dimanche 30 novembre 2008
* Banksters
"La direction du Bureau du Président a été utilisée pour fomenter un complot pour anéantir la liberté des Américains, et avant que je ne quitte le Bureau, je dois informer les citoyens de ces conditions." Président John Fitzgerald Kennedy (1917-1963)
John Fitzgerald Kennedy tenta de réformer la FEd et le Dollar. Le dollar est émis non pas par le gouvernement des Etats-Unis, mais par la FED, qui est contrôlée par des banques privées.
La FED met à disposition du gouvernement de l’argent et, en contre-partie, encaisse largement des intérêts et prélève des impôts. De plus, les obligations émises par le gouvernement donnent à la FED un droit de gage, public et privé, sur l’ensemble des biens/fonds des Etats-Unis.
Le président John F. Kennedy tenta le 4 JUIN 1963, après Abraham Lincoln de transformer la FED en édictant un décret présidentiel (« Executive 0rder 11110 ») par lequel le gouvernement Us retrouvait un pouvoir inscrit dans la Constitution, celui de créer sa monnaie sans passer par la RESERVE FEDERALE.
Cette nouvelle monnaie, gagée sur les réserves d’or et d’argent du Trésor, rappelait les greenbacks et le coup de force du Président Lincoln. (les deux hommes connurent une mort "brutale et soudaine").
Les conséquences de l’Executive Order n° 11110 étaient énormes. En effet, d'un trait de plume, JF KENNEDY était en passe de mettre hors jeu tout le pouvoir que les BANQUES PRIVEES DE LA FED s'étaient arrogées depuis 1816 et qu'elles détenaient officiellement depuis 1913.
Car si, dans un premier temps, les deux monnaies avaient circulées parallèlement, la monnaie d’Etat, gagée sur les réserves d’argent, aurait fini par terrasser la monnaie créée ex-nihilo par les banquiers. Cette nouvelle monnaie aurait considérablement diminué l’endettement de l’Etat, puisqu’elle éliminait le paiement des intérêts.
Présidents et autres morts pour dénonciations sur la FED
Celui qui contrôle le volume de la monnaie dans notre pays est maître absolu de toute l’industrie et tout le commerce... et quand vous réalisez que le système entier est très facilement contrôlé, d’une manière ou d’une autre, par une très petite élite de puissants, vous n’aurez pas besoin qu’on vous explique comment les périodes d’inflation et de déflation apparaissent.
James A. Garfield,
président des Etats-Unis,
assassiné
Le gouvernement devrait créer, émettre, et faire circuler toutes les devises et tous les crédits nécessaires pour satisfaire les dépenses du gouvernement et le pouvoir d’achat des consommateurs. En adoptant ces principes, les contribuables économiseraient d’immenses sommes d’argent en intérêts. Le privilège de créer et d’émettre de la monnaie n’est pas seulement la prérogative suprême du gouvernement, mais c’est aussi sa plus grande opportunité
Abraham Lincoln,
président des Etats-Unis,
assassiné
"Le but des Rockefeller et de leurs alliés est de créer un gouvernement mondial unique combinant le Supercapitalisme et le Communisme sous la même bannière, et sous leur contrôle. (...) Est-ce que j’entends par là qu’il s’agit d’une conspiration? Oui, en effet. Je suis convaincu qu’il y a un tel complot, d’envergure internationale, en planification depuis plusieurs générations, et de nature incroyablement maléfique."
Lawrence Patton McDonald Congressiste américain tué dans l’attaque d’un vol de la Korean Airlines. Message public diffusé en 1976
Benjamin Franklin , abraham lincoln , Kennedy , Einsenhower :
Au moins 4 présidents ont dénoncé le complot des lobbys financiers.
samedi 29 novembre 2008
* Vers un crach alimentaire
Conjuguées au dérèglement climatique, les logiques économiques actuelles conduisent à brève échéance à une catastrophe alimentaire planétaire. Est-il trop tard pour inverser la tendance ?
www.arte.tv/crash-alimentaire
La vie est sacrée
Message à l'humanité
Dans la Préambule de la Charte du «Green Cross International», les membres reconnaissent que
«La vie est sacrée et que toute forme de vie a une valeur intrinsèque, et a sa place, sur la planète que nous partageons comme une grande communauté interdépendante. Toutes les composantes de cette communauté sont essentielles au fonctionnement de l’ensemble. La beauté de la Terre et de la vie sont autant de nourritures pour l’esprit humain, et lui inspirent joie, émerveillement et créativité.
Les êtres humains ne sont ni extérieurs, ni au-dessus de la communauté de la vie. Nous n’avons pas créé la vie, nous en faisons partie. Notre propre existence dépend de l’ensemble. Pour la première fois dans l’histoire de la Terre, les hommes peuvent nuire, consciemment ou inconsciemment, aux équilibres écologiques dont toute vie dépend. La situation est grave.
Nous avons donc le devoir explicite de prévenir cette destruction et ce gâchis, pour des raisons utilitaires à court terme, et pour réparer dès maintenant les dégâts déjà occasionnés. Chaque individu tient une responsabilité personnelle et collective au sein de sa communauté.
Nous avons l’obligation de préserver l’intégrité et la diversité de la vie ainsi que de faire en sorte que notre planète demeure un lieu sain et sûr pour les générations présentes et à venir. […].»
Source: www.greencross.fr
* Les armes silencieuses de la guerre tranquille
Au début du mois de juin 2008, plus de 2000 exemplaires de ce DVD-ROM ont été envoyés en France à une quinzaine de partis politique, une vingtaine de ministères, 100 parlementaires, 130 bureaux de chaînes de télévision, 150 journaux locaux et nationaux, 450 mairies, 150 dirigeants d'entreprises du CAC40, 200 chercheurs d'Universités, 200 radios locales et nationales, 500 syndicats étudiants et professionnels, 120 ONG et sites Internet, et 50 écoles de journalisme.
La totalité des films ici :
http://armes.silencieuses.free.fr/
vendredi 28 novembre 2008
* Censure sur les stats
Sachant qu'en finalité, ça risque bien d'être toujours les mêmes qui se feront ...(censuré !!!), avec ou sans thermomètre !
* La Cabale
1ére partie
2éme partie
* Journée sans achat 2008
Autrement très bon montage.
www.casseursdepub.org
lundi 24 novembre 2008
Loi martiale en Europe, c'est possible...
Un grand merci à Diocorp TV
http://www.dailymotion.com/DioCorp
Retour sur le Traité de Lisbonne et la Charte Européenne des Droits de l'Homme.
- Textes Européens (Traité de Lisbonne, CEDH, etc)
http://eur-lex.europa.eu/fr/treaties/index.htm
- Dupont-Aignan censuré à l’assemblée.
http://fr.youtube.com/watch?v=NHVVrer1Xa0
- à voir aussi :
http://fr.youtube.com/watch?v=NHVVrer1Xa0
- Cérémonie du traité de Lisbonne
http://www.dailymotion.com/video/x3s9bs_ceremonie-de-signature-du-traite-de_politics
- Révolte au parlement européen
http://www.dailymotion.com/bookmark/DioCorp/video/x45s9g_revolte-au-parlement-de-lue-incroya_politics
- L'Eugénisme
http://fr.wikipedia.org/wiki/Eugenisme
vendredi 14 novembre 2008
* Yves Cochet analyse la crise et propose la décroissance
Conférence de Pierre Hillard, Crise politico-économique
* Manipuler par l'image et le son
Voici deux exemples de film annonce de films comiques qui deviennent tout autre.
Le même travail est fait durant les infos télé et autres diffuseurs de pensée unique...
