce que les forces impérialistes ont fait en Irak, en Afghanistan et au Pakistan. C’est aussi une des raisons pour lesquelles les Iraniens ont choisi Ahmadinejad, qui construit une alliance anti-impérialiste avec des pays comme la Chine ou la Russie. Par contre, les réformistes, dits plus « pragmatiques », sont en fait prêts à établir de bonnes relations avec les pays impérialistes pour commercer avec eux.

Hillary Clinton a récemment avoué que les Etats-Unis avaient encouragé le mouvement d’opposition iranien après les élections. Mais ce n’était pas la première fois que Washington intervenait dans la politique de l’Iran, n’est-ce pas ?

En 1953, en effet, la CIA a renversé le premier ministre iranien Mossadegh. Il avait été élu pour ses idées nationalistes et progressistes. En 1951, il nationalisa l’industrie pétrolière, ce qui provoqua la colère des intérêts anglo-saxons dans la région. Une opération orchestrée par la CIA le remplaça par Mohammad Reza Pahlavi, le Chah, qui défendra les intérêts impérialistes dans la région pour un long moment.

Pour les Etats-Unis, il était très important d’avoir un allié en Iran. Car le Golfe avait été longtemps dominé par l’Empire britannique. Mais après les années soixante, ce dernier déclina et les Britanniques n’eurent plus les moyens de financer leurs positions stratégiques dans cette région. Alors qu’ils quittaient le Golfe, les Etats-Unis craignirent que l’influence des Soviétiques et que le nationalisme arabe en profitent pour se renforcer. C’est pourquoi Washington utilisa le Chah pour jouer le gendarme dans la région et défendre ses intérêts. Le Chah profita de l’argent du pétrole pour construire une énorme puissance militaire et un service de renseignements solide et impitoyable : la Savak. A ce moment, deux forces s’affrontaient dans la région : les révolutionnaires, qui acquéraient de plus en plus de légitimité auprès des masses, comme le gouvernement de Nasser ou la révolution républicaine au Yémen; de l’autre côté, les pro-impérialistes comme le régime saoudien wahhabite, le gouvernement du Koweït ou la Jordanie. La dictature militaire établie par le Chah avec l’aide des Etats-Unis contribua sérieusement à la victoire des forces pro-impérialistes.

Quelle était la situation en Iran sous la dictature du Chah ?

Le peuple iranien souffrit beaucoup de ce régime. Comme je l’ai dit, le pays était dominé par la bourgeoisie compradore, menée par des royalistes féodaux et un régime militariste, dans un Etat semi-colonial sans la moindre vision de construire une industrie nationale. La bourgeoisie nationale pour sa part était très faible et la majorité de la population était composée par la paysannerie, la petite bourgeoisie et le petit prolétariat. Les différences sociales étaient énormes. Certains étaient encore plus riches que tout ce que vous pourriez voir à Beverly Hills; par contre, beaucoup d’Iraniens n’avaient jamais vu la couleur d’une chaussure. C’est pour cela que la grande majorité du peuple iranien soutint la révolution islamique de 1979 qui renversa le Chah. Les enjeux des diverses classes sociales, voilà en fait l’unique moyen de comprendre l’Iran avant et après la révolution.

Comment la révolution s’est-elle produite ? Comment l’Iran a-t-il été transformé ?

Bien sûr, à cause des énormes différences entre les classes sociales, des partis et des associations voulaient changer de régime. Le plus important de ces partis a longtemps été le parti communiste « Toudeh ». Le Chah les a vigoureusement combattus, mais sa plus grande erreur a probablement été de laisser se développer l'Organisation des Moudjahiddines du Peuple Iranien (OMPI). Celle-ci s’inspirait de la théologie de la libération (en Amérique latine), combinant une analyse marxiste des classes avec la pensée islamique. Le Chah pensait que si un groupe apportait une nouvelle théorie mélangeant Marx et l’Islam, l’influence de son principal ennemi, le communisme, déclinerait. Mais l’OMPI était en fait bien plus qu’un parti car ces gens avaient une véritable vision, comme les sandinistes au Nicaragua. Ils sont devenus populaires et très forts. Cependant, pour parvenir à renverser le Chah, il leur manquait un leader. C’est pourquoi ils voulurent se servir de Khomeiny (qui était alors exilé en France), car c’était un leader religieux charismatique et anti-impérialiste. Mais Khomeiny avait sa propre vision. Si bien que lorsque le Chah fut renversé, Khomeiny affirma aussitôt son idéologie et prit le pouvoir. Cela créa des tensions avec les Moudjahiddines du peuple. Les deux camps s’affrontèrent et finalement Khomeiny s’imposa parce qu’il bénéficiait du soutien de la bourgeoisie du Bazar.

Quelle était la vision de Khomeiny ?

Pour Khomeiny, c’est aux peuples du tiers monde, oppressés par l’impérialisme, que devait revenir le pouvoir. Il voulait créer un front uni des peuples et soutint par exemple les sandinistes du Nicaragua. De cette façon, l’Iran passa du statut d’Etat néocolonial à celui d’Etat indépendant. La première mesure du gouvernement fut de nationaliser le pétrole tout comme Mossadegh l’avait fait plus tôt. Khomeiny changea également le système politique dictatorial du Chah. Il déclara qu’il fallait un parlement et quelqu’un pour le contrôler sur base de la religion et de l’indépendance nationale : le Guide Suprême.

Etant donné que la candidature aux élections doit être approuvée par le Guide Suprême, le système politique iranien est-il vraiment démocratique ?

La définition de la démocratie est elle-même une grande question. Y a-t-il en Iran une démocratie de type occidental, une démocratie d’Etat bourgeois ? Bien sûr que non. Le Guide Suprême contrôle en effet le système politique iranien mais il serait naïf de croire que les élections des pays occidentaux sont un exemple d’une meilleure démocratie. Les élections par ici se font sur la base de forces qui se trouvent derrière les partis et que l’on ne voit pas directement. L’Iran pour sa part est une république islamique et tous les partis doivent donc se baser sur la religion. Les partis laïques y sont vus comme une invention de l’Occident qui pourrait diviser le peuple et menacer la souveraineté nationale du pays.

