Pierre Lance est l'auteur de "Savants Maudits,
chercheurs exclus 1" (2 et 3), ouvrages dont vous pouvez faire l'achat, si vous
souhaitez vous soigner intelligemment et découvrir les découvertes
scientifiques qui ont été soigneusement étouffées par nos autorités. Dans le
numéro 2, il parle de Linus Pauling, scientifique aux deux prix Nobels qui
s'intéressa de très près à la vitamine C.
Extraits :
"On pourra s'étonner de me voir ranger parmi les "savants maudits" un
illustre scientifique titulaire de deux prix Nobels et qui est considéré par toute
la planète comme un homme de génie. Je le fais pourtant, parce que Linus
Pauling tomba en disgrâce, dès qu'il prétendit démontrer que, si elle était
judicieusement employée, la vitamine C était capable de tenir en échec toutes
les maladies dégénératives, y compris le cancer. Ce fut immédiatement un
tollé général ! Et tous ceux qui, la veille encore, l'encensaient de façon
dithyrambique, ne tarirent plus de sarcasmes à son égard, insinuant en
termes à peine voilés qu'il avait perdu la tête et qu'il était atteint de gâtisme
ou de sénilité précoce. Seront seuls surpris de ce retournement rapide, ceux
qui n'ont pas encore compris que la maladie est, aujourd'hui, le plus juteux
filon planétaire, de loin supérieur aux mines de diamants et aux puits de
pétrole, et qu'il fait vivre confortablement des millions de gens des
professions médicales et pharmaceutiques. Si vous dites à ces personnes,
comme Linus Pauling, eut la témérité de le faire, qu'une substance des plus
ordinaires, en l'occurrence l'acide ascorbique, que l'on retrouve en abondance
dans tous les fruits et légumes, peut fortifier la santé de toute la population et
la prémunir contre la quasi-totalité des maladies tout en lui permettant de
mieux lutter contre le vieillissement, toutes ces personnes verront
immédiatement se profiler à l'horizon le spectre du chômage ou la
dégringolade de leurs actions boursières.
[...]
"C'est sa théorie sur la loi de la résonance qui le rendit célèbre dans le monde
entier. Fondateur de la biologie moléculaire, il fut le premier grâce à ses
travaux sur le sang à identifier (en 1949) une anomalie de la structure
moléculaire de l'hémoglobine responsable d'une maladie héréditaire, la
drépanocytose (ou anémie falciforme). Car le souci de la santé humaine ne le
quitta jamais, et l'on peut même dire qu'au cours de ses recherches dans les
domaines les plus divers, il ne perdit jamais de vue les applications possibles
aux problèmes de santé. C'est ce qui l'amena tout naturellement à s'inquiéter
des conséquences nocives du rayonnement des particules radioactives et il
entama un formidable combat pour faire stopper les essais nucléaires. Il jeta
dans la balance tout le poids de sa notoriété internationale et mobilisa les
milieux scientifiques contre les gouvernements et les militaires."
[...]
"Conscient de l'accumulation dans l'atmosphère des poussières radioactives
qui risquaient de compromettre de façon irréversible la santé des générations
futures, Pauling se dépensa sans compter pour alerter vigoureusement
l'opinion publique mondiale et il présenta aux Nations Unies, en 1958, une
pétition contre les essais nucléaires signée par plus de 11 000 scientifiques.
Son action décisive fut récompensée en 1963 par un second prix Nobel, le prix
Nobel de la paix."
[...]
"Parmi les pionniers dans le domaine de la recherche, il faut citer Albert
Szent-Györgyi, qui reçut en 1937 le prix Nobel pour ses travaux sur la
vitamine C. Linus Pauling, après de nombreuses observations et
expérimentations, parvint à la conclusion que la vitamine C produit dans
l'organisme des regains d'énergie. Il découvrit que cet acide inhibe l'action de
certains virus. Lorsqu'il publia le résultat de ses recherches, peu de médecins
et de scientifiques lui accordèrent leur confiance et certains le critiquèrent de
multiples façons. [...] Des revus scientifiques comme "Science" ou "National
Academy of Sciences » refusaient de publier ses communications sur le sujet.
Mais Pauling ne se laissa pas influencer et se lança dans des essais effectués
sur des patients. Il s'associa avec le Dr Ewan Cameron et ils effectuèrent
ensemble de nouvelles recherches. Ils constatèrent que des doses importantes
de 20 à 30 grammes de vitamine C par jour pouvaient prolonger de 300 jours
la vie de cancéreux condamnés."
[...]
"Il fait paraître en 1979 : "Cancer and vitamine C (en collaboration avec Ewan
Cameron) et en 1986 : "How to live longer and feel better". Dans ce dernier
ouvrage, il confirme les travaux de nombreux autres chercheurs et fait de la
vitaminothérapie le moyen idéal de prévention des maladies et de résistances
au vieillissement."
[...]