Bienvenue chez les Ch'tis
Prête moi ta main
* Les conseillers d’Obama discutent des préparatifs de guerre contre l’Iran
"Désolé d'être à contre courant...... j y croyais lorsque réveillé j aperçu l homme pour la première fois dans une petite boite qui trainait dans un coin de la pièce et que depuis un certain temps je n'écoutai plus. Je laissais juste les images, et la lumière qui les accompagne inonder la pièce , J avais fait de cette appareil un objet de décoration. ..................... trop long a raconter................... je n y crois pas en cette homme.. j en ai peur, pas parce que sa peau me renvoie mon image. mais parce qu il a l'apparence du messie, l odeur du sauveur , les paroles du bienheureux et que malgré tout je sens qu'il est d un autre monde que celui que j attend... Il est l'autre coté de la lame du couteau qui nous saigne depuis longtemps, le coté mat.. qui ne brille pas et dont on ne se protège pas , ce n est que lorsqu'il sera dans notre chair que nous comprendrons. Ils ont créé un nouveau soldat , dont on ne se méfie pas..."
Commentaire de Sam
A la veille de l’élection américaine, le New York Times faisait prudemment remarquer l’émergence d’un consensus entre le Parti démocrate et le Parti républicain pour une nouvelle stratégie agressive envers l’Iran. Alors que presque rien n’a été dit à ce sujet pendant la campagne électorale, de hauts conseillers des camps Obama et McCain ont discuté de l’escalade rapide de la pression diplomatique et de sanctions punitives contre l’Iran, soutenues par des préparatifs pour des frappes militaires.
L’article intitulé « New Beltway debate: what to do about Iran » notait avec une certaine inquiétude : « c’est une idée effrayante, mais ce n’est pas seulement l’administration Bush à la gâchette facile qui discute – ne serait-ce que théoriquement – de la possibilité d’une action militaire pour arrêter le programme d’armes nucléaires de l’Iran…Des gens raisonnables des deux partis sont en train d’étudier la prétendue option militaire, ainsi que de nouvelles initiatives diplomatiques ».
Dans le dos des électeurs américains, des conseillers du Président élu, Barack Obama, ont préparé la scène pour une escalade importante de la confrontation avec l’Iran dès que la nouvelle administration prendra ses fonctions. Un rapport publié en septembre par le Bipartisan Policy Center, une « fabrique d’idées » bipartite basée à Washington, a fait valoir qu’un Iran disposant de l’arme nucléaire était « stratégiquement intenable » et détaillait une approche robuste « incorporant de nouveaux instruments diplomatiques, économiques et militaires d’une manière intégrée ».
Un des principaux membres du groupe de travail de ce centre a été le haut conseiller d’Obama concernant le Moyen-Orient, Dennis Ross qui est connu pour ses points de vue belliqueux. Il a soutenu l’invasion américaine de l’Irak et il est étroitement lié à des néo-conservateurs comme Paul Wolfowitz. Ross a travaillé sous Wolfowitz dans les administrations de Carter et de Reagan avant de devenir l’envoyé en chef au Moyen-Orient sous les présidents Bush père et Clinton. Après avoir quitté le Département d’État en 2000, il a rejoint un groupe de réflexion de droite pro-Israël (le Washington Institute for Near East Policy / Institut de Washington pour la politique du Proche-Orient) ) et il a été engagé comme analyste en matière de politique étrangère par la chaine de télévision Fox News.
Le rapport du Bipartisan Policy Centre insistait sur le fait qu’il y n’y avait pas de temps à perdre et déclare : « Les progrès réalisés par Téhéran signifient que la prochaine administration pourrait bien avoir peu de temps et moins d’options pour faire face à cette menace. » Il rejetait sans autre forme de procès à la fois les affirmations de Téhéran selon lesquelles son programme nucléaire était destiné à des fins pacifiques et l’Estimation nationale des services de renseignements américains de 2007 qui révélait que l’Iran avait mis fin à tout programme nucléaire militaire en 2003.
Ce rapport critiquait l’échec de l’administration Bush à arrêter les programmes nucléaires iraniens, mais sa stratégie est essentiellement la même – des incitations limitées par des sanctions économiques plus sévères et par la menace d’une guerre. Son plan pour consolider le soutien international est également fondé sur l’action militaire préventive contre l’Iran. La Russie, la Chine et les puissances européennes doivent toutes être averties que leur échec à mettre en œuvre des sanctions sévères, y compris un blocus provocateur sur les exportations de pétrole de l’Iran ne feront qu’accroître la probabilité de la guerre.
Pour souligner ces avertissements, le rapport proposait que les États-Unisrenforcent immédiatement leur présence militaire dans le Golfe Persique. « Cela devrait commencer le premier jour où le nouveau président entre en fonction, d’autant que la République islamique et ses acolytes pourraient vouloir tester le nouveau gouvernement. Cela impliquerait un pré-positionnement de forces américaines et alliées, le déploiement de groupes de combat supplémentaires de porte-avions et de dragueurs de mines [et] la mise en place d’autre matériel de guerre dans cette région » déclarait-il.
Dans un langage qui rappelle fortement celui de Bush lorsqu’il insiste sur le fait que « toutes les options restent sur la table », le rapport déclarait encore : « Nous croyons qu’une attaque militaire est une option réalisable et doit rester un dernier recours pour retarder le programme nucléaire iranien ». Une telle frappe militaire « aurait pour objectif non seulement l’infrastructure nucléaire de l’Iran, mais également son infrastructure militaire conventionnelle dans le but de supprimer une riposte iranienne. »
De manière significative, le rapport a été rédigé par Michael Rubin, du néo-conservateur American Entreprise Institute, qui a été fortement impliqué dans la promotion de l’invasion de l’Irak en 2003. Un certain nombre de hauts conseillers démocrates a « approuvé à l’unanimité » ce document, y compris Dennis Ross, l’ancien sénateur Charles Robb qui a coprésidé le groupe de travail, et Ashton Carter qui a servi en tant que secrétaire adjoint à la Défense sous Clinton.
Carter et Ross ont aussi participé à la rédaction d’un rapport publié en septembre pour le Center for a New American Security (Centre bipartite pour une nouvelle sécurité de l’Amérique). Ce rapport concluait que l’action militaire contre l’Iran devait constituer « un élément dans toute véritable option ». Tandis que Ross y examinait les options diplomatiques en détail, Carter y définissait les « éléments militaires » qui devaient les sous-tendre, y compris une analyse des coûts et bénéfices d’un bombardement aérien de l’Iran.
D’autres hauts conseillers d’Obama au niveau de la politique étrangère et de la défense ont été étroitement associés à ces discussions. Une déclaration intitulée « renforcer le partenariat : comment approfondir la coopération entre les États-Unis et Israël concernant le défi nucléaire iranien », rédigée en juin par un groupe de travail de l’Institut de Washington pour la politique au Proche-Orient, recommandait que la prochaine administration mène des discussions avec Israël sur « l’ensemble des options politiques », y compris « l’action militaire préventive ». Ross était un co-animateur du groupe de travail et les hauts conseillers d’Obama Antony Lake, Susan Rice et Richard Clarke ont tous mis leur nom sur le document.