C’est précisément cette indépendance iranienne qui frustre les pays impérialistes. Ceux-ci n’ont en réalité aucun problème avec le fait que l’Iran soit un Etat islamique. L’Arabie Saoudite est un Etat islamique où il n’y a même pas d’élections, et les pays impérialistes n’ont aucun problème avec ça car l’Arabie Saoudite est un pays ami. Le vrai problème, c’est que l’Iran a une vision indépendante sur sa souveraineté nationale. Imaginons qu’Ahmadinejad abandonne sa vision d’indépendance nationale et adopte un système où les intérêts impérialistes seraient défendus comme en Arabie Saoudite : il recevrait certainement le Prix Nobel !

Il y a quelques jours, Zbigniew Brzezinski, le conseiller d’Obama, a déclaré que si Israël attaquait l’Iran, les Etats-Unis devraient intercepter ses bombardiers. N’est-ce pas surprenant ?

Brzezinski constate que les Etats-Unis ont été gravement affaiblis sur le plan économique et militaire pour deux raisons. Tout d’abord, les néoconservateurs, quand ils sont arrivés au pouvoir, ont utilisé le 11 septembre comme prétexte pour faire la guerre et ont transformé l’ensemble du monde musulman en ennemi. C’était totalement fou et contre-productif pour les Etats-Unis. De plus, l’invasion de l’Irak était une lourde erreur : elle n’a pas renforcé les Etats-Unis, mais les a plongés dans de sérieux problèmes.

Dans ce contexte, Brzezinski essaie de trouver des solutions tout en gardant à l’esprit que l’objectif le plus important pour son pays est de contenir le développement de son principal rival : la Chine. Une partie de la solution consiste à renforcer l’Otan, car cette institution peut apporter une réponse aux problèmes de l’Occident en général et des Etats-Unis en particulier. C’est d’ailleurs pour cette raison que Brezinski a approuvé la proposition de la Grande-Bretagne, de l’Allemagne et de la France de tenir une nouvelle conférence internationale sur l’Afghanistan : il est primordial que l’Otan ne connaisse pas une défaite afghane comme en ont connue les Soviétiques car l’Otan est la seule clé qui permettra aux Etats-Unis de jouer un nouveau rôle important dans le monde.

Une autre partie de la solution repose sur de nouveaux partenariats pour construire une alliance plus forte contre la Chine. Dans cette optique, Brzezinski considère que la politique à l’égard de l’Iran en particulier, mais aussi à l’égard des autres pays musulmans et même de la Russie, ne devrait pas être agressive. Elle devrait être basée sur le dialogue et ne pas se retrouver piégée par la propagande sioniste d’Israël.

Voilà qui explique le discours d’Obama au Caire. Les Etats-Unis doivent convaincre les musulmans, les hindous et la bourgeoisie russe qu’ils ont plus d’intérêt à s’allier avec les forces occidentales plutôt qu’avec la Chine. C’est pour cela que Brzezinski a dit que la colère des pays qui avaient été considérés comme des ennemis par l’administration Bush devait maintenant être prise en considération. Ces pays devraient maintenant avoir le droit d’utiliser leurs propres ressources. Les raisons de ce changement politique sont claires : les Etats-Unis doivent empêcher ces pays de construire un autre système mondial pour les garder dans un système dominé par Washington.

Est-ce le signe que les relations entre les Etats-Unis et Israël ne sont plus si bonnes ?

Tout d’abord, ce n’est pas Israël qui fait la politique aux Etats-Unis. C’est la bourgeoisie américaine qui décide. Mais c’est un fait : il existe une profonde division au sein de l’impérialisme US. Vous avez ce premier courant, arriéré, qui persiste à croire qu’ils peuvent continuer sur la voie militaire. Mais ce n’est pas réaliste : le pays va connaître un problème démographique et une confrontation militaire avec la Chine est perdue d’avance. L’autre tendance, où vous trouvez Brzezinski et Obama, sait par contre qu’il faut faire preuve de tactique et se montrer réaliste pour maintenir l’hégémonie US. Ils disent : « Nous devons connaître notre force et nos limites et travailler sur cela. Afin d’être certains que notre force ne soit pas perçue de manière négative mais positive. Notre force doit constituer une garantie pour nos partenaires. »

Les Etats-Unis ont évidemment des liens très forts avec Israël, mais l’enjeu euro-asiatique (le contrôle de l’Eurasie) est le plus important : c’est là que se décidera l’avenir de l’humanité. Brzezinski veut donc contrôler la marmite. Il sait que la température de cette marmite doit être décidée par des cuisiniers très malins, pas par des lunatiques. En effet, si la marmite déborde, ça va brûler tout le monde et les Américains seront boutés hors de la région. Voilà qui explique la déclaration de Brzezinski sur les bombardiers israéliens et le fait que pour la première fois, les Etats-Unis font des concessions et autorisent d’autres forces occidentales à venir dans le Golfe. C’est le cas par exemple de la France avec une base militaire dans les Emirats Arabes Unis. Mais cela témoigne aussi de la faiblesse dans laquelle se trouvent maintenant les Etats-Unis.

++++++++++++++++++++++++++++++++++++++

Quelques lectures sur l’Iran, recommandées par Mohamed Hassan :

- The Persian Puzzle, par K. Pollack (ancien conseiller de Clinton et analyste de la CIA), Brookings Institution, 2004

- Ervand Abrahamian, Iran Between Two Revolutions, Princeton Studies, 1982

- Ervand Abrahamian, The Iranian Mojahedin, Yale University Press, 1989

- Trita Parsi , Treacherous Alliance: The Secret Dealings of Israel, Iran and the United States, Yale University Press, 2007

- Noam Chomsky, Fateful Triangle: The United States, Israel, and the Palestinians, South End Press, 1983.