"Vous ne pourrez jamais convaincre un cardinal que Dieu n'existe pas, même
s'il a fini par s'en douter. Parce que toute sa vie et toute sa carrière ont été
bâties sur ce concept. Y renoncer serait pour lui un suicide social. Il lui
faudrait brûler ce qu'il a adoré, jeter à la corbeille toutes ses homélies,
accepter la honte du renégat et voir se détourner de lui ses pairs, ses amis, sa
famille tandis qu'il plongerait lui-même dans le gouffre sans fond de l'asocial
et de l'exclu. Impossible ! À moins d'être un héros ou un fou, personne au
monde ne fait cela. Et, bien entendu, il en est de même des pontifes de la
médecine et des cancérologues installés. Les voyez-vous abandonner du jour
au lendemain leurs dogmes et leurs certitudes, jeter à la décharge municipale
leurs appareils sophistiqués de radiothérapie et aux orties leurs protocoles
compliqués de chimiothérapie, qu'ils peaufinent et perfectionnent depuis des
lustres avec une conscience professionnelle digne de tous les éloges ? Tout
cela parce qu'un franc-tireur imaginatif aurait découvert qu'avec un simple
concentré de jus de cerise acérola, on pouvait réussir bien mieux et sans
douleur ce qu'ils ratent deux fois sur trois, après avoir mis en batterie tout le
diable et son train ? Comprenez bien qu'il leur est viscéralement impossible
de l'admettre."
[...]
"François Martigny, chercheur indépendant, écrivit à la rédaction de la revue
"Alternative Santé", à la suite de la publication d'un article sur le sujet des
vitamines dans ce magazine :
« Les recherches entreprises sur les vitamines depuis le début de XXe siècle
laissent entrevoir une destinée bien différente à l'humanité maladive. Les
multiples éléments pro-biotiques étudiés depuis cette époque ouvrent la voie
royale à une véritable connaissance de nos besoins nutritionnels et
permettent de mieux comprendre leurs effets prodigieux sur notre état de
santé.
Mais comment se nourrir sainement avec des aliments qui ne le sont plus ?
Mal informés sur ce point crucial, vos lecteurs risquent de ne pas comprendre
l'intérêt majeur des compléments alimentaires et d'être encore et pour
longtemps de fidèles consommateurs de soins médicaux.
Pourtant vous pourriez contribuer utilement à faire connaître les travaux
remarquables de ces très nombreux chercheurs méconnus : Irwin Stone,
Boissevain et Spillane, Linus Pauling, les Dr W. Barlow, RJ Shute, F. Klenner,
Cheraskin, pour ne citer que quelques précurseurs. Comment ignorer une
somme d'études aussi vastes ? [...] Les AJR (Apports Journaliers
Recommandés) sont ces quantités basses que les instances officielles
diffusent et imposent par tous les moyens à la planète entière. Le public n'y
connaissant pas grand-chose, le tour est joué. Adieu les chiffres intéressants
qui ont fait la notoriété des scientifiques et l'intérêt des vitamines ! Un seul
exemple tiré de votre article : Linus Pauling, ce savant génial dont vous dites
si peu, et bien d'autres encore, recommandent au minimum de 1 000 à 3 000
mg/jour de vitamines C et justifient bien davantage en cas de maladie. Or
vous recommandez 60 à 100 mg/jour... C'est-à-dire 10 à 30 fois moins que les
sources que vous citez. [...]
La même remarque s'applique pour la vitamine E. En ce qui concerne la
vitamine A, c'est encore plus simple : vous ne recommandez rien du tout. Les
quantités que vous conseillez à vos lecteurs n'ont pratiquement aucun effet, et
c'est d'ailleurs le but recherché par les laboratoires pharmaceutiques. On peut
tout au plus attendre des AJR (Apports Journaliers Recommandés)
d'échapper aux maladies aiguës - la xérophtalmie, le scorbut ou l'infertilité
par exemple - mais l'effet sera quasiment nul sur le simple rhume, la
cataracte, les maladies cardio-vasculaires ou le cancer. [...]
La vraie révélation aurait été de dévoiler que la censure bloque efficacement
depuis près d'un siècle, toutes les nouvelles qui font concurrence à l'industrie
pharmaceutique. Votre éditorial dit par exemple : "les antioxydants
pourraient prévenir certaines maladies graves." Ce conditionnel induit un
doute et occulte allègrement soixante années d'expériences ! Même prudence
à propos de la vitamine E et de son effet préventif de l'athérosclérose, dans
votre interview du Dr J. Pincemail qui déclare : « nous manquons encore de
grandes études cliniques... » Comment ce médecin peut-il ignorer que cette
démonstration a été faite, en 1933, par le Dr R. James Shute et ses deux fils,
les Dr Evan V. Shute et Wilfrid E. Shute ?
En juillet 2000, j'ai personnellement apporté à votre bureau un dossier de
presse présentant les travaux du Dr Matthias Rath. Avec des produits qui
associent judicieusement des vitamines et d'autres compléments alimentaires
naturels, il a fondé les bases de la médecine cellulaire dont le but est de
donner précisément à nos cellules ce dont elles ont besoin. Dans un contexte
moins corrompu, la valeur de ses travaux et son enthousiasme à faire
connaître ses résultats remarquables mériteraient bien un prix Nobel.»"
On peut se demander pourquoi les animaux n'ont pas de pharmaciens ni de
médecins ? Parce qu'ils utilisent les produits de la nature et le jeûne afin de
soigner leur problème de santé ?
http://www.noslibertes.org
samedi 20 septembre 2008
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