Ainsi que le New York Times le notait lundi, le conseiller d’Obama en ce qui concerne la défense, Richard Dantzig, un ancien secrétaire à la Marine sous Clinton assistait à une conférence sur le Moyen-Orient rassemblée en septembre par le même groupe de réflexion "pro-Israëlien". Il dit à l’assistance que son candidat croyait qu’une attaque militaire de l’Iran était un choix « terrible », mais qu’il « se pourrait que dans un monde terrible nous allons devoir nous faire à ce genre de choix terrible ». Richard Clarke, qui était lui aussi présent, déclara qu’Obama estimait qu’il fallait « enrayer l’influence grandissante de Téhéran et que l’acquisition d’armes nucléaires par Téhéran était inacceptable ». Tandis que « sa tendance première était de ne pas appuyer sur la gâchette » dit Clarke, « si les circonstances demandaient l’usage des armes, Obama n’hésiterait pas. »
Si l’article du New York Times était formulé avec discrétion et n’examinait pas les rapports de façon trop en détail, la journaliste, Carol Giacomo, était de toute évidence inquiète des parallèles avec l’invasion américaine de l’Irak. Après avoir fait remarquer que « le public américain était dans une large mesure inconscient de ce débat », elle déclarait : « Ce qui me rend nerveuse, c’est ce qui s’est passé dans la période qui a précédé la guerre en Irak. »
Giacomo poursuivit : « Les responsables de l’administration Bush ont mené la discussion, mais les initiés étaient complices. La question fut posée et on y a répondu dans les cercles politiques avant que la majorité des Américains ne sachent ce qui arrivait…En tant que correspondant diplomatique pour Reuters à l’époque, j’éprouve une certaine responsabilité pour ne pas avoir fait plus pour assurer que la décision désastreuse d’envahir l’Irak n’ait été contrôlée avec davantage de scepticisme ».
L’émergence d’un consensus sur l’Iran dans les cercles de la politique étrangère américaine souligne, une fois de plus, le fait que les différences entre Obama et McCain étaient de nature purement tactique. Tandis que des millions d’Américains ont voté pour le candidat démocrate croyant qu’il allait mettre fin à la guerre en Irak et répondrait à leurs besoins économiques urgents, des sections puissantes de l’élite américaine se sont mises derrière lui, le considérant comme un meilleur véhicule pour poursuivre les intérêts économiques et stratégiques au Moyen-Orient et en Asie centrale — y compris avec l’usage de la force militaire contre l’Iran.
Peter Symonds pour WSWS, le 10 novembre 2008. Article original, publié le 6 novembre 2008.
jeudi 13 novembre 2008
* Energivores - Les hors saison
http://www.mangeonslocal.fr/
Association pour le Maintien d'une Agriculture Paysanne (AMAP) :
http://alliancepec.free.fr/Webamap/
* 9/11 - Le Mythe et la Réalité - Pr David Ray Griffin
S'appuyant sur un argumentaire extrêmement précis et structuré, ainsi que sur de très nombreuses sources, David Ray Griffin déconstruit avec application 9 des mythes les plus criants sur lesquels repose la version "officielle" des événements du 11 Septembre 2001. Ne dédaignant pas le recours à l'humour pour mieux faire ressortir les incohérences et les absurdités de la "théorie conspirationniste du gouvernement américain", comme il l'appelle judicieusement, sa lecture est de bout en bout brillante, captivante et... implacable.
* Pourquoi la victoire d’Obama ne changera rien
Parce que la pensée unique sur ce sujet, entretenue par les grands médias, me semble bénéficier, comme à chaque fois, d’un panurgisme déconcertant, d’un effet de mode superficiel et d’un oubli irraisonné des nuances de l’histoire.
Plan de l’enquête :
I - Entre les sirènes de l’illusion et le murmure de la lucidité
II - Un nom qui sonne comme une exclamation et qui s’articule comme un sourire
III - Un air de revanche
IV - « Change », un mot SDF : sans destination fixe
V - Ce qu’incarne John McCain aux yeux du monde
VI - La stratégie d’Obama
VII - Marketing politique et rôle digne d’Hollywood
VIII - Barack, la baraka de l’Amérique (ou le candidat qui casse la baraque)
IX - Les fantômes d’un gouvernement d’ouverture au centre et à droite
X - Quand Philippe Val loue « la beauté de la démocratie américaine »
XI - Mister America 2008-2012
XII - Finies les promesses hivernales
XIII - Quand un candidat français et ses communicants empruntaient à Rimbaud son « changer la vie »
XIV - Simple retour à la normale de la politique américaine
XV - La vraie bonne nouvelle de cette élection est ailleurs.
I - ENTRE LES SIRÈNES DE L’ILLUSION ET LE MURMURE DE LA LUCIDITÉ
L’être humain aspire au rêve autant qu’à la vérité. Il désire s’évader dans l’imaginaire autant que bâtir sur des fondations raisonnées. C’est pourquoi il est sans cesse tiraillé entre les sirènes de l’illusion et le murmure de la lucidité. Pour rendre le réel supportable, la conscience critique fatiguée se couche souvent dans le lit des promesses. Un lit de taille enfantine qui rappelle des souvenirs. Un lit dans lequel chacun se rassemble et se retrouve en se repliant, à l’étroit mais réconforté, bercé, apaisé. Ce lit s’appelle l’espoir.
II - UN NOM QUI SONNE COMME UNE EXCLAMATION ET QUI S’ARTICULE COMME UN SOURIRE
Durant ces premiers jours de novembre, partout à la surface du globe, l’espoir porte un même nom : Barack Obama. Sa silhouette s’étire et grandit au fur et à mesure que la majorité de l’humanité se réfugie et se blottit contre elle. Obama : un nom qui brille comme une étoile dans la nuit à la une de la presse du monde entier. Un nom qui sonne comme une exclamation et qui s’articule comme un sourire. Un nom qui se rapproche et s’amplifie comme la marche de ceux qui se sentent portés par un élan nouveau. Cet élan universel, c’est le désir de changer la mondialisation, jusqu’ici inquiétante, agressive, guerrière. Changer. Tel est le mot qui résume ce désir, cet élan, cet espoir. Changer.
III - UN AIR DE REVANCHE
Il y a une génération, durant l’irrésistible montée en puissance de l’idéologie libérale, Margaret Thatcher lançait son fameux There is no alternative qui semblait sonner le glas des points de vue divergents. L’américain Fujiyama publiait alors sa Fin de l’histoire. Les figures de l’économisme officiel le confirmaient à l’unisson et les gouvernements socialistes nouvellement élus renonçaient, les uns après les autres, à leurs programmes comme les dominos d’un jeu savamment orchestré.
IV - « CHANGE », UN MOT SDF : SANS DESTINATION FIXE
Change. Voilà le mot d’ordre aujourd’hui. Le mot qui s’échange et se répète d’un bout à l’autre de la planète mondialisée. Change. Un mot simple et court qui se comprend et se traduit aisément dans la plupart des langues. Change. Un mot vague cependant, dans lequel chacun peut placer sa propre vision de l’alternative désirable. Change. Un mot SDF : Sans Destination Fixe, que chacun peut prendre en supposant une direction plutôt qu’une autre. Change. Un mot libre d’usage que chacun peut interpréter comme il l’entend… au risque du malentendu et de la déception.