- Zbigniew Brzezinski, An agenda for Nato, Foreign Affairs, septembre –octobre 2009

- Michel Collon, Quelle sera, demain la politique internationale des USA ?

mardi 29 septembre 2009

* Tarik Ramadan et la société française

Superbes interventions de Tarik Ramadan, lors de l'émission de Ruquier, touchant de nombreux points sensibles de la société française contemporaine.

1ère partie


2ème partie


3ème partie

* 11 Septembre: Geluck doute et soutien Bigard et Kassovitz

Les langues se délient enfin...

* 29 Septembre 2009: Fête des archanges

Du 29 au 30 septembre 2009 : Voici un an, jour pour jour, Wall Street s'était effondré de -777,7 points, donnant le signal du début de l'Apocalypse financière. L'an passé, la nouvelle année juive était tombée aussi sur la fête des Archanges. L'année avait doublement mal commencée. Une série insensée d'événements plus incroyables les uns que les autres s'est déroulée depuis, et vous les avez tous vus sur ce site: des centaines de millions de gens ont perdu leur emploi, des millions de gens mis à la rue, 40 millions d'Américains mangent maintenant avec des tickets de rationnement et tout cela parce qu'une pseudo-élite de crétins cupides s'est accaparé le contrôle de votre argent. Songez que la Japan Air Lines, la MGM, Hertz, AMD, etc. risquent de couler d'ici quelques semaines ou mois s'ils ne sont pas « aidés ».

Pourtant, un an après, les requins de Wall Street trichent plus que jamais: ils ont modifié leurs règles comptables pour rendre leurs pertes moins importantes, ils ont maquillé tous leurs bilans, ils ont déversé, et continuent à le faire, des millions de milliards de billets Monopoly sur toutes les places financières de la planète, ils vous endettent encore plus, ils achètent leur propres actions en cercle pour faire croire que leur système tient toujours debout, ils mentent chaque jour en nous disant que la crise est finie, et ils continuent à se verser des millions de dollars en « bonus » avec votre argent pendant que vous, vous voyez votre M1 fondre comme neige au soleil.

En vérité, je vous l'écris, et retenez-le bien car nous sommes le 29 septembre, leur système va exploser en mille millions de morceaux, car ce qu'ils ont fait colle à la parabole du bon grain et de l'ivraie:

Avant, il n'y avait que des bons crédits.
Puis les vampires sont venus et ont mélangé aux bons prêts de très mauvais prêts sans que personne ne le sache.
Tant que le temps des moissons n'était pas venu, tout allait bien.
De plus, personne ne pouvait même imaginer que des mauvais prêts avaient été répandus dans les champs...
Vint alors le temps des Moissons et le monde entier découvrit que les mauvaises graines ont mélangées aux bonnes, et qu'il est impossible de couper l'une sans couper l'autre
Alors, une décision a été prise: il n'y aura pas de tri
Tout sera coupé et jeté au feu par les moissonneurs


Et les moissonneurs, ne l'oubliez pas, ce sont justement les Anges. C'est pour cela qu'un Ange jette sa faucille... Pour ceux qui ne l'ont pas encore lu, avec le 777, la chute du Vatican et de Wall Street selon saint Jean, on comprend tout de suite pourquoi Jean a utilisé le 666 et pas le 333 ou le 12. Et nul besoin de connaître le grec ou la numérologie de la belle-mère de Néron. Mes amitiés à votre Ange gardien, et bonne fête à tous les Gabriel(le), Michel(le), Uriel(le) et Raphaël(le). Revue de Presse par Pierre Jovanovic © www.jovanovic.com 2008-2009

lundi 28 septembre 2009

* Dernier communiqué du président d' "Artémésia College"

Bonsoir,

Notre site d’Artémisia Collège est, depuis 17 h (environ), définitivement détruit.

Mais nos adresses e-mails sur l’URL «artemisia-college.org» ne peuvent plus rien recevoir pour le moment (devrait redevenir normal, mail délai inconnu).

Donc, si vous avez envoyé ce vendredi 25, à l’une de ces adresses, vous pouvez le refaire sur celle de ce mailing.

En sachant néanmoins que même les adresses sous «orange.fr», vos mails sont parfois classés «spam» de façon anormale, et donc susceptibles d’être perdus.

NB: Nous avons aussi une URL du nom de notre président d’AC, et qui est également provisoirement HS.

Que s’est-il passé?

Suite à des intimidations (on va dire ça comme ça), venant du DCRI, nous avions décidé de renoncer à fermer le site le 20/09/2009, comme prévu, cette date n’étant pas choisie au hasard, mais correspondant au début de la phase active d’application du plan scélérat «pandémie-vaccination».

A partir de là, nous savions que notre provocation ne pouvait qu’entraîner une réaction rapide.

Nos informations confidentielles confirmant cette analyse.

Mais, pour être franc, nous sommes tout de même étonnés de voir nos analyses et infos être aussi justes et précises.

En espérant que nous nous trompons pour la suite des événements (il n'en tient qu'aux citoyens)...

L’attaque a commencée mercredi 23 vers 23 h.

Tout a pu être réparé le jeudi 24 au matin, mais nouvelle attaque vers 16 h.

Réparation immédiate, mais depuis ce matin (vendredi 25), le service d’email de tout notre hébergeur a été mis hors service «depuis notre site».

Cette situation intenable, a obligé notre hébergeur à le sacrifier. Comme il est impensable de le reconstituer (les sauvegardes sont ce que le visiteur voit, mais ce n’est pas la version technique, qui elle est détruite entièrement), ce qui serait un travail énorme, alors même que nous ne le souhaitons pas, il ne reste plus que les captures que nous vous avons conseillé de faire…

Entre la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI), avec qui nous sommes toujours en «relation», la CIA et un service annexe du Mossad, l’identification des attaquants n’est pas certaine.

En fait, nous pencherions pour un nouveau service de l’armée, qui est spécialement chargé, dans le cadre du «plan», de détruire les sites qui informent vraiment…

Nos amis du Réseau Voltaire ont souvent connu cela, outre des sabotages «classiques », leur site a été détruit entièrement, et a demandé des semaines (des mois?) pour être reconstruit et installé hors zone OTAN.

Nous n’en avons ni les moyens, ni la volonté, d’autant plus que nous, nous sommes encore en zone OTAN, contrairement au journaliste Thierry Meyssan, créateur du Réseau Voltaire, qui dû fuir la France pour sauver sa vie.

Merci à ceux qui ont proposés de nous héberger, mais vous comprendrez que ce n’est pas notre seule préoccupation. Pas de panique, on s’adaptera.

De toute façon, nous voulions le fermer par précaution… Et à présent, la personne qui n’est pas informée sur le coup monté de cette fausse pandémie, à partir d’un virus artificiel, et sur ce vaccin-poison, c’est qu’elle est sur la Lune…

Elle n’a plus aucune excuse, et doit comprendre que par les temps qui courent, il n’y a pas de droit à la connerie, mais un devoir d’intelligence.

Bon, en quelque sorte, c’est la médaille du travail bien fait, faut le voir comme ça…

Le 20/09/2009, c’était vraiment bien vu! Tout s’accélère depuis, nous nous étonnons nous-mêmes…

C’est vrai que nos informateurs ne sont pas n’importe qui… Une autre explication, peut-être…

Allez, et prenez soin de vous…

JP, pour AC


PS: Il faut savoir que de multiples témoignages nous indiquent qu'il est de plus en plus difficile de tranférer les mails d'informations.

Aux USA, même le téléphone fixe pose des problèmes, et il faut s'attendre à en avoir sur les portables, notamment sur les SMS.

Y compris en recevant des faux SMS (technique maîtrisée et employée par la CIA, notamment pour faire circuler de fausses infos en Iran, comme déjà indiqé).

PS2: Nous voulions préciser que nous étions en parfaite santé, sans tendance suicidaire et que nous étions d’une extrême prudence sur la route.

Mais à quoi bon dire ça, puisque aucun média ne s’intéresserait à notre sort, et que le peu de justice que nous avions est repris en main (de fer)…

Rappel des dernières infos dérangeantes:

«Voici l'histoire de ce biologiste israëlien qui aurait voulu avertir de la supercherie du vaccin, et arrêté par le FBI (extrait):

Professeur Moshé avait demandé dans une émission de radio en direct par le Dr A. True Ott, diffusée sur la République de radiodiffusion qui prétend être un microbiologiste qui voulaient apporter la preuve à un procureur des États concernant les vaccins H1N1 de la grippe porcine entachée étant produit par Baxter BioPharma Solutions. Il a dit que le but du laboratoire Baxter ukrainien était en fait produire une arme biologique, déguisée en un vaccin.

Il a affirmé que «le vaccin contient un additif (adjuvant) destiné à affaiblir le système immunitaire».

«Alors, s’il y a une seule chose à retenir, comprenez au plus vite que ceux qui vous poussent à vous faire vacciner sont d’authentiques salopards*, comme ceux qui vous disaient que le nuage de Tchernobyl n’était pas au-dessus de la France, ceux encore qui écoulaient délibérément des stocks de sang contaminé alors qu’ils vous disaient qu’il n’y avait pas de risques, idem pour l’hormone de croissance, etc., etc., etc.».

*Salopard ne doit pas être pris comme une injure, dans la mesure où c’est le mot utilisé à l’égard du médecin urgentiste Patrick Pelloux, par le ministre de la Santé elle-même… (Rappelons que c’est lui qui a attiré l’attention des autorités sur l’hécatombe de la canicule de 2003…).

Appel à ne pas collaborer à cette folie!

Policiers, gendarmes, militaires, souvenez-vous que le tribunal de Nuremberg a dit que nul n’était tenu d'obéir à un ordre inhumain.

Or, inoculer de gré ou de force à des hommes, des enfants, des femmes enceintes, un produit ("vaccin"), contenant des poisons, des virus, aptes à répandre une épidémie, à faire baisser les défenses naturelles, à générer des maladies invalidantes, chercher à rendre malades des milliards de gens sur Terre... voire à les tuer au point de parler de créer des fosses communes en France... c'est quoi, à votre avis?

Mais il n'y a pas que vous à qui cet appel solennel s'adresse, tout le monde est visé par le Code de Nuremberg: chercheurs, élus, juges, journalistes, médecins, infirmières, enseignants...

N'obéissez pas aux ordres allant dans le sens de ce plan monstrueux, que même les assureurs ne couvrent pas!

Informez-vous, pensez à votre conscience, à tous les niveaux, du plus haut au plus bas, ne collaborez pas avec les instigateurs!

* "Bidoche" de Fabrice Nicolino

Un nouveau livre de Fabrice Nicolino sur l'industrie de la viande
Fabrice Nicolino publie le 7 octobre prochain un livre passionnant et très préoccupant sur l’industrie de la viande.
Ce livre est rempli de très nombreuses révélations sur un univers que personne ne souhaite voir de près. Le rôle des lobbies et de l'état dans l'avènement de cette industrie sont examinés à la loupe. Les conséquences de la production industrielle de quantités de viande de plus en plus énormes sont également exposées : déforestation, gaz à effet de serre, conséquences sanitaires dramatiques.... A lire absolument pour tout savoir sur cet aspect de l'agro-industrie et aussi pour savoir pourquoi nous devons absolument modifier nos comportements individuels et nos politiques agricoles !!