V - CE QU’INCARNE JOHN MCCAIN AUX YEUX DU MONDE
Ce mouvement d’opinion ne vient pas de nulle part. Il est l’écho de la voix qui s’est faite entendre, il y a six ans, dans le monde entier. La voix d’un consensus contre la guerre en Irak. La voix des millions de personnes qui ont manifesté un peu partout, y compris aux Etats-Unis, pour demander à Georges W. Bush et à ses faucons de ne pas partir en guerre une fois de plus, qui plus est dans un pays sans rapport avec les motifs invoqués pour le punir. Une foule incrédule devant les prétextes fallacieux et révoltée face à « la raison du plus fort ». Un mouvement de protestation mondiale qui rappelait alors celui qui s’était opposé à la guerre au Vietnam. Il aura fallu deux élections présidentielles pour que cet écho parvienne à se faire entendre suffisamment fort et clairement. Il aura fallu qu’adviennent les preuves irréfutables de l’échec et, surtout, celles du mensonge délibéré du pouvoir, sous couvert de raison d’État. Certes, le candidat républicain à cette élection n’est pas un proche du clan Bush. Mais il n’a échappé à personne que c’est un homme de guerre : un de ces pilotes de bombardiers qui ont déversé des millions de tonnes de bombes sur les populations civiles vietnamiennes, plus que tous les belligérants réunis durant la seconde guerre mondiale. John McCain incarne à l’envi l’agresseur américain, du Vietnam à l’Irak, usant de toute sa puissance pour imposer ses caprices et son hégémonie. Tout le monde sait que derrière les leçons de morale du bon père de famille et du militant pro-life – qui, sous prétexte de « droit à la vie », culpabilise les femmes voulant avorter – il y a un criminel de guerre qui a démembré des corps de tous âges, décimé d’innombrables familles, et anéanti des villages entiers. John McCain incarne précisément ce que le monde reproche le plus à l’Amérique. De plus, ce candidat refuse toute remise en question, examen et infléchissement de la dérégulation libérale. En ces temps de folie boursière et de violence économique, il est le candidat désigné d’un système qui marche sur la tête, inquiète presque tous, malmène la plupart, saccage l’environnement et accroît la misère. Son programme, c’est, encore et toujours, la guerre sous toutes ses formes. En d’autres termes, John McCain est le candidat de l’inhumanité.
VI - LA STRATÉGIE D’OBAMA
Face à lui, le candidat Obama n’a d’autre but que de se positionner en alternative, au moyen d’un slogan qui tient lieu, à lui seul, de programme. Ce faisant, il symbolise aussi par son âge et sa couleur de peau, cette jeunesse mondiale qui s’inquiète de l’héritage catastrophique que lui laisse l’actuelle gérontocratie. Une jeunesse qui, plus que ses aînés, se soucie de la planète et du Bien Commun et de son avenir. Une jeunesse qui peine à trouver un emploi et un logement au Nord et qui meurt de faim au Sud. Certes, Barack Obama présente une image et un discours différents. Mais qu’en est-il en réalité, au-delà de l’invitation au rêve, à l’espoir et, par conséquent, au vote for change ?
VII - MARKETING POLITIQUE ET RÔLE DIGNE D’HOLLYWOOD
Barack Obama est un pur produit de marketing politique. Ce qu’il donne à voir et à entendre est méticuleusement calculé comme aucune candidature politique ne l’a peut-être été dans l’histoire. L’apparence ne laisse rien au hasard. Aucun détail n’est négligé. Aucun procédé rhétorique. Aucune posture. Et surtout aucun symbole pouvant toucher la mémoire, les affects et l’inconscient du public. Tout est mis en scène. Le contenu du programme est complètement éludé par son titre emblématique et la personne charismatique qui le propose. Rien ne compte plus que l’image de l’acteur politique et le rôle qu’il interprète dans un scénario digne d’Hollywood. Un scénario qui l’oppose diamétralement à McCain, et pour cause : le film s’appelle Change, et doit convaincre que l’alternative est à portée de main.
VIII - BARACK, LA BARAKA DE L’AMÉRIQUE (OU LE CANDIDAT QUI CASSE LA BARAQUE)
Et pourtant, dans la réalité, les différences sont faibles et peu nombreuses. C’est même un numéro de trapéziste hors pair de la part de Barack Obama. Si ce n’est un numéro de magicien et, ce, avec l’aide de la plupart des médias. Et pour cause… Ce dernier point à lui seul aurait dû éveiller les soupçons de contrefaçon. Pourtant, l’obamania est générale en France comme ailleurs. Elle est rarement modérée par de sporadiques et discrètes critiques (se positionner ici en Cassandre est donc périlleux en pleine vague obamaniaque !). On ne cesse d’encenser son talent d’orateur, sa silhouette gaullienne, sa supposée indépendance, son sourire permanent, son charme ténébreux. Sa couleur est idéale : il est noir mais pas trop au goût de certains ! Gendre poli et propre sur lui, politicien différent puisqu’il le dit, vendeur d’un programme invisible mais vendeur sympathique et rassurant qu’on croit sur parole… et, surtout, incarnation « irréfutable » du fameux changement au moyen d’une flopée de symboles. En d’autres termes : c’est l’homme providentiel, peoplisé comme il se doit sur toute la surface du globe, à part peut-être le Kansas, le Texas et l’Arizona, mais partout ailleurs reconnu en sauveur du monde. Barack, la baraka de l’Amérique ! Barack, le candidat qui casse la baraque ! Qu’importe si les obamaniaques deviendront obamaniaco-dépressifs puis obamécontents d’avoir été obamanipulés. Car on peut d’ores-et-déjà prévoir que l’enthousiasme actuel retombera à la fin de l’été 2009 et que la morosité reviendra comme l’hiver.
IX - LES FANTÔMES D’UN GOUVERNEMENT D’OUVERTURE AU CENTRE ET A DROITE
Prenons deux exemples clés, tout d’abord : celui de la politique économique puis celui de la politique militaire. Qui Barack Obama a-t-il publiquement envisagé pour assurer les fonctions de Secrétaire au Trésor (ministre de l’économie) et de Secrétaire à la Défense (ministre de la guerre) ? Pour ce qui est du Trésor, il a pensé au même Secrétaire que McCain ! Ils ont l’un comme l’autre convenu de proposer ce poste clé à l’homme le plus riche du monde : le milliardaire américain Warren Buffet [1], l’un des principaux actionnaires de la Coca-Cola Compagny et grand ami de Bill Gates. Obama rappellerait aussi le groupe poussiéreux d’économistes libéraux de l’ère Clinton. Bref, rien de bien nouveau dans le pays du billet vert. Au point, que les marchés financiers ne s’inquiètent certainement pas de la campagne des Présidentielles ni de son résultat ! Les programmes ? Ce sont les mêmes ou, pour mieux dire, il n’y a pas de programme : Obama a même convenu d’une différence minuscule voire négligeable sur le plan économique avec son adversaire et précisé qu’il souhaitait gouverner « au centre » sur ce plan-là, c’est-à-dire ni à droite ni à gauche [2].
Pour ce qui est du Secrétaire à la Défense, les conseillers d’Obama lui ont carrément conseillé de garder l’actuel chef du Pentagone : le belliqueux Robert Gates [3], nommé par Georges W Bush en décembre 2006 en remplacement de Donald Rumsfeld. D’après les dits conseillers, Gates serait utile pour « contrôler » les velléités russes. Et il permettrait à Obama de prouver l’amplitude de l’ouverture annoncée dans son gouvernement. En effet, Obama a promis de rassembler des démocrates et des républicains, en essayant de les faire cohabiter du mieux possible aux destinées des Etats-Unis. Est-ce cela, le changement ? Et Joe Biden, sénateur depuis 1972 et Président de la sinistre commission des Affaires Étrangères : est-ce le Vice Président du changement ? De plus, en Robert Gates, on reconnaît le mélange de genres propre à la plupart des hommes politiques américains de l’école de Chicago : membre du conseil d’administration de grandes entreprises, de sociétés d’investissements internationales, parmi lesquelles des lobbies, et même de VoteHere, producteur controversé de machines à voter électroniques ! Même s’il est possible, voire probable que ni Buffet ni Gates ne seront finalement Secrétaires d’État, ces effets d’annonces devraient nous inciter à un minimum de méfiance.