Lire le blog de Fabrice Nicolino sur ce sujet, avec en exclusivité l'introduction du livre...pour vous mettre en appétit ! :

http://fabrice-nicolino.com/index.php/?p=656

Bidoche de Fabrice Nicolino - Editeur : Editions LLL, les liens qui libèrent - Date de parution : 7 octobre 2009

« Tant que l’homme continuera à être le destructeur impitoyable des êtres animés des plans inférieurs, il ne connaîtra ni la santé, ni la paix. Car celui qui sème le meurtre et la douleur ne peut, en effet, récolter la joie et l’amour !L’habitude de la tuerie et par là même la nourriture carnée est incompatible avec les espoirs de bonheur universel… »
Pythagore, il y a environs 2500 ans…

Abattage rituel des bovins - Charal Metz

Âmes sensibles s'abstenir (s'abstenir de manger de la viande s'est encore + courageux!)

dimanche 27 septembre 2009

* 11 Septembre: Bigard s'explique dans Revu et Corrigé

Dans l'émission de Paul Amar, Revu et corrigé, sur France 5, Jean-Marie Bigard s'explique sur ses interrogations concernant la version officielle des attentas du 11 Septembre 2001 donnée par l'administration Bush/Cheney et apporte son soutient à Mathieu Kassovitz, qui vient de porter plainte contre le JDD et l'Express pour diffamation publique.

samedi 26 septembre 2009

* "...Nous craignons que le remède risque d’être pire que le mal..."

Alors que nous sommes à l'aube d'une vaccination
obligatoire, voici un lien qui n'est autre que
celui du site du Syndicat National du Personnel Infirmier.

A lire attentivement, et à relayer auprès de vos amis, car
les médias n'en feront pas état, afin de ne pas nuire aux
lobbies des laboratoires.

http://www.syndicat-infirmier.com/Vaccination-H1N1-mefiance-des.html

* Solutions, si vous devez être vaccinés de force …

Voici "peut-être" un moyen de contrecarrer, au moins dans une certaine mesure, la vaccination :

Que faire pour neutraliser un vaccin ?
grippe h1n1
vaccinationEn cas d’impossibilité totale d’échapper à un vaccin (vaccination de force par violence physique et/ou morale, chantage professionnel, refus d’entrée dans un centre de formation, si non "vacciné", etc.),
vaccinationse munir d’un tube d’argile en pâte (vendu en diététique), d’une bande de gaze et de sparadrap.
grippe h1n1
Gagner les toilettes aussitôt après l’injection et étaler abondamment l’argile à l’emplacement du vaccin avant de fixer le pansement.
grippe h1n1
Garder au moins deux heures. Le vaccin sera absorbé presque en totalité par l’argile.
grippe h1n1
Toutes les opérations de ce genre qui ont été effectuées sur des bébés ou des chiens et des chats se sont avérées efficaces à près de 100 % sans apparition des manifestations courantes (température, abattement…).
grippe h1n1
Complèter la neutralisation avec l’homéopathie
grippe h1n1
Thuya occidentalis 15 ch et
Silicéa 15 ch et
Medorrhinum 15 ch
5 granules de chaque à prendre avant et après l’injection. A renouveler une fois par semaine pendant huit semaines.
grippe h1n1
Penser enfin à l’isothérapie
grippe h1n1
L’isothérapie est réalisée en pharmacie homéopathique à partir du flacon qui a servi pour l’injection (demandez à le conserver en… souvenir !). Demander au pharmacien de faire des dilutions de 3, 5, 7, 9, 12, 15, 30 CH et prendre 10 granules de chaque (laisser fondre sous la langue) (ou une dosette), en progression chaque semaine loin du café et de la menthe. Donc décontamination du vaccin en 7 semaines.
grippe h1n1
Note : L’isothérapie consiste à l’élaboration par l’organisme sous l’influence d’une maladie, de substances permettant de combattre cette même maladie. L’isothérapie doit être considérée comme une technique de désensibilisation du malade par rapport à sa maladie.

* Cuba : Ce que les médias ne vous diront jamais


A l'occasion de la sortie de son cinquième ouvrage, voici une interview exclusive de Salim Lamrani pour Cuba Sí France suivie d'un chapitre du livre intitulé: "Les mercenaires de la Maison-Blanche".


Cuba Sí : Vous venez de publier un nouveau livre. Pouvez-vous nous en dire plus ?

Salim Lamrani : Ce livre traite de la désinformation médiatique en Occident au sujet de Cuba et illustre le gouffre énorme qui existe entre la représentation faite de Cuba par notre presse et la réalité de ce pays. Cet ouvrage permet également de questionner le rôle des médias : sont-ils chargés de fournir une information fiable et objective aux citoyens ou bien s’évertuent-ils à défendre l’ordre politique, économique et social établi ?

Cuba Sí : Quels en sont les principales problématiques ?

Salim Lamrani : Il en a plusieurs mais j’évoque surtout celles que les médias occidentaux traitent en général, à savoir la question des droits de l’homme, l’opposition cubaine, l’émigration, et le futur de Cuba.

Cuba Sí : Votre ouvrage comporte un prologue de Nelson Mandela.

Salim Lamrani : Nelson Mandela est un personnage extraordinaire qui est une source d’inspiration pour tous ceux qui luttent contre l’injustice et en faveur d’un monde meilleur. Il m’a fait l’immense honneur de lier sa plume à mon livre et j’ai à son égard une dette de gratitude infinie.


Extrait du chapitre 4: "les mercenaires de la Maison Blanche"


La dissidence cubaine jouit d’une couverture médiatique exceptionnelle en Occident, largement disproportionnée par rapport à sa taille et son influence. Aucune opposition latino-américaine n’est autant choyée par les transnationales de l’information. D’après la presse, elle serait sauvagement réprimée par les autorités cubaines et ne disposerait d’aucun espace d’expression. Pourtant, il ne se passe pas une semaine sans que les médias occidentaux ne publient des interviews de ces fameux opposants censés être muselés par le « régime castriste ». Sont-ils représentatifs de la société cubaine ? Sont-ils indépendants de toute influence étrangère ?


1. Les « opposants »


L’opposition cubaine dispose d’un statut particulier. D’une part, elle est extrêmement prisée par la presse occidentale. En effet, aucun groupe d’opposants en Amérique latine, hormis peut-être l’opposition vénézuélienne, ne bénéficie d’une telle aura médiatique. D’autre part, elle reçoit des financements colossaux de la part des Etats-Unis, dont les médias ne disent mot, et jouit d’une liberté d’agir qui scandaliserait les procureurs du monde entier.

Le 21 juin 2007, la Chambre des Représentants étasunienne a décidé de voter le budget de 45,7 millions de dollars pour l’année 2007-2008, présenté par le président Bush, à destination des dissidents cubains. Ainsi, 254 congressistes, dont 66 démocrates, ont approuvé la stratégie de la Maison-Blanche destinée à renverser le gouvernement cubain. Le législateur de Floride, Lincoln Díaz-Balart, descendant direct de l’ancien dictateur Fulgencio Batista, s’est réjoui de cette aide. « Cette victoire constitue un soutien pour l’opposition politique interne » cubaine, a-t-il souligné. « L’aide aux opposants n’est pas symbolique mais concrète », a-t-il ajouté. Il a également rendue publique une lettre de certains éminents dissidents cubains qui affirment que l’aide étasunienne « est un élément vital pour la survie des militants (1) ».

Pour l’année 2007-2008, la Chambre a également alloué une somme de 33,5 millions de dollars (6 millions de plus qu’en 2006) à Radio et TV Martí. Ces deux médias étasuniens diffusent illégalement des émissions subversives en direction de Cuba dans le but d’inciter la population à renverser l’ordre établi (2).

Ce même jour, le 21 juin 2007, le chef de la diplomatie étasunienne à La Havane, Michael Parmly, a reçu en grande pompe les célébrissimes dissidents René Gómez Manzano, Félix Bonne, Martha Beatriz Roque et Vladimiro Roca dans sa somptueuse résidence personnelle. Ces derniers étaient venus remercier leur précieux mécène pour sa générosité (3) .

Les médias occidentaux, pourtant si prolixes à l’égard de Cuba, sont restés étrangement silencieux sur ces deux évènements. Les raisons en sont relativement simples. Les personnages qu’ils s’évertuent à présenter depuis des années comme de valeureux militants à la recherche de la démocratie ne sont en réalité que de vulgaires mercenaires qui se vendent au plus offrant. Le mot mercenaire n’est pas un terme hors de propos ou exagéré. Selon le Littré, il s’agit de tout individu « qui travaille pour de l’argent, à qui l'on fait faire tout ce qu'on veut pour de l'argent (4)». Manzano, Bonne, Roque et Roca entrent pleinement dans cette définition.

Pourtant, il n’y a rien de nouveau à tout cela. Depuis des décennies, les Etats-Unis tentent par tous les moyens de fabriquer et de diriger une opposition interne à Cuba, afin de mettre un terme au processus révolutionnaire cubain. Les archives étasuniennes sont éloquentes à cet égard. Par ailleurs, de nombreux documents étasuniens, officiels et publics, attestent de cette réalité qu’aucun journaliste ou analyste politique digne de ce nom ne peut ignorer. La loi Torricelli de 1992, et plus particulièrement l’article 1705, stipule que « les Etats-Unis fourniront une assistance, à des organisations non gouvernementales appropriées, pour soutenir des individus et des organisations qui promeuvent un changement démocratique non violent à Cuba (5) ». La loi Helms-Burton de 1996 prévoit, à l’article 109, que « le Président [des Etats-Unis] est autorisé à fournir une assistance et offrir tout type de soutien à des individus et des organisations non gouvernementales indépendantes pour soutenir des efforts en vue de construire la démocratie à Cuba (6) ».

Le premier rapport de la Commission d’assistance à une Cuba libre, adopté le 6 mai 2004, envisage la mise en place d’un « solide programme de soutien favorisant la société civile cubaine ». Parmi les mesures préconisées, un financement à hauteur de 36 millions de dollars est destiné au « soutien de l’opposition démocratique et au renforcement de la société civile émergeante (7) ». Le second rapport de la même Commission, rendu public le 10 juillet 2006, prévoit également un budget de 31 millions de dollars pour financer davantage l’opposition interne (8).

En 2003, la justice cubaine avait condamné 75 personnes stipendiées par les Etats-Unis, suscitant une réprobation médiatique internationale. Dans n’importe quel autre pays du monde, des individus tels que Manzano, Bonne, Roque et Roque se trouveraient actuellement derrière les barreaux (9). Ricardo Alarcón, président de l’Assemblée nationale cubaine a averti les membres de la « dissidence » du fait que ceux qui conspireraient avec Washington et accepteraient ses émoluments devront en « payer les conséquences (10)».

« Tant que cette politique existera, il y aura des personnes qui se trouveront impliquées […]. Elles conspireront avec les Nord-américains [et] accepteront l’argent. Cela est un délit selon les lois cubaines. Je ne connais aucun pays qui ne classe pas une telle activité comme un délit », a souligné Alarcón. « Imaginez que quelqu’un aux Etats-Unis soit soutenu, entraîné, équipé et conseillé par un gouvernement étranger. Cela est un délit en soi. C’est un délit très grave aux Etats-Unis et cela peut coûter de nombreuses années en prison, beaucoup plus que ce que l’on peut risquer ici à Cuba », a-t-il conclu (11).