X - QUAND PHILIPPE VAL LOUE « LA BEAUTE DE LA DÉMOCRATIE AMÉRICAINE »
D’aucuns trouvent que la façon dont s’est déroulée la campagne est le signe de la bonne santé de la démocratie américaine. Même Philippe Val est allé jusqu’à louer « la beauté de la démocratie américaine » (dans Le Grand Journal de Canal +, le 31 octobre 2008) et d’autres la « démocratie participative » en faisant un parallèle Obama-Royal. La démocratie participative consisterait-elle à accumuler les amis sur facebook (un million pour Obama) et les inscrits sur son site (un million également) ? En terme de « participation », s’agit-il uniquement de faire voter Obama en harcelant de coups de fil son entourage et de malheureux inconnus sélectionnés au hasard dans le bottin ? À moins qu’il ne s’agisse de récolter des fonds pour la campagne électorale la plus chère de l’Histoire ? Est-ce vraiment ça la démocratie participative ? Je n’ose imaginer ce que serait la démocratie directe (chacun choisit et apporte lui-même son pique-nique à la convention démocrate ?). Les 650 millions de dollars dépensés dans cette campagne démocrate sont-ils également le signe de « bonne santé de la démocratie américaine » voire de sa fameuse « beauté » ?
XI - MISTER AMERICA 2008-2012
Plus que jamais, la politique est un produit publicitaire [4]. Plus que jamais, les communicants pèsent dans les coulisses pour en tirer les ficelles. Plus que jamais le marketing promotionnel ne lésine pas sur les moyens pour arriver à ses fins, c’est-à-dire remporter le marché (l’élection et, par conséquent, les bonnes places qui en découlent). Plus que jamais, la politique se confine à la marchandise. L’élection américaine n’est qu’un concours de personnalités dont l’une est has been et l’autre tendy. Sauf qu’il ne s’agit pas de Miss América 2008, mais de Mister América 2008-2012 !
Certes, me dira-t-on, Obama a proposé une forme de Couverture Maladie Universelle dans un discours s’adressant aux 60% d’afro-américains qui composent la frange de la population la plus démunie. Mais en a-t-il reparlé depuis le printemps ? Non. Pourquoi ? Pour la même raison que Bill Clinton en son temps (qui n’est jamais allé jusqu’au bout de son projet initial).
XII - FINIES LES PROMESSES HIVERNALES
Autre promesse : fermer Guantanamo. Très bien ! Mais que sont devenues les promesses de paix et de retrait des troupes en Irak ? Le « retrait rapide » est devenu « retrait en 16 mois » puis « pas de retrait sans consultation des chefs de l’Armée et du gouvernement irakien ». Sur la question afghane, Obama n’a pas envisagé de retrait, mais s’est engagé, au contraire, à y envoyer plus de troupes, notamment pour entrer si nécessaire dans la zone frontalière du Pakistan, même sans l’accord de ce dernier [5]. Finies les promesses hivernales de rencontrer les chefs d’États de « l’axe du mal », comme l’Iranien Ahmanidejad « pour essayer de mieux se comprendre » : plus de négociations sans pré-conditions [6]. De même, sur le plan économique, Obama est, depuis quelques mois, beaucoup moins critique envers les accords de libre-échange. Certes, il parle d’une politique de grands travaux qui fait songer au New Deal [7], mais il promet simultanément une importante baisse des impôts ! De même qu’il se dit favorable aux énergies renouvelables tout en promettant aux industriels américains une augmentation du parc nucléaire, emboîtant le pas à McCain sur ce sujet. Interrogé sur une éventuelle abolition constitutionnelle de la peine de mort, Obama s’est déclaré hostile à la disparition de cette peine absolue et irréversible, la considérant « nécessaire pour punir certains crimes odieux » [8]. Certes, il n’est pas membre de la National Rifle Association, mais il se tait sur le second amendement qui autorise la possession d’armes, ainsi que sur l’influence des grands lobbies sur la campagne électorale et sur la politique américaine (industries automobiles, d’armements et pharmaceutiques, lobbies pétroliers, financiers, militaires, religieux…). Il est qualifié de « laïque » dans la presse française, mais il est favorable au serment du nouveau Président sur la Bible et à tous les aspects religieux du fonctionnement des chambres. Dans son discours du 18 août à Saddleback, entre deux réflexions de politique générale sur l’avenir du pays et du monde, il a précisé : « Je crois que Jésus est mort pour mes pêchés et que je connais la rédemption à travers lui » [9]. Le 2 juillet 2008, Barack Obama s’est déclaré finalement favorable aux lois antiterroristes [10] et en particulier aux écoutes des citoyens, à la surprise de son auditoire, au sein duquel Michael Moore s’est peut-être demandé s’il ne s’était pas trompé d’adresse !
En fait, ce qui permet à Barack Obama de se faire passer pour très différent de John McCain, c’est tout simplement l’absence d’autres candidats vraiment différents dans le champ médiatique. Le poids du bipartisme à l’américaine fait quasiment passer à la trappe des candidats chevronnés comme l’écologiste Ralph Nader [11] sauf quand il s’agit de les critiquer. Ainsi, Nader a-t-il été accusé par les démocrates d’avoir fait perdre Al Gore en 2000, à cause des quelques voix manquantes en Floride [12]. De plus, l’immense budget des deux campagnes principales a aussi pour but d’écraser toutes les autres à grands coups de bombardements publicitaires.
XIII - QUAND UN CANDIDAT FRANÇAIS ET SES COMMUNICANTS EMPRUNTAIENT À RIMBAUD SON « CHANGER LA VIE »
Alors, est-ce à dire qu’il ne faut pas se réjouir de la victoire de Barack Obama ? Non, bien sûr, mais sans s’illusionner. Se réjouir d’un rajeunissement de la représentation politique, mais sans oublier que l’exemple Français actuel ne garantit rien de bon. Se réjouir de la reconnaissance d’une catégorie de population oppressée dans l’histoire et encore sous représentée (femmes, personnes de couleur, membre de minorités sexuelles…), mais sans oublier que Margaret Thatcher est une femme, que Colin Powel est noir, et Condolezza Rice les deux ! Se réjouir sans s’illusionner, c’est se prémunir d’une déception similaire à celle des années 1981-1983 en France. Quand François Mitterrand, décrit comme une « force tranquille » par ses communicants, promettait de « changer la vie ». Après avoir été usée jusqu’à la corde durant les années 70, la devise empruntée à Rimbaud allait tomber lettre morte dans le tiroir doré d’un ministère cossu, après un détour par le Panthéon en mai 1981.
XIV - SIMPLE RETOUR À LA NORMALE DE LA POLITIQUE AMÉRICAINE
Obama a choisit le 28 août 2008, 45ème anniversaire du discours J’ai fait un rêve de Martin Luther King, pour être officiellement investi par le parti démocrate à Denver. De même qu’il s’est entouré des survivants de la famille Kennedy. Deux grands symboles. Mais cela fait-il de lui l’homme providentiel du rêve de MLK et l’héritier de JFK ? N’a-t-il pas également rassemblé parmi les géants de la finance, les magnats des médias et même les célébrités militaires ! Par l’implication de ses sympathisants dans l’immense levée de fonds, sa campagne a été qualifiée de populaire. Mais n’y avait pas aussi dans le total une bonne moitié des millions de dollars gracieusement donnée par d’augustes hommes d’affaires qui souhaitent simplement un retour à la normale de la politique américaine ? Et que reste-t-il d’ailleurs du mot populaire quand on sait l’usage qui en est fait en France, par le mouvement du Président élu, dont l’une des premières décisions au pouvoir fut d’offrir un paquet fiscal en remerciement aux grandes richesses qui ont soutenu financièrement et médiatiquement sa fulgurante ascension ? Nicolas Sarkozy n’était-il pas d’ailleurs, aux yeux de beaucoup, un homme politique également jeune et ambitieux, issu de l’immigration, opportuniste et persévérant, promettant qu’ensemble tout serait possible, prêt à toutes les acrobaties dialectiques pour tirer son épingle du jeu au point de surprendre, parfois, jusqu’à son propre camp ? N’y a-t-il pas là suffisamment de signaux d’alerte et d’avertissements de l’histoire pour être un peu plus mesurés dans le regard que nous portons aux événements outre-Atlantique ?
XV - LA VRAIE BONNE NOUVELLE DE CETTE ÉLECTION EST AILLEURS
Le monde n’a pas seulement besoin de rêver, mais de changer, enfin, vraiment, profondément. Certes, le rêve précède parfois l’initiative. Certes, pour libérer l’action, il faut libérer l’imaginaire. Certes, du rêve à la réalité, il n’y a qu’un pas, un pas au-dessus d’un précipice parfois difficile voire impossible à enjamber. Mais au final, c’est l’action qui détermine le changement. Je crains que l’Amérique d’Obama soit un rêve planétaire qui ne sera pas suivi d’actes. Une illusion savamment entretenue à des fins électorales. Ainsi qu’une opportunité, saisie par l’élite américaine, d’améliorer son image dans un monde qui majoritairement la déteste.
Mais la vraie bonne nouvelle de cette élection est ailleurs. C’est tout simplement qu’à force de faire campagne sur le thème du changement, le désir qu’il advienne vraiment va peut-être persister et croître suffisamment pour qu’il devienne un jour réalité, du propre fait des gens eux-mêmes, où qu’ils se trouvent et quelle que soit l’alternative voulue.
Y.Y.
(We Shall Overcome par Joan Baez à Woodstock le 15 août 1969, alors qu’elle était enceinte de six mois ; je recommande également la version de cette chanson par Serge Utgé-Royo dans son album Contrechants de ma mémoire vol. II, édito Hudin).
À noter :
Ce texte est également publié sur le site www.revoltes.net, fondé et animé par Minga, ainsi qu’en lien à la une d’autres sites, notamment netoyens.info, fondé et animé par Éric Jousse. Merci à eux et à toutes celles et ceux qui trouveront utile de faire connaître ce point de vue différent sur l’actualité. Publier ou envoyer des liens d’informations alternatives, c’est résister à la pensée unique qui nous piétine à longueur de journée.
mercredi 12 novembre 2008
* Vérités sur la guerre en Yougoslavie
Voici les dessous d'une manipulation meurtrière, peut-être qu'un jour justice sera faite...
Pour encore mieux comprendre voici une analyse sociologique, politique, et économique de la crise européenne et mondiale dans son contexte historique. (avant le conflit en Ossétie)
1ère partie
2ème partie
3ème partie
4ème partie
5ème partie
* Planetes et climats
Mais ce n'est qu'en 2007 que la communauté des héliologistes a commencé à tirer des signaux d'alarme, nous prévenant que 2011 et surtout 2012 seront des années particulièrement négatives à cause de la violente activité solaire à venir.
crop circle de l'alignement des planetes le 21/12/2012: http://www.cropcircleconnector.com/2008/aveburymanor/aveburymanor2008a.html
* P. Hillard - USA - élections vers la dictature
A propos des élections américaines, du 11 septembre 2001, de la crise économique et des textes qui permettraient l'annulation des élections de Novembre et l'instauration d'une dictature aux Etats-Unis.
A voir cette vidéo dont la deuxième partie sur le cas d'école Tchernobyl s'applique parfaitement au traitement médiatique de la crise économique:
http://www.dailymotion.com/video/x6w3ip_reponse-a-clara-dupont-monod-affair_news
Un article de Frederic Lordon sur le parallélisme des crises de 2000-2002 et 2007-2008:
http://www.bakchich.info/article5366.html
A consulter également, l'article de Bill Van Auken sur le déploiement historique de troupe de combat sur le territoire américain:
http://www.reopen911.info/News/2008/10/04/l%e2%80%99armee-deploie-une-unite-de-combat-aux-usa-en-prevision-de-possibles-troubles-civils/
mardi 11 novembre 2008
* Quelques membres de l'administration Obama...
Secrétariat aux Affaires étrangères :
John Kerry d’abord,“Skull and Bones” notoire, qu’Obama avait soutenu en 2004 contre un autre célèbre bonesman G.W Bush.
Susan Rice, ancienne conseillère de Clinton, “CFR” bon teint, Phi Beta Kappa Society, Aspen institute, Atlantic Council et Rhodes scolarship.
Mais également le master of ceremony des accords de Dayton et ancien “advisor” de Lehman Brothers, Richard Holbrooke, déjà cité ; donc “CFR”, membre distingué de la Pilgrims Society, du Carnegie Endowment for International Peace et pour faire bonne mesure du Groupe Bilderberg.
Richard Lugar, Phi Beta Kappa Society, Rhodes scolarship ; ou Bill Richardson, Groupe Bilderberg.
Voir encore plus complet dans la panoplie avec James Steinberg : Aspen Institute, Brooking Institution, Rand Corporation... CFR, Groupe Bilderberg et Trilatérale... Ne reste plus qu’à régler le café et l’addition !
Côté Secrétariat au trésor, c’est aussi prometteur:
Avec Larry Summers (déjà titulaire du poste sous Clinton), CFR, Groupe Bilderberg, Trilatérale.
Timothy Geithner : Rand Corporation, CFR et Groupe Bilderberg.
Ou l’increvable dinosaure Paul Volcker, prédécesseur de Greenspan à la FED, qui se contente de ses jetons à l’Aspen Institute et à la “Pilgrims”.
Sinon le plus discret Robert Rubin, pur produit de chez Goldman Sachs, Phi Beta Kappa et Carnegie boy.
Yes! We can Change! :-)))
* Quelle attitude face aux forces occultes?
Vous devez savoir... car il n'est plus permis d'ignorer les multiples visages de la maladie qui ronge la Terre.
Il y a des forces à la surface de votre monde dont il n'est aujourd'hui plus admissible d'ignorer la présence.
Il y a, depuis fort longtemps sur votre monde, un peuple d'êtres dont l'ego est comparable à un bloc de pierre non encore dégrossi. Ces êtres sont non seulement semblables à vous tous mais aussi vivent un peu en vous tous de par la puissance de leur psychisme.
N'en faites pas des démons venus réduire à néant l'humanité terrestre, voyez-les seulement comme des hommes qui ont un autre passé que le vôtre..... mais la même destination.
Pour l'heure ils sont malades, ils souffrent d'orgueil, ils ont contracté le virus de la domination .... un virus qui n'a de prise que sur un terrain en vide d'amour, en manque de simplicité. Voilà pourquoi, certains d'entre vous ont plié devvant lui et l'ont invité chez eux.
(Suite à des visions concernant des constructions en plein Alaska, il est répondu à D.M.):
Ces visions rendent compte de l'implantation concrète de quelques recherches scientifiques menées depuis des décennies par les puissance du non-amour.
Les constructions aperçues, à demi enfouies dans les glaces, font partie d'une vaste chaîne de laboratoires et de centres d'étude répartie sur l'ensemble de votre planète et qui a pour but la domination psychique de la population humaine et le contrôle d'éléments naturels tels les climats.
De petites îles perdues en plein océan et des bases souterraines ont été secrètement investies dans le seul but d'asservissement des énergies planétaires et humaines ; quelques navires ont été également affrétés en ce sens et sillonnent toutes les mers.
C'est récemment derrière l'étiquette nazie que leur projet fut jusqu'à présent le plus élaboré. Une telle étiquette a en partie disparu car elle a fini par effrayer les hommes.
Mais qu'est-ce qu'une étiquette ? Une force résolue à s'imposer peut en porter autant qu'il lui plaît, au gré du vent. Nul n'étouffe une idée en en gommant le nom.
Ainsi, je vous le dis, LA PUISSANCE NAZIE EST PLUS QUE JAMAIS PRESENTE SUR VOTRE TERRE. Elle s'est revêtue de parures honorables et s'est parfaite dans la maîtrise d'une technologie bientôt capable de modifier les climats, donc l'équilibre économique des nations. (ce livre a été publié en 1990)
Elle se base aussi et surtout sur le peu de résistance physique et émotionnelle d'un grand nombre d'êtres en résonance avec ce que l'on pourrait appeler "une certaine longueur d'onde".
Ce qui importe, c'est d'aider le plus grand nombre possible d'êtres à se hisser d'eux-mêmes au-delà de la longueur d'onde nocive.
VOILA DONC QU IL EST L HEURE POUR VOUS TOUS D' ADMETTRE L' URGENCE D' ACCEDER A UNE FREQUENCE DE VIE DIFFERENTE
Cela ne pourra être ainsi que si vous vous extrayez de la ronde des arguments médiatiques, qu'ils soient philosophiques, politiques ou dogmatiques.
Nombreux sont ceux d'entre vous que j'entends être certains d'y voir clair, certains de ne pas tomber dans le piège des forces sombres.
Alors je vous affirme ceci : les nazis n'ont pas tous su qu'ils l'étaient ni ce que signifiait le nazisme. Les hommes et les femmes qui ont soutenu un tel mouvement étaient souvent des hommes et des femmes qui vous ressemblaient, qui croyaient "bien faire". Ils ne savaient pas qu'ils étaient en réalité les tremplins inconscients d'une force qui les dépassait infiniment.
C'est donc à lui-même que je renvoie chacun d'entre vous plutôt qu'à l'assaut de quelque station perdue dans les neiges ou de quelque îlot rayé de toutes les cartes marines.
Renvoyer une âme à elle-même signifie faire en sorte qu'elle sache avec fermeté ce qu'elle veut. La tiédeur n'est plus de mise.
Ainsi, si votre cœur est affermi dans ce qu'il veut pour l'instauration d'une ère d'amour et de sagesse, déjà vous agissez à la surface de la terre, vous n'êtes plus un amplificateur de brumes, un distillateur d'ondes hypnotiques.
Votre tâche n'est pas de mener un combat en vous raidissant de toutes vos forces contre des organisations aux incroyables ramifications de matière (un petit nombre dont c'est le rude choix s'est chargé de cela). Votre tâche est de faire pourrir en vous toute résistance à l'avancée de l'espoir, à faire germer autour de vous toute raison d'espérer.
Les frères de l'Ombre ont compris ces mécanismes, ils vous offrent à chaque lever de soleil un zéphyr sous forme D' INFORMATIONS CONTRADICTOIRES, DE QUERELLES ANESTHESIANTES ET D' IMAGES PLAISANTES afin que vous puissiez nourrir votre nature mentale, émotionnelle et physique ....POUR UN MEILLEUR SOMMEIL.
ILS N' ONT BESOIN QUE DE CELA.
Les mille querelles dont vous êtes les fidèles instigateurs, spectateurs et acteurs, qu'elles se déroulent dans l'arène sociale ou familiale, sont les premiers actes qu'obtiennent de vous les Frères de la non Lumière. Ils comptent sur votre participation comme vous comptez vous-mêmes sur vos appointements de fin de mois !
Cette information (sur cette énergie de l'Ombre) devait vous parvenir mais JE VOUS METS EN GARDE contre le fait de vous polariser autour d'elle.
IL VOUS SERAIT TROP FACILE DE REJETER LA RESPONSABILITE DE L' ETAT DE SOUFFRANCE DE LA TERRE SUR UN SEUL GROUPEMENT D' HOMMES QUI MANIPULENT LES LEVIERS DE CERTAINS MECANISMES.
Ces êtres sont certes des détonateurs qui se placent habilement aux intersections de la destinée humaine, mais à quoi sert un détonateur s'il n'est pas connecté à tout un dispositif favorisant et acceptant l'explosion ?
Ici donc, pas plus qu'ailleurs, je vous l'affirme, ne voyez pas d'un côté le bien, de l'autre le mal, les victimes et les bourreaux.
Les forces de l'Ombre s'enracinent dans votre volonté de ne pas UNIFIER puis engraissent par le plaisir que vous prenez à classer chaque élément de la Vie derrière des rubriques bien cloisonnées. Elles sont habiles dissimulatrices capables d'emprunter le vocabulaire de la Lumière.
Elle usurpe des identités, des signatures afin de lancer des appels qui seront des mots d'ordre à des nouveaux conditionnements.
Vous avez pu noter à quel point chacun aujourd'hui, de par votre monde, utilise le même vocabulaire de paix et presque d'amour.
Il n'est pas un homme détenteur de pouvoir qui n'appuie son action sur la défense des principes de liberté, de tolérance ou de respect en une foi ....
qui écouterait un chef d'Etat ou un économiste n'affichant pas quelque grand principe
respectable ?
Rares sont ceux qui déclarent des guerres au grand jour.
Il est bien connu que les peuples et les gouvernants ne font plus que se défendre et n'agressent plus.
Les ministères de la guerre ont fait mine de baisser les armes et s'intitulent ministères de la Défense.
IL LEUR FAUT SE PARER D' UN MANTEAU BLANC, D' UNE NOBLE CAUSE, formulée selon une belle réthorique, toute de logique et faisant référence à la raison.
De grands dirigeants, rois des faux-semblants, sont ainsi apparus à la tête de vos nations et apparaîtront encore.
Heureux celui qui se faufile entre tout cela. Heureux celui qui, dans la jungle des arguments, conserve la simple vision du But, entend les mots au-delà des mots.
Vigilance ne ressemble pas à méfiance.
LA MEFIANCE EST GRANDE AIGUISEUSE DE COUTEAUX, INVENTRICE DE PRETEXTES....
DEUX FORCES SE CONFONDENT EN UNE A LA SURFACE DE LA TERRE et jusque dans les profondeurs de votre monde.
L' UNE EST DE NATURE BIEN INCARNEE ET AGIT SOUS LA FORME D' UNE ORGANISATION PUISSANTE AUX IMMENSES RAMIFICATIONS DANS LES MILIEUX POLITIQUES , SCIENTIFIQUES, ECONOMIQUES ET MEME RELIGIEUX.
L' AUTRE EST D' ORIGINE PLUS SUBTILE MAIS NON MOINS EFFICACE :
ELLE PROVIENT DE CHACUN DE VOUS DONT LES PULSIONS NOCIVES VONT A TOUT INSTANT GROSSIR UN SOMBRE RESERVOIR ENERGETIQUE.
LA SOLUTION A TOUT CELA ?
AMOUR SANS LIMITE.
Voilà trois mots qui vous semblent dérisoires.
C'est parce que vous avez répondu "présents" à l'Ombre depuis de millions d'années, jusque dans les actes les plus insignifiants de vos vies, parce que les réflexes de cette Ombre se sont imprimés en vous, que VOUS SEULS êtes capables de faire jaillir de VOS COEURS 'L ANTIDOTE exact au poison.
L'antidote définitif au soi-disant démon extérieur s'adresse en fait au démon intérieur de chacun.
Ne croyez pas que l'Amour soit trop grand ou trop lumineux pour chacun de vous.
Les premiers pas que vous pouvez accomplir vers Lui sont dans la façon dont on pousse le balai sur le sol chaque matin, dans la manière dont on saisit le volant de son véhicule, dans le sourire gratuit que l'on peut offrir au milieu d'une foule qui attend.
Le contre-poison que vous cherchez passe par ces insignifiances plus que par les grandes théories que vous souhaitez souvent mettre en pratique et qui absorbent parfois l'énergie de toute une vie.
LES FORCES DE LA LUMIERE NOIRE VOUS COMPTENT PARMI LEURS RANGS A CHAQUE FOIS QUE VOUS MAUDISSEZ VOTRE EXISTENCE ET CELLE D' AUTRUI.
ELLES ENGRAISSENT PAR LES REGARDS DE TRISTESSE, D' IMPUISSANCE, DE PEURS.
Que l'Amour auquel j'appelle ne vous effraie pas ....
Il est l'apanage de ceux qui commencent à sourire puis à rire.
Il est le flambeau de ceux qui veulent voir au-delà de l'obstacle, tant et si bien que les remparts s'effondrent.
Cela ne s'accomplit pas toujours sans douleur, mais celle-ci s'évanouit dès que l'on a résolu de ne plus se croire malade.
Le non-amour est un état végétatif de l'âme engluée dans la pseudo-maladie de son impuissance à sourire à la Vie.
lundi 10 novembre 2008
samedi 8 novembre 2008
* Enquête sur le Cancer II
Accès direct au premier volet se trouve sur le lien suivant :
http://sathyadas2.blogspot.com/2008/11/enqute-sur-le-cancer.html
* Spot de Ralph Nader
Ralph Nader qui proposait une réelle alternative fut complètement éclipsé par les médias (puisque ces derniers appartiennent aux mêmes qui financent les 2 principaux partis).
* "Colibri" - Mouvement pour la Terre et l'Humanisme
Réunissant, entre autres, les différentes structures déjà existantes autour de Pierre Rabhi, le Mouvement pour la terre et l'humanisme tend à devenir une plateforme d’échanges et d’inspiration pour tous ceux qui aspirent à un nouveau projet de société replaçant l’humain et la nature au centre de nos préoccupations.
vendredi 7 novembre 2008
* Obama - la froide réalité
- la campagne US bat un nouveau reccord financier avec 660 millions de dollars uniquement pour le candidat Obama (soit plusde 2 fois le précédent reccord !)
- les entreprises de wall street ont investit dans la campagne présidentielle US : 45 % des fonds ont été à Mc Cain, les 55 % restant à Obama
- les sponsors d'Obama s'appelent :
- Warren Buffet (monsieur je parie sur la débacle pour m'en foutre plein les poches), Bill Gates (ex microsoft, l'homme le plus riche de la terre),
- Felix Rohatyn (fondateur et dirigeant de Rohatyn Group, spécialiste des Hedge Funds),
- George Soros (président de Soros Fund Management et de l'Open Society Institute et accessoirement créateur des Hedge Funds et a financé les georgiens dans leur guerre avec l'Ossétie du Sud),
- Robert Wolf (patron d’UBS Americas, banque d'affaire US),
- Richard Fuld, le « Gorille » déchu (ainsi était surnommé le patron de Lehman), qui a encaissé un bonus de 22 millions de dollars six mois avant la faillite de sa banque, Bear Stearns, de Lehman Brothers ou l’assureur AIG, Eric Schmidt (pdg de Google),
- Leo Corbett, membre du directoire d'EMI Music, et Orin Kindler, DG de Pfizer (entreprise pharmaceutique).
Le financement par ces sympathiques personnages représente 52 % du montant de la campagne d'Obama (si tant est que tout soit clair...). De plus, malgré ses dénégations, Obama fait équipe avec certains lobbyistes. Selon une enquête récente de USA Today, 38 de ses leveurs de fonds travaillent parallèlement pour des sociétés de lobbying ou des avocats, qui relaient des intérêts particuliers, du fabricant d’armes Lockheed-Martin aux géants Microsoft, Cisco ou Pfizer.
Le magazine The Hill, lui, a déniché trois lobbyistes recrutés dans le staff de campagne présidentielle du sénateur démocrate ! Ils oeuvrent « à la ville » pour des dizaines de sociétés dont le groupe de distribution Wal-Mart, Lockheed Martin, le pétrolier British Petroleum ou l’Association nationale des mutuelles d’assurances.
Croyez-vous que ces "sponsors" ont investi pour qu'Obama fasse du social?
Pour être un peu plus précis :
Voici la liste des dons:
Pour Obama:
University of California 909.283
Goldman Sachs 874.207
Harvard University 717.230
Microsoft Corp 714.108
Google Inc 701.099
JPMorgan Chase & Co 581.460
Citigroup Inc 581.216
National Amusements Inc 543.859
Time Warner 508.148
Sidley Austin LLP* 492.445
Stanford University 481.199
Skadden, Arps et al* 473.424
Wilmerhale Llp* 466.679
UBS AG 454.795
Latham & Watkins * 426.924
Columbia University 426.516
Morgan Stanley 425.102
IBM Corp 415.196
University of Chicago 414.555
US Government 400.819
Total 11.008.264
Pour Mc Cain:
Merrill Lynch 359.070
Goldman Sachs 228.695
Citigroup Inc 296.151
Morgan Stanley 262.777
AT&T Inc 185.063
JPMorgan Chase & Co 15.042
Credit Suisse Group 178.053
PricewaterhouseCoopers 166.470
Blank Rome LLP * 161.826
Wachovia Corp 159.107
US Army 158.170
UBS AG 147.465
Bank of America 143.026
Greenberg Traurig LLP * 142.137
Gibson, Dunn & Crutcher * 141.446
US Dept of Defense 129.725
FedEx Corp 125.654
Lehman Brothers 115.707
Bear Stearns 113.050
US Government 195.505
Total: 3.428.634
Qu'est ce que ce cirque financier a à voir avec une démocratie SVP?
jeudi 6 novembre 2008
Lettres ouvertes à Hortefeux
* Habitation - alternatives écologiques
Maisons en bois cordés
Domespace
Maison en matériaux recyclés
L'igloo en bottes de Paille
mercredi 5 novembre 2008
* Pyramide - révolution - francs-maçons
On m'a expliqué il y a fort longtemps que le triangle ou pyramide avec un œil à l'intérieur représentait l'œil de Dieu qui voit tout. Or cette représentation se trouve chez les franc-maçons. Comment se fait-il que ce symbole se trouve aussi sur la déclaration des droits de l'homme, sachant que cette déclaration émane d'une révolution laïque qui a chassé la religion de la vie politique française? Comment expliquer dans la vidéo qui suit, ce monument et les inscriptions qui y figurent?
Une grande majorité des franc-maçons se disent laïques, mais se prêtent à des rituels dans un temple (réplique symbolique du temple de Salomon).
Messieurs les franc-maçons expliquez-nous svp...
Ici un nouveau projet de pyramide pour Paris (après celle de F.Mitterand au Louvres)
Du côté d'Astana au Kazakhstan récemment rallié à l'occident capitaliste, le tout nouveau palais de la paix et de la réconciliation, créé par Norman Foster qui affirme que " la caractéristique de ce batiment est d'être sans référence"...
jugez vous-même:
http://www.floornature.info/articoli/articolo.php?id=629&sez=3&tit=Astana-(Kazakhstan).-Pyramide-de-la-paix.-Foster-and-Partners.-2006
http://www.fosterandpartners.com/Projects/1322/Default.aspx
mardi 4 novembre 2008
* Enquête sur le Cancer
Est-ce le tabac ?
L'alcool ?
L"alimentation ?
La Pollution ?
Une autre piste dans cette vidéo.