Il en est de même en France comme le stipule l’article 411-4 du code pénal et une affaire survenue en 2004 illustre éloquemment cette réalité. Le 28 décembre 2004, les autorités françaises ont procédé à l’arrestation de Philippe Brett et Philippe Evanno, deux collaborateurs de M. Julia. Ils avaient été à l’origine d’une tentative infructueuse destinée à libérer les deux otages français en Irak, Christian Chesnot et Georges Malbrunot en septembre 2004. Ces deux personnes ont été mises en examen pour « intelligence avec une puissance étrangère de nature à porter atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation ». Ils ont été présentés aux juges antiterroristes Jean-Louis Bruguière et Marie-Antoinette Houyvet, qui s’occupent des affaires ayant trait à la sûreté de l’Etat. Ils ont été accusés d’avoir pris contact avec la résistance iraquienne et d’avoir reçu une assistance logistique de la Côte-d’Ivoire. Brett et Evanno étaient passibles de dix ans de réclusion criminelle et de 150 000 euros d’amende. M. Julia a échappé à la justice grâce à son immunité parlementaire. La gravité des charges retenues contre eux n’a suscité aucun émoi au sein de la presse occidentale (12).

Le rapport de 2006 prévoit également 24 millions de dollars additionnels pour Radio et TV Martí, afin d’amplifier les transmissions de programmes subversifs vers Cuba, en violation de la législation internationale. Les membres de la « dissidence » cubaine disposent d’une partie de cette somme pour acquérir et distribuer des équipements radiophoniques et télévisuels permettant de capter les programmes émis depuis les Etats-Unis. D’autres pays sont invités à transmettre des émissions subversives vers Cuba. Le rapport prévoit également « d’entraîner et d’équiper des journalistes indépendants de la presse écrite, radiophonique et télévisuelle à Cuba (13)».

La presse occidentale, qui a censuré cette réalité, avait stigmatisé l’action des autorités cubaines, en dénonçant les sanctions prises à l’encontre de « militants pacifiques et de journalistes indépendants ». Selon elle, les inculpés auraient été châtiés pour avoir ouvertement exprimé leur désaccord avec la ligne officielle et avoir publié des articles diffamatoires dans la presse d’extrême droite de Miami (14).

Il sied de s’arrêter un instant sur ces accusations. Les deux « dissidents » cubains qui disposent de l’influence médiatique la plus importante au niveau international, qui lancent les invectives les plus acerbes contre la Révolution cubaine et qui jouissent de la bienveillance la plus soutenue auprès des extrémistes d’origine cubaine de Miami sont Oswaldo Payá et Elizardo Sánchez (15). Face à eux, Raúl Rivero passe pour un opposant relativement modéré et frileux (16). Or ce dernier avait été condamné à une peine de vingt ans de réclusion criminelle. Payá et Sánchez n’ont eu aucun ennui avec la justice, alors que leurs écrits politiques sont beaucoup plus virulents que ceux de Rivero. L’explication est assez simple: Payá et Sánchez ont, jusqu’à présent, toujours refusé le financement généreusement offert par Washington, tandis que Rivero a commis l’erreur de profiter des largesses financières de l’administration Bush. C’est cela qui a été condamné, et non la production littéraire ou politique supposément hétérodoxe.

Intégrer l’univers de la « dissidence » est un juteux commerce. Les avantages économiques de cette profession sont conséquents et attisent la convoitise d’individus peu scrupuleux. Les 75 personnes condamnées n’exerçaient aucun métier et vivaient des émoluments offerts par les autorités étasuniennes, en échange des tâches réalisées. Les appointements considérables pour le niveau de vie de la société cubaine ont conduit certains personnages à amasser de petites fortunes personnelles, s’élevant jusqu’à 16 000 dollars en liquide, alors que le salaire moyen oscille entre quinze et vingt dollars par mois (17). Ils menaient ainsi un train de vie largement supérieur à celui des Cubains, et profitaient également des incomparables privilèges que procure le système social cubain.

Pour évaluer précisément l’importance d’une telle somme, il convient de appeler la valeur du dollar à Cuba. Pour l’équivalent d’un dollar, un Cubain peut s’offrir au choix : cent quatre litres de lait, quarante-cinq kilos de riz, vingt-six tickets pour des matchs de base-ball, entre cinq et vingt-six places de théâtre ou de cinéma, 5200 kilowatts d’électricité ou cinq cours d’anglais télévisés de cent soixante heures chacun. Tous les autres aliments de première nécessité (pain, haricots, huile.) sont dans le même ordre de prix. A cela s’ajoute la gratuité des services d’éducation et de santé. Etant donné que 85% des citoyens cubains sont propriétaires de leur logement, ils ne payent aucun loyer. De plus, l’impôt n’existe pas à Cuba. Autre fait unique au monde : les médicaments achetés dans les pharmacies coûtent deux fois moins cher que ce qu’ils valaient il y a cinquante ans (18). Tout cela est possible grâce aux subventions octroyées annuellement par l’Etat cubain, tant vilipendé par les mêmes « dissidents » qui ne manquent pas de profiter des conditions de vie avantageuses qu’offre la société cubaine.

Suite à l’intervention diplomatique de l’Espagne, plusieurs personnes incarcérées depuis mars 2003, dont Raúl Rivero, ont été libérées fin novembre 2004 pour des raisons humanitaires (19). Il convient de souligner que Rivero a profité d’une médiatisation internationale uniquement parce qu’il était, avec Oscar Elias Biscet, le seul individu écroué sur les 75 à avoir réellement exercé le métier de journaliste. Son cas est intéressant dans la mesure où il jette une lumière sur l’ampleur de la campagne de désinformation lancée contre Cuba. Dans une interview accordée à Reporters sans frontières, Blanca Reyes, femme de Rivero, affirmait que celui-ci se trouvait dans des « conditions de détention infrahumaines et inacceptables ». Elle ajoutait par la même occasion qu’il avait perdu quarante livres (19,5 kilos). « [Il] a faim. Je veux que l’on sache [que] Raúl Rivero souffre de la faim », déplorait-elle dans un élan mélodramatique de circonstances (20). Cette information avait été reprise en grande pompe par l’ensemble de la presse internationale.

Or, lors de sa sortie de prison, Rivero est apparu en excellente santé, avec un embonpoint notable, comme l’illustres les photos prises par la presse et comme n’ont cessé de le clamer les autorités cubaines (21). Alors que Washington et ses relais dénonçaient avec une remarquable répercussion médiatique les « effroyables conditions de vie » des prisonniers, Rivero lui-même avoua avoir eu un accès sans restrictions à la lecture et avoir dévoré avec avidité le dernier roman de l’écrivain colombien Gabriel García Márquez, Historias de mis putas tristes, ouvrage difficile à trouver dans les librairies françaises à l’époque (22). Rivero n’a pas vécu dans un hôtel quatre étoiles, certes, mais pas dans un « goulag tropical » non plus comme les âmes bienséantes se plaisent à qualifier les prisons cubaines, comme si les pénitenciers du reste du monde étaient des lieux de villégiature (23).

Sans doute, les prisons d’Abu Ghraïb en Irak, où la torture de prisonniers de guerre a été institutionnalisée par Washington, sont-elles plus confortables. Que dire des geôles de Guantanamo, zone de non droit où la torture appliquée aux détenus est telle que de nombreuses tentatives de suicide ont eu lieu chez des personnes très pieuses pour qui le fait de mettre un terme à ses jours constitue le pire des pêchés (24) ? Dans tous les cas, très peu de réclusionnaires peuvent se vanter d’avoir eu accès au dernier roman de García Márquez, avant même certaines librairies européennes spécialisées.

Mais cela n’est guère nouveau. En effet, la transformation de criminels en « dissidents » ne date pas d’aujourd’hui. L’histoire d’Armando Valladares, le « poète paralytique condamné pour délit d’opinion », selon la propagande de Washington, est riche d’enseignements. Arrêté en 1960 pour terrorisme, cet ancien officier de police de la dictature de Batista reçut le soutien d’une grande campagne internationale lancée par l’extrême droite cubaine de Floride au début des années 80. Après des tractations effectuées par le gouvernement français de François Mitterrand, sous l’égide de Régis Debray, le prisonnier fut libéré et perdit, par la même occasion, ses talents de poètes et son hémiplégie. Par contre, il conserva soigneusement ses aptitudes de comédien et, ayant obtenu la nationalité étasunienne, il s’engagea auprès du gouvernement de Ronald Reagan, devenant ambassadeur auprès des Nations unies. Dépité, Régis Debray avait écrit dans son livre Les Masques : « L’homme n’était pas poète, le poète n’était pas paralytique, et le Cubain est aujourd’hui américain (25) ».

Luis Ortega Sierra est un journaliste cubain qui s’est exilé aux Etats-Unis en 1959, au triomphe de la Révolution. C’est un farouche adversaire du gouvernement de La Havane comme l’illustrent ses écrits. Il était lié à l’ancien dictateur cubain Fulgencio Batista qui finançait ses activités. Dans une lettre du 22 septembre 1961 à l’ancien homme fort de Cuba, Ortega avait exprimé sa « sympathie » et son « admiration » à son égard (26).

A propos des opposants cubains, Ortega déclare la chose suivante :

Les dissidents à Cuba sont des gens sans importance politique et tout le monde partage cet avis, même ceux qui vivent à leurs dépens. Ce sont des marionnettes de la mafia de Miami. Ils sont au service de la Section d’Intérêts des Etats-Unis qui les balade d’un endroit à un autre […].
Ce sont des gens qui reçoivent un salaire et une orientation idéologique du gouvernement américain. Cela n’est un secret pour personne. C’est le gouvernement nord-américain qui leur octroie de l’argent pour financer les activités de ces messieurs dans l’île. Penser que cet élément puisse représenter un mouvement puissant d’opposition au gouvernement est une bêtise (27).

Si l’Iran ou la Chine finançaient des opposants aux Etats-Unis, au Royaume-Uni ou en France, ces derniers tomberaient immédiatement sous le coup de la loi. Si les médias occidentaux étaient intellectuellement libres, ils n’utiliseraient qu’un seul terme pour se référer à ceux qui se présentent comme des opposants au gouvernement cubain : mercenaires.

* Détente - "500 ans" par Rockin’ Squat

Rockin’ Squat nous montre que le rap peut être vecteur d’élévation...

vendredi 25 septembre 2009

* Génératrice hydrogène

Commentaire de Nenki:
"Patrick Biron de l'équipe de 911MTLTRUTH.ORG m'a accordé une entrevue à l'extérieur, en juillet pour que je puisse exposer ma génératrice à tous les ami(e)s et les petits principes de base et dernières recommandations. Merci pour son excellent travail de montage et de caméra. D'autres liens et documents importants pour connaître l'histoire et voir les performances de la génératrice HHO.
Autre point important à rajouter que j'ai oublié de mentionner dans mon entrevue. Au centre de la cellule HHO, il y a un tube en fibre de verre (coupé d'une balise à neige qu'on utilise en hiver pour que les tracteurs à neige sachent où s'arrêter) qui relie toutes les feuilles carrées en acier inoxidables ensembles et est vissé au centre du couvercle en haut. Un boulon en plastique 1/4" est vissé à l'extrémité du bas pour retenir les plaques. Afin que les plaques ne se touchent ensembles, Étienne s'est fabriqué des 'washers' ou rondelles en "Formica' ou 'Arborite" qui les isolent les unes des autres et résiste à la chaleur qu'il glissa entre chaque plaque. Donc la tige du centre est neutre, inconductible. On peut la faire en n'importe quoi en autant que ce ne soit pas un matériau conducteur (céramique). C'est un circuit ouvert. "

Télécharger HD
http://www.megaupload.com/?d=LE0CQB89
http://www.megaupload.com/?d=2YN17K32


1ère partie


2ème partie


3ème partie

* Puce électronique

On nous prépare...doucement...

*L'Europe e l'Irlande référendum 2009

Le 2 octobre 2009, les irlandais seront consulté une seconde fois par referendum sur le traité de Lisbonne.
http://www.irish-friends-vote-no-for-me.org

* La grippe et le business vu par les guinols de l'info

Sylvestre et sa boite-à-vendre des médoc... toujours une histoire de ... business

mardi 22 septembre 